[Oldies] Quizz??????

Un jour en 72 en critérium 750 au Mans avec la H2, j'arrive au freinage des S Bleu, je freine, et tout d'un coup, comme un câble de vélo qui pète. Et je vois une plaquette de frein se tirer à vitesse grand vé . Putain .....
Le levier de frein tout mou, j'arrive avec 40 bornes de trop à l'entrée du virage . " Je m'y met, je m'y met "
Je redresse tout et tire tout droit dans l'herbe. Heureusement, il y avait du dégagement et je me suis retrouvé au bout du pré toujours trop vite , et les arbres qui se rapprochaient . Alors j'ai abandonné le navire et suis parti en roulé boulé dans l'herbe .
Sans bobo heureusement . Alors, voyez , même avec des freins à disques on n'est pas à l'abris de se retrouver au paradis sans avoir pu dire ouf .

Allez je vous donne une autre anecdote sur les freins .

Grand Prix d'Italie à Imola en 350 ( j'sais plus quelle année ) J'avais monté sur la TZ un carénage " Don Vesco " plus large qui devait me donner plus de vitesse . Or, à fond de freinage, le carénage venait toucher le garde boue avant .
Comme il faisait grand soleil, pas besoin de garde boue . Je démonte donc celui ci , et enchaine les essais chronos .
J'arrive au freinage du gauche dans la descente après la chicane ( me souviens plus du nom ) et là , boum, badaboum, cabane par dessus le chien.
Je me réveille dans l'ambulance avec à côté de moi un pilote pas très frais . C'est là que j'ai fais la connaissance d'Eri Saul .
Si, si , dans une ambulance .
De retour de l'hosto, je demande à mon mécano ce qu'il était arrivé , car je n'ai pas compris comment j'ai pu me retrouver sans frein avant au freinage de cette courbe . En fait, comme j'avais retiré le garde boue, en fin de plongée de la fourche, les durits de frein venaient toucher
le pneu avant, et comme il ne s'agissait pas de durits aviation , ils se sont usés, et à un moment donné ....paf.
Comme quoi l'expérience s'acquiert avec le temps .

Des problèmes de freins, j'en ai eu d'autres, comme en 1977 ou on courait avec les Yam OW 31 avec les pinces avant en magnésium .
Sur les circuits de freinage comme Brands Hatch, les pinces chauffaient et au fil des tours s'écartaient . Tant et si bien que dans les derniers tours on se retrouvait avec le levier au guidon. Pour palier à ce problème , nous montions des pinces en acier de TZ 700 A . Un peu plus lourdes, mais le problème avait disparu .

De toute manière, si tu freines, t'es un lâche.

H.R

" Qu'est ce qu'il veut Zilo ? "
Ca , des belles photos , tt simplement .
Merci , M sieur RIGAL

En 74 ,Michel Rougerie était "officiel" Art Laid Ferguson ,son mécano attitré sur les GPs était le pôte à
Msieur Rigal, Sur les coursee en France il y avait parfois un jeune pour le seconder.

Il faut quand même admettre que Villa a toujours réussi à battre des pilotes plus forts que lui, Rougerie
Cecotto et autres . Ma l est vrai qu il avait les faveurs de Milani, parce que italien et trés bon metteur au point .
Et il aimait bien les coniques , peut-être parce qu il était le seul à les faire marcher et que donc il avait un avantage. Et coome Campa payait ....

Super sympa les photos de Mister Rigal chevauchant de mythiques anglaises.

Je ne connaissais pas ce pan de sa carrière. D'ailleurs ne devrait-on pas créer un Topic sur la carrière de monsieur Hubert, il le mérite je pense ?

Par contre, il n'est pas très attentif aux post antérieurs :

Dixit monsieur Jarno : La TZ 700 n'a jamais existée !

J'attends les réactions

Pour ce qui est des freins sur la Norton (Commando), pour avoir eu la chance de voir Hubert monter en course de côte, je peux attester qu'il se servait peu des freins. Je veux dire par là non pas qu'il était lent - c'était tout l'inverse - mais qu'il y a acquis, grâce à cette mot, un style extrêmement coulé, très propre.
Lorsqu'il dit qu'il s'adaptait, c'est qu'il s'adaptait. De toutes manières, Hubert, s'il peut raconter des bobards, n'est pas du genre à se vanter.

Et celle là ? tu la connait ?

Cette fois j ai tout lu , donc je peux répondre

Oui je la connais; je l ai vu plusieurs fois ,à la vente en plusieurs endroits !
Ne dis pas que ça t intéresse !!!!!!!!!!!!!!
C EST UNE MERDE DE CHIEN !! UNE BIDOUILLE SANS NOM
Il y a un bas et une B de V de modele à partir de 72 ; les culasses je pense Parilla , et une Macchi d usine avec un Fontana
Si tu veux des photos de la VRAIE 71 , j en ai, sauf que nul de nul , j arrive pas à les poster

Hubert, toutes ces histoires de freinage ne me font pas marrer.

j’en ai adapté des systèmes de freinage mais ça ne m’est pas arrivé. Je n’exclue pas une part de chance.

""Et je vois une plaquette de frein se tirer à vitesse grand vé""". Crois-tu que ce soit normal ?

En fait, comme j'avais retiré le garde boue, en fin de plongée de la fourche, les durits de frein venaient toucher …
Read Spa 71 en 250, a eu cette idée, au deuxième tours, la porte de l’épingle de la Source était encore ouverte, ouf ! Ferry en était malade. D’où le divorce.


nous montions des pinces en acier de TZ 700 A . Un peu plus lourdes, mais le problème avait disparu .

Ca, j’aurais aimé le comprendre.

Tout ça pour te dire que je suis toujours dubitatif sur les réalisations des techniciens de la dernière minute qui modifient des éléments qu’ils ne maîtrisent pas.

BM1150R a écrit:

Super sympa les photos de Mister Rigal chevauchant de mythiques anglaises.

Je ne connaissais pas ce pan de sa carrière. D'ailleurs ne devrait-on pas créer un Topic sur la carrière de monsieur Hubert, il le mérite je pense ?

Par contre, il n'est pas très attentif aux post antérieurs :

Dixit monsieur Jarno : La TZ 700 n'a jamais existée !

J'attends les réactions

Tout le monde a raison. Effectivement, comme l'a dit Jarno, les tablettes Yamaha ne mentionnent pas TZ 700 mais TZ 750. Mais dès que la grosse Yam est arrivée, nous l'avons tous et immédiatement appelé la "700", référence à sa cylindrée. Et aujourd'hui dans nos conversations (comme avec Jean-Paul Boinet au tél. avant-hier), cela continue. Il devait en être de même dans la presse qui reprenait ce que disait le milieu. Alors il ne peut y avoir querelle. Nous avons pour beaucoup appris qu'il n'y avait officiellement pas de "700", mais nous, nous savons qu'elle a existé et continuerons de l'appeler ainsi.

Justin

Les plaquettes qui se tirent, j'ai pas dis que c'était normal . J'ai dit que ça m'était arrivé .
Mais il faut remettre toutes ces histoires dans leur contexte . A l'époque du critérium 750, je me déplaçait sur les circuits souvent avec la bécane
par la route . Je n'avais pas toujours de mécano, et mon team manager, c'était Philippe Debarle ( c'est dire ) . Demande lui , c'est un Pit - lanneur .
Je ne suis pas ingénieur, ni même mécano. et on se démerdaient avec ce qu'on avait . Donc, des trucs comme ça, ça arrivait parce qu'on n'avait
pas vérifié l'usure des plaquettes, c'est tout. Moi, je raconte des histoires rigolottes ( vraies ) mais rigolottes .
A l'époque, on aurait bien aimé avoir trois bécanes, un camion Mercedes , deux mécanos etc... mais ce n'était pas tout à fait ça.
C'est arrivé après, mais bien après .

Oui Hubert , un temps que les jeunes ne peuvent pas connaitre immaginer . Un outillage mini , pas la grosse caisse Facom sur roulettes , couvertures chauffantes c' est quoi ça , et pas de pognon pour l' essence ........... le pilote souvent seul ou avec un copain ou une copine

Moi j'aime bien les histoires de Tonton

dd1 a écrit:

Pour ce qui est des freins sur la Norton (Commando), pour avoir eu la chance de voir Hubert monter en course de côte, je peux attester qu'il se servait peu des freins. Je veux dire par là non pas qu'il était lent - c'était tout l'inverse - mais qu'il y a acquis, grâce à cette moto, un style extrêmement coulé, très propre.
Lorsqu'il dit qu'il s'adaptait, c'est qu'il s'adaptait. De toutes manières, Hubert, s'il peut raconter des bobards, n'est pas du genre à se vanter.

Je confirme ton appréciation, comme en côte ou à Clermont. et puis, avec la Norton, Hubert était le David face aux méchantes Zhonda.

Comme il le dit, il faut se replacer dans le contexte de l'époque, où les qualifications des pilotes étaient très diverses et les moyens encore extrêmement réduits.
Vu de ma fenêtre, Hubert est un, sinon le premier à parvenir à se voir confier une telle diversité de motos, c'est vraiment une rupture dans l'histoire de la vitesse en France.

BM1150R a écrit:

Dixit monsieur Jarno : La TZ 700 n'a jamais existée !

J'attends les réactions

Susceptible et rancunier maintenant, ça s'arrange pas ici

C'est pas dixit Monsieur Jarno d'abord, c'est dixit Yamaha Motor Co

Mais comme je l'ai déjà écrit, chacun est en droit de l'appeler comme il veut la TZ750A, ça ne m'empêchera pas de dormir

Pour la dernière fois . Après, je frappe violemment et à plusieurs reprises .

1974: TZ 750 A ( 700 cc )
1975: TZ 750 B ( 700 cc )
1976: TZ 750 C ( 750 cc )
1977: TZ 750 D ( 750 cc Cantilever ) ( Faussement appelées 0W 31 . Les OW 31 étant l'appellation des motos d'usine)
1978: TZ 750 E ( " " )
1979: TZ 750 F ( " " )

Fin 1979, fini , plié, plus de 750 compé client .

1980: TZ 500 G ( 500 cc )
1981: TZ 500 H ( 500 cc )
1982: TZ 500 I ( 500 cc Reverses , deux carbus devant et deux derrières . 30 exemplaires construits .)

Fin 1982, fini , plié, plus de 500 compé client.

Voilà . Enfoncez le vous bien dans le crâne, car on y reviendra plus .

H.R

Merci Hubert


Pour le plaisir de pitnailler, seules les 46 premières TZ750B de 1975 étaient encore des 694cc, les TZ750B suivantes étant des 748cc, et les acheteurs des 46 premières ont reçu des cylindres leur permettant de transformer leurs moteurs en 748cc.

Hubert Rigal a écrit:

Des problèmes de freins, j'en ai eu d'autres, comme en 1977 ou on courait avec les Yam OW 31 avec les pinces avant en magnésium .
Sur les circuits de freinage comme Brands Hatch, les pinces chauffaient et au fil des tours s'écartaient . Tant et si bien que dans les derniers tours on se retrouvait avec le levier au guidon. Pour palier à ce problème , nous montions des pinces en acier de TZ 700 A . Un peu plus lourdes, mais le problème avait disparu .

De toute manière, si tu freines, t'es un lâche.

H.R

Ne vous méprenez pas, je ne remettais rien en question, je réagissait juste à ce texte !

Jarno

Pour les TZ 750 B de 1976.

Peux tu nous donner les noms, adresse, âge, N° de sécu des Japonais qui montaient les TZ 750 sur les chaines au Japon.
Tu as une heure pour répondre .

Il peut le faire... mais en japonais seulement!

Hubert Rigal a écrit:

Peux tu nous donner les noms, adresse, âge, N° de sécu des Japonais qui montaient les TZ 750 sur les chaines au Japon.
Tu à une heure pour répondre .

Voila, c'est fait :

あなたは の上に TZ ７５０の上に日本に我々に名前

、送信、年齢、動いた（付いた）

secu 日本語のｎつを与えることができますか？

あなたは答えるために１時間を持っています。.

Autre chose ?

Merci Santi !

oh tu sais, moi, si je peux rendre service....

Nous évoquions la Yamaha 700 ou 750 et Jean Paul Boinet était cité. Lors du GP de France à Rouen, j’ai retrouvé cette image. Il me semble que c’est une moto neuve donc de 1975.
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Bien que ses motos étaient dans de bonnes mains, vu l’état, Il est peu probable qu’elle ait fait Daytona 1974.
NB: Hubert, en fonte les pinces de Yam, pas en acier.


Il y avait des doutes sur les motos de Michel Rougerie, Là, il rognait le carénage afin de sortir les genoux.
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Pour cette classe, deux Brembo devant et un Fontana derrière.

Heuuuu... le GP de France 75, c'était au Castellet m'sieur !

A Rouen c'était une course inter, en mars.

Michel Rougerie a gagné la première manche en 350-1000 avec cette HD AerMacchi 500 twin à 4 carbus, devant Chas Mortimer sur une TZ750 et Patrick Pons sur une TZ350.

Kork Ballington (TZ750) a gagné la deuxième manche, devant Mortimer et Dave Potter

Au cumul des deux manches, c'est Chas Mortimer qui l'emporte, devant Jon Ekerold (Yamaha TZ750) et Patrick Pons

(source : Racingmemo, what else?)

Jarno a écrit:

Au cumul des deux manches, c'est Chas Mortimer qui l'emporte, devant Jon Ekerold (Yamaha TZ750) et Patrick Pons
(source : Racingmemo, what else?)

Pit-naillons un peu....il n'y a pas beaucoup d'erreurs sur Racing Memo, cependant je serais très surpris qu'Ekerold ait eu une 750 à disposition en arrivant pour sa première saison en Europe. Je pense qu'il avait débarqué avec seulement une 350TZ, avec laquelle il roulait une semaine après Rouen au Trophée du Million quand il a chuté sous mes yeux en se blessant sérieusement à un pouce qu'il a fallu amputer ..... ce qui ne l'a pas empéché de finire deuxième à Salzburg ( toujours en 350 ) pour son premier Grand Prix, un mois plus tard. Le début d'une grande carrière....

Ceci dit, je peux naturellement me tromper, et je ferai volontiers pénitence si un pit-laner nous sors une photo d'Ekerold roulant sur une 750TZ à Rouen en 1975.

Justin .

Quoi ? Des pinces de freins en fonte ? On m'aurait menti ? Je pensais qu'elles étaient en roudoudou.
Bon, je te pardonne , et je pense que tu as raison . Va pour la fonte.

Fonte ou acier , pas grande différence sinon la formule chimique .