[Oldies] Angel Nieto, Mike Hailwood, etc... (Part 1)

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[quote="Fügner"]Merci, la version G50 est si rare! C'est à Brands Hatch?

Yes! c'était à Brands Hatch en 1969.

A propos de Bill Ivy, si ma mémoire est bonne, il avait été sacré "King of Brands" en 1966, au guidon de sa Métisse Rickmann.

Hi hi hi merci les gars mais je ne participe a aucune compétition meme si mon métier c est de faire des courses lol.. bubu au lieu de dire des betises , parles nous du fameux mono AJS 7 R qui s est transformé en twin..

Deux pilotes en 1985 1990 roulaient en AFAMAC avec de très belles G50 Rickman ,un des deux pilotes désormais s'intéresse aux monos horizontaux transalpin

Apriliabarth a écrit:

Hi hi hi merci les gars mais je ne participe a aucune compétition même si mon métier c est de faire des courses lol.. bubu au lieu de dire des bêtises , parles nous du fameux mono AJS 7 R qui s est transformé en twin..

Désolé, mais sur notre circuit pit-lane, tu fait souvent la pole et podium!

C'est quoi ça, la 7R transformée en twin? Bubu est imprenable sur la distance même si on peut parfois (très rare) lui montrer notre roue avant... la différence entre le vécu dans la durée et le ponctuel.
Il est un peu comme les arméniens, qui sont ceux qui vivent... dans l'armée

Merci Fugner , du compliment ! , mais quand je pense qu il a fallut que j atteigne 40 balais pour découvrir ce qui fut sans doute une des 250 de course les plus fabuleuses de l histoire je ne suis pas fier , j ai nommé la "Moto a Gegene" ça te dit quelquechose ??

L AJS 7R , elle est plus communément appelée la "Keeler twin" , du nom de Arthur Keeler , un mécano Anglais de l usine AMC qui la construisit en 1965/66 avec l aide de Tom Mortimer , un autre de chez AMC. En fait , ils ont accouplés entre eux deux cylindres de G45 des années 50 , pour donner une cylindrée a leur twin de 498 cc , avec deux carbus Amal , des modifications diverses , dont un vilebrequin de Norton Dominator , ils ont construit cela a leurs heures perdues , sans soutien aucun de l usine apparemment , ce qui peut expliquer le manque de résultats de cette moto en compétition , le moteur était malgré tout plus léger et plus compact qu un Norton Manx , des photos ce soir , mais rien d extraordinaire dans l aspect général de cette moto.

mais arrêtez, je suis fort sur ce que j'ai vu et vécu, pour le reste faut que j'apprenne comme tout le monde
la double 7R je sais pas ce que c'est ! par contre j'ai vu doubler un paquet de 7 R ...

Surtout en Irlande !

un cat qui aime les chiens, faut le faire !javascript:emoticonp('')

J'ai honte !

puisque ça part en sucette et pour relancer la réflexion, j'ai entrepris, au hasard de mes périgrinations dans mes anciennes revues, de savoir quand étaient apparus les premiers pneus slicks. Je suis remonté jusqu'au milieu des années 70, mais je n'ai pas encore trouvé l'article relatant l'apparition de ce boudin lisse.
Quelqu'un a t'il un souvenir plus précis à ce sujet ? Qui fût le pilote téméraire qui s'y risqua la première fois ? Quel manufacturier a été innovateur ? L'automobile a t'elle eu une influence sur ce progrès ?

merci

de mémoire : les premier slicks c'est goodyear vers 73/74 - chercher les reportages sur daytona, c'est là qu'on les découvre - le premier à les utiliser en europe c'est rené guili, car il était pote avec bernard cahier, célèbre journaliste de F1 qui fut aussi pr pour goodyear et lui avait eu ces pneus gratoche - cahier habitait evian et rené était son taxi attitré pour l'emmener prendre l'avion à genève

Hi hi hi.... trop fort ce bubu , tiens voila des photos de la bete :

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Source : Mick Walker

bubu a écrit:

de mémoire : les premier slicks c'est goodyear vers 73/74 - chercher les reportages sur daytona, c'est là qu'on les découvre - le premier à les utiliser en europe c'est rené guili, car il était pote avec bernard cahier, célèbre journaliste de F1 qui fut aussi pr pour goodyear et lui avait eu ces pneus gratoche - cahier habitait evian et rené était son taxi attitré pour l'emmener prendre l'avion à genève

Merci pour ces renseignements. Je n'ai pas mes revues à portée de main actuellement, mais j'étais arrivé à un article où on parlait de Barry Sheene qui testait et comparait les pneus classiques et les slicks (1975 ?).
Si je me souviens bien, les pilotes ont d'abord adopté les slicks à l'arrière en gardant les rainurés à l'avant.

Bernard Cahier était aussi un très grand photographe. Le matériel était certainement moins sophistiqué mais la proximité avec la piste et les décors "vierges" aidaient beaucoup à cette ambiance unique. Je crois aussi que la complicité avec les pilotes et leur entourage devaient aussi apporter beaucoup à cette ambiance unique que l'on découvre dans les photos des bons photographes de l'époque.

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Barnett en action sur la Metisse
photo François Beau

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Super "Little Bill" sur la superbe Metisse....

Vingt dioux, c'est que des dingues sur ce forum, y a t il des limites?

Une autre 7 R , pas Irlandaise celle ci mais Rhodésienne , et pas forçément trés connue non plus , celle de Colin Lyster, comme le dit la légende un moteur de 1962 dans un chassis de 1960 , qui est en réalité une copie des cadres des Bianchi de Lino Tonti , dont Giusseppe Pattoni au passage se serait également inspiré , belle finition en tous cas , et 16 kilos de gagnés sur une 7R standard.


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Source : Mick Walker

Beau travail d'allégement du frein ar style "dentelle" , par contre les amortisseurs paraissent récents.

La filiation est évidente avec les Bianchi et Paton du même géniteur.
Lyster avait déjà mis un Manx dans une telle partie cycle, j'ignorais la 7R! (un cambriolage s'impose en région irradiée )

La dernière Bianchi fabriquée vue à Vincennes en 2008

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A la fin de l'année 63 G Monneret organisa un essai officieux de 350 et 500 Bianchi pour Beltoise en lui préçisant " C'est juste pour te faire plaisir. Ne force pas de trop.Aucun espoir de piloter pour Bianchi l'année prochaine : ils arrêtent la compétition " et J.P.B de conclure, " sans forcer, au 2èm tour chrono, j'avais pulvérisé le record du tour du 9km"
Photo : archives perso de JPB
Source : JPB Mon album photo Escellent livre bourré d'anecdotes et de belles photos....

hé hé hé..., moi j ignorais jusqu a ce midi que le Canadien Tom Fauld avait mis un Manx dans un cadre Lyster , mais en fait ces deux histoires sont liées entre elles , l idée du cadre Lyster de la Manx étant postérieure a celle de la 7R , de plus , c est ce meme cadre resté vacant pendant 10 ans si j ai bien traduit qui servira a y transposer le moteur de 7R , avant que plusieurs cadres furent construits "en série" par Lyster lui meme.

L aspect moderne et propre de l amortisseur arriere notamment s explique par le fait que cette moto fut reconstruite (ou restaurée) en 1998 , mais il y a plus étonnant encore ; cette 7R "Apfelbeck" , dans un cadre Autrichien Wertal , en fait un haut moteur Apfelbeck (4 soupapes , double arbre , de 350 cc , avec une boite Norton) , c est l Autrichien Leonourd Fassl , un illustre inconnu pour moi qui la pilota , notez au passage qu il y a un echappement et un carbu par le devant du cylindre , et un échappement et un carbu par derriére le cylindre , le bitza dans toute sa splendeur !!


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Source : Mick Walker

On a revu ces Bianchi en 1968 lors du Critérium ACO disputé sur le grand circuit du Mans (13km 468)
Les photos sont assez médiocres mais à l'époque je ne disposais que d'un Instamatic Kodak...
Aucun souvenir du (ou des) pilote ni du résultat...

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C'est la paticularité des hauts moteurs Apfelbeck ,quatre soupapes ,la soupape d'ADM à coté de la soupape d'ECH, et pareil de l'autre coté. Mais peut être les technicien pourraient nous en dires plus.

Chouette témoignage que celui des Bianchi du Mans , en fait , on pensait que les toutes derniéres apparitions de Bianchi en piste remontaient dans des mains privées a 1965 , avant que le service course ne fut dispersé en Italie et en Allemagne , c est une marque que j aime particuliérement , j ai recemment entrepris de me faire une réplique miniature de leur transporter , un camion Bianchi apparemment , puisque cette marque a également construit des vélos, des autos et des camions .

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Source : Antonio Gentile