[Oldies] Partie Cycles de Vitesse Françaises de 60 à...

Moteur GS 1000 S Suzuki 1980 (environ) copie des jantes de ELF X qui avaient été abandonnée pour cause de prise au vent latérale, essayer aussi par Fior, même résultats.
Pneu avant en 110 de large ...

"Le coup du réservoir en dessous c'est la mauvaise idée de la elf - wayne gzrdner m'a expliqué que les gens de honda ont mis très longtemps à comprendre et à admettre que pour rendre la 500 NSR efficace il fallait mettre du poids en haut."

La il y a un petit probleme d'interpretation: le poids du carburant avec le reservoir plein sous le moteur est nettement inferieur a la masse du moteur lui meme (1 litre d'essence a 110 d'octane etant meme plus leger qu'un litre d'eau...). Donc il me semble que le commentaire de Wayne est bizarre, car le "poids" (CG et "roll center") est deja loge bien au dessus de la distribution des masses d'une moto conventionnelle. Pour moi, l'erreur de ces motos a reservoir SOUS le moteur est jutement que pour loger le reservoir, il faut REMONTER le moteur de maniere radicale, et c'est bien cela qui fout la tenue de route en l'air avec les pneus de l'epoque.
Les choses sont differentes maintenant justement a cause de l'incroyable progres des pneus, qui forcent des angles impossibles auparavant, et qui forcent l'ensemble des masses moto-pilote a une altitude qui va tres bientot demander un escabeau pour simple acces a la selle...

Non seulement le moteur à été remonté,mais il a aussi été reculé ,et pas qu’un peu,pour La Fourche et le remplissage. Il me semble qu’à ce stade là,où l’ensemble des constructeurs moto n’a rien compris,ou c’est plié d’avance!

Effectivement T54, 32 litres pour une 500 à l'époque ça fais que 24 kilos, plus le poids du réservoir disons 4 kilos ...

Si vous regardez les photos de la Morbidelli 250 experimentale, le reservoir est DEVANT le moteur, pas dessous (seule une petite partie est sous le moteur). Le moteur est au meme niveau que sur les cadres Bakker et Bimota fabriques pour la compagnie, mais il est recule de 2 cm pour mettre plus de masse sur la roue arriere pour favoriser l'appui sur le pneu, dependant de l'aero pour mettre beaucoup plus de poids sur la roue avant, donc un gain des deux cotes.
Et bien sur, cette moto etait dessinee pour les pneus "en bois" de l'epoque, dans le but de faire glisser la moto avec un CG et CR rabaisses de la meme maniere qu'une moto de Speedway ou la masse moteur est placee au plus bas.
Aujourd'hui, si on ne "glisse" pas, on finit la course derriere les autres.

Emmanuel Laurentz a écrit:

Les cadres treillis c'est pas rien et c'est beau.
Anecdotique, quand j'étais apprentis chez Garreau en 77 (jet motocycle) il y avais dans le petit musée du garage pour ceux qui ont connus une Norton 750 multi treillis usine, le père Garreau me disais que pour changer les bougies il fallait tomber le moteur    

Oui c'était celle de mon ami Patrick Il l'a vendu à un japonais (très friand des motos de cette époque) dans les années 80 ce qu'il regrette depuis longtemps,de l'avoir vendu,d'autant que malgré leur notoriété en France avec la marque NORTON il avait bien bataillé pour l'acheter..Je doute pas que cela devait interpeller le père GARREAU lequel même s'il n'était pas un "ingénieur" n'était pas un lapin de 6 semaines.

Faut patienter un peu il est possible que l'énigme soit résolu .

Un rapide retour sur la Norton JPN de 1974, space frame.
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L'accessibilité aux bougies n'avait rien de dramatique, c'est sur la monocoque que le travail était laborieux.
Il y a confusion.
Mais oui Peter (et surtout pas John) Williams n'aimait pas cette machine, sans doute parce que ce n'était pas son bébé, mais plutôt un enfant dans le dos...

François

selon la longueur du culot, faut voir...

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Un petit air de famille avec la Gilera Rondine.

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La moto mystère à moteur SUZ vue sur FB par Buell-LN est certainement Française .

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L'omniprésence de Michelin n'est certainement pas un hasard !

FB21 a écrit:

Un rapide retour sur la Norton JPN de 1974, space frame.
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L'accessibilité aux bougies n'avait rien de dramatique, c'est sur la monocoque que le travail était laborieux.
Il y a confusion.
Mais oui Peter (et surtout pas John) Williams n'aimait pas cette machine, sans doute parce que ce n'était pas son bébé, mais plutôt un enfant dans le dos...

François

Peter WILLIAM,pour avoir discuté avec lui, et de notoriété publique,ingénieur-pilote quand même (dont Eric Offendstat est un grand fan) et pas un simple mécano,n'avait vraiment pas un ego démesuré plutôt le contraire,une personne humble et conviviale pas avare de conseils pour la compète.Il a beaucoup fait pour que le team JPS bille sur les circuits au détriment de son "aura".

Il a, entre autre, gagné la catégorie prodution au Tourist trophy 1973 avec la monocoque et le twin "archaique".

Garreau parle de la treillis de Patrick LEFEVRE (la même que celle des photos ci-dessus),son petit fils,qui a couru avec sur circuit,donc probablement pas une brève de comptoir.Oui les bougies bien sûr c'est des longs culots.

Je suis en tous points d'accord avec toi, j'ai aussi rencontré Peter à plusieurs reprises et je confirme la valeur de l'homme et de l'ingénieur.
Il est évident que pour un pilote anglais de sa génération (et de sa filiation) gagner le TT c'est le Graal.
Il y a d'ailleurs toujours été performant et sa victoire de 73 est exemplaire.
Alors en plus obtenue sur une moto de sa conception, c'était exceptionnel.
Je n'ai jamais évoqué avec lui les différences de comportement entre la monoque de 73 et la space frame de 74, c'était inutile de remuer ces souvenirs, ni même d'attendre de l'objectivité.
Trop d'affect sur le sujet.
Interroger Dave Croxford (qui nous fait l'honneur d'être encore parmi nous) serait plus pertinent.
Bien qu'ayant déjà échangé aussi avec lui cette question n'a pas été abordée.
Il n'en reste pas moins que les photos tempèrent largement les propos de Garreau, qui pouvait allègrement tomber dans l'exagération, et pas que sur les tarifs !
Ce n'est pas Patrick qui démentirait.

François, qui a fait Norton 2ème langue...

Oui bien sûr François je connais un peu ton parcours et ta passion pour les anglaises,sur d'autres sites.

Question prix oui le père GARREAU était un vieux renard en plus il vendait à la tête du client du coup l'usine lui a enlevé l'importation fin 71 et a crée NORTON Europe à PUTEAUX en 72,quelle différence, en tous points, avec Patrick qui est un ami de 50 ans.

Je reconnais démarré au 1er tour (comme une Norton quoi sur lesquelles j'ai fait à ce jour des dizaines de milliers de kms) quand on malmène un peu Peter WILLIAMS et le twin "archaîque" et je m'en excuse.

Bone après-midi.

J'imaginais aiguiser les curiosités sur cette moto inconnue, mais c'est le calme plat ! Donc je résume Française, BIB, elle du naître au milieu des volcans .

Cette fourche de moto inconnue est une fourche Pépé tronçonnée par le plan médian. La cinématique est identique voir copiée, qui l'a faite?
Dan

[quote="bialbero"]Un petit air de famille avec la Gilera Rondine.

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Comment peut-on faire une photo aussi ancienne d’une machine si récente ?

Bah , la photo me semble être un cliché shooté sur un bouquin, une revue, çà ressemble au grain du papier d'impression , avec plein de grattons, de scratches.
Dan

BIB, les volcans c'est Clermont Ferrand, voici ce que l'on sait, heureusement que la mémoire de mon cher cousin , Mondialen, est meilleur que la mienne, j’avais oublié cette histoire.
ll y a bien longtemps, un Magalhaes travaillant chez Michelin avait fabriqué un prototype à moteur porteur.
C’était un moteur de 500 Honda, le train AV était fixé directement sur la culasse, La fourche était dû même type que celle de Pépé de l’époque en tube ou alors Pépé a copié ? On ne sait plus qui a sorti la première.
On serait curieux de connaître la relation qu'il y a eu, ou non, entre Pépé et Magalhaes
Ce proto Honda avait été essayé par Hervé Guilleux, sur la piste de Ladoux et il avait été impressionné par l’angle qu’il pouvait prendre avec ce proto, il a piloté la HO et la BUT ?
La fourche a due restée à l'état de proto, on dirait bien qu'elle est en bois, genre empreinte
pour faire un moule qui n'a sans doute jamais vu le jour.

Je n'épiloguerai pas sur les fourches à roues tirées, criticables sur bien des aspects.
Mais une fourche monobras à roue tirée, ce n'est pas Offenstadt, voyons !
Bon sang mais c'est bien sûr, c'est....Vespa :
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Mais bon nos amis belges s'y étaient aussi essayés, du côté de chez FN :
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Pour le succès de la solution l'histoire a jugé.
Acceptable avec des roues de petit diamètre, ça devient délicat si celles-ci sont de taille "moto".
Je pourrais développer mais est-ce bien le sujet ?

François

On a l'habitude de dire roue tirée avec l'axe du balancier devant la roue mais même situé à l'arrière la roue est tirée du fait de la chasse, j'essaye souvent de différencier le sentiment visuel de la réalité et pour moi le placement de l'axe à l'avant est un effet surtout visuel, la preuve qu'avec l'axe à l'arrière on arrive avec d'excellent résultats comme les JBB .

Pour la roue avant tirée, Alain Chevallier disait: "C'est un peu comme tenir une canne à pêche par le scion!..."
Mais il faut bien reconnaître que sur ce coup là son "objectivité" était réduite.

C’est ce qu’on dit des télescopiques « classiques »par rapport aux « inversées ».