Le geste de Johann Zarco, pose la question de l'état d'esprit du pilote en situation de stress.
Nous ne sommes pas dans sa tête, ni son entraineur, mais il a déclaré, à chaud, à notre ami Adrien, qu'il était préoccupé pendant la course (c'est arrivé plusieurs fois cette année), par la bonne tactique pour gagner. Il a même dit, en langage trivial que cela lui cassait les c...
Ce n'est pas le meilleur moment pour cogiter, car il y a déjà fort à faire sur la piste !
D'autres pilotes de talents, Stoner, Randy, ont eu connu, ou connaissent de telles difficultés, ont subitement des doutes.
Il semblerait que cela soit un frein au résultat brut de l'objectif du compétiteur. Des soucis personnels peuvent aussi faire perdre de vue ce qui est important professionnellement.
Certains compétiteurs ont l'air d'avoir un moral d'acier, Bayliss donnait cette impression. Tant mieux pour eux.
La question aux spécialistes, entraineurs, pilotes, journalistes :
Comment font ceux qui réussissent, pilotes et entraineurs, à progresser dans ce domaine ?
Avez-vous des anectotes vécues à nous livrer ?
Quel est le niveau de compétence de ceux qui entourent le pilote en grand prix ?
Quel est aussi le point de vue féminin, puisque nous avons la chance d'avoir une fille impliquée ?