Sympa d'avoir pu réentendre Dario Marchetti au micro...."Zé mé soui fait oune saleur dans Signes. Ca passe tré tré vite Signes. Au moins quatre cent kilomètre heure!"
Pierre"PhilRead"
Nombre de messages : 12753 Localisation : Avignon Date d'inscription : 17/10/2012
Très belle journée , rencontre avec les pit-laners qui devaient bien constituer la moitié du public de ce dimanche .(
Ce bon vieux Phil " great rider and smart trader", qui devait anticiper une dévaluation du cours de l'€ ( son bouquin c'est comme le Pommard de ma région natale) mais c'est bien connu "lorsqu'on aime ...
une petite vidéo d'ambiance
patthebike
Nombre de messages : 134 Age : 67 Localisation : castelnaudary Date d'inscription : 21/10/2012
Une SRC de plus, la 5ème pour moi je crois, et toujours autant de bonheur à retrouver le temple du Castellet. Certes pas le tracé idéal pour ma S3 et ses 42 valeureux poneys, surtout le 5.8, mais heureusement (pour nous) avec les 2 chicanes ..en fait 3, étant nous même une chicane mobile.
Quoiqu’une 400 au passage dans Signes c’est pas -trop-ridicule. Faut dire qu’on a l’avantage de ne pas se soucier du repère de freinage, on coupe juste histoire de basculer sur la traj, vu qu’on vient de l’extrême gauche du Mistral pour ne pas gêner les “avions au freinage”. Sans brusquer sa frêle monture (fourche de 34! cadre de vélo ) , 2 doigts sur l’embrayage au cas où… apnée et yapuka enquiller adonf en visant l’entrée du double droit, des fois même on peut taxer des touristes* qui découvrent le circuit. Ensuite dans les bouts droits (ouais d'accord, enfin pas que) on se fait surtout déposer, mais c’est presqu’avec plaisir lorsque l'on perçoit les détentes des RG et autres RDLC traficotées. La RG575 ex Gilles Coulanges de l’ami Philippe de Guenviller (secrétaire RG500 club) vow! ça dépote dans Mistral!! Sans oublier les H2 qui vous virevoltent autour, on se croirait dans une manche des promos ‘73. Gilles Husson a du apprécier de là-haut.
Pas de pitié entre pitlaner, JH42 me fera le freinage à l’école, sans doute pour me faire profiter du concert des détentes de son H2 bleue coursifiée.
Cela ne m’empêchera pas de taper la discute avec ce même JH42, faire connaissance grâce à Jean de Mykeul et PYD17 . Bien sûr rencontré l’infatigable PierrePhilRead couvrait l’évènement. Presque pas la peine de poster mes photos, il a tout vu! Jap70 était voisin du parking D, sa 350RDLC le lâchera pendant une séance où il retrouvera ainsi la KR1S en rade du pote Patrice Blomme des amis de la coupe. Façon de faire connaissance en attendant le camion balai (bien fait Patrice, t’aurais du amener la 400, les 3 pattes c’est plus fiable nananère ) Grand merci à JP Bonato pour avoir permis cela, à Tonton Hub pour le prêt du beau matos Yam, et à tous les pitlaners rencontrés. Des fois un peu trop vite, comme Manu, Edouard B et son paternel. Aperçu Bubu, Collecto, Tonton Hub’ et d’autres que je n’ai pas eu le temps de saluer, scusez-moi.
Bon assez parlé, allez on va vous poster quelques photos quand même.
* ceci dit sans aucun mépris de ma part mais en référence à l’appellation SRC de mon groupe de roulage ; groupe B= tourisme 2 temps
Dukasuz savourant le concerto de la sortie du Pont, pour RG à 4 flûtes
Possesseur de deux VTR "standard" a une époque j 'ai bien failli craquer pour une SP-1 car la "VTR de mes rêves" appelée en réalité SVR (Avec cadre treillis Segale, fourche de 43 mm; double échappement superposé, freins Brembo etc etc..) n'était pas disponible a la vente sauf si 3 commandes fermes pour diminuer les coûts, un seul exemplaire fabriqué apparemment et parti au Japon.
Notre ami Dukasuz ( lui au moins il a pu voir Ceccoto !!)
Il faut dire qu'à l'apéro d'Avignon, sans doute l’esprit embrumé par les vapeurs de rosé, j'avais accepté une mission impossible qui me fut confié par Yves Kerlo. A savoir faire dédicacer à Pitlane 2 photos , par Johnny Ceccoto et Kork Ballington, rien que cela. Mais aussi remettre une photo à Eric Saul, où il prend le départ de son premier GP de France… au Ricard. Bon là c’est piece of cake, Eric étant de la famille des amis de la coupe. Accessoirement, Yves me demanda de lui faire dédicacer une photo perso si je tombais sur la “fraise”, bien que ce ne soit pas encore la saison. Surtout qu’il faisait encore frisquet ce week-end.
Roulements de tambour, torse bombé, Dukasuz déclare façon W.Bush Jr sur porte avion: dear Pitlaners mission accomplished!
preuves à l’appui :
M’sieu l’organisateur de l’ICGP vous salue bien. Eric Saul est un champion de la sympathie toute catégorie . (pas récompensé en course par le joint de culasse de sa 250 qui le lâchera, dommage)
Lors de la pause déjeuner au restaurant du circuit, je vois une fraise débouler devant moi. Non, pas dans mon assiette. Il s’agit de Patrick Plisson, accompagnée de madame. Je l’interpelle d’une manière un peu cavalière, ayant peur qu’il ne s’écrase, heu qu’il ne s’échappe. Le sésame Pitlane brandi, il interrompt séance tenante le parcours qui le menait au buffet (toutefois à ses risques et périls au moment du dessert? ). Merci beaucoup à Christine et Patrick pour leur gentillesse, sachant qu'ils viennent nous rendre visite - incognitos- sur PLB.
Le sésame Pitlane (merci au pote à Philippe Vassard) me permis de me faufiler jusqu’au fond du Big Boy Yamaha. Antre dans laquelle je rencontrais le kid de Caracas himself. Misère, dire que j’ai oublié chez moi la photo prise au GP’75 (cf le topic PLB GP France 1975) préparée pour une éventuelle dédicace en cas de rencontre avec Johnny (l’autre idoles des jeunes des 70’s. Oui Bubu, je sais, c’est ridicule, ça sert à rien, mais je suis un sentimental). Je lui évoque ma venue au GP’75 et autre MJ200 , lui explique le pourquoi de la dédicace à Pitlane. Pas sûr qu’il vienne nous rendre visite un jour mais au moins c’est dit (tonton Hub’ au boulot!). Il accepte volontiers de poser pour Pitlane et m'autorise à poster la photo sur PLB.
Ce fut un moment très sympa, merci Johnny, merci Pitlane.
Bon c’est pas tout, mais où est donc Kork ? coincé dans un bouchon?
Le voilà enfin, en vert chez les verts. Envers et contre toute timidité, je l’aborde. Une autre évocation avec ce champion du monde de mes GP vu au Castellet, cette fois un peu plus tard.
L’homme s’avère très affable, il s’esclaffe en découvrant le cliché (oh my God!) Je fanfaronne ; au fait Kork, je suis aussi un pilote Kawa, qui plus est ma moto est verte aussi..!!?? j’explique la private joke, il se marre. Puis me dédicace les 2 photos. 2 car Yves a eu la gentillesse de m’offrir un 2ème tirage, pour mézigue. Le dimanche soir,Kork se dirigeait vers le parking avec sa valise à roulette, alors que je mettais la 400 sur la remorque. Il me vit, m’adressa un thumbs up (pouce levé) avec un clin d’œil. Pour sûr il se rappelait de ma private joke de pilote kawa. Sympa le gars Ballington, Kork is a nice guy
Michel "Dukasuz",voici donc l'energumène a qui tu faisais inlassablement le traducteur lors d'un stage de pilotage de la Kevin's School a la Technopole d'Alès!!! Tu le reconnais?
Oui Pierre, je l'ai reconnu. Vu aussi alors que j'étais en prégrille, il mitraillait le groupe 2 temps. D'ailleurs je portais mon Araï Kevin Schwantz samedi, mais fut victime d'un syndrome Lorenzo. Juste avant le départ, en fond de Pitlane je levais ma visière trop brusquement, la fixation gauche lâchait, la visière fit "pop" en se décrochant. Aargh!! je réussis toutefois à la remettre juste au moment ou le drapeau vert se levait. Par prudence je mis l'AGV Ago pour les séances de dimanche. Pour l'anecdote de la traduction : travaillant dans une entreprise américaine dont la majorité des usines se trouvent au Texas, j'ai l'avantage de piger l'accent texan. Ce qui m'a permis de m'entretenir avec Kevin lors de sa venue à Alès pour le stage organisé par Suzuki en août 2004 (MJ avait passé ma bafouille dans le courrier des lecteurs sur ce sujet). Et d'aider les fans présents à comprendre ou traduire leur questions. Joël avait amené une masse d'objets à faire dédicacer, livres, casques, maquettes...sans compter son GSXR 1000! Non seulement Kevin accepta de bonne grâce à céder aux sollicitations de tous ses fans. Mais il resta avec nous après le dîner pour répondre à toutes nos questions. Pour ma part, je lui demandais de nous raconter par le détail son freinage d'Hockenheim '91. On eu droit à tous les détails, avec grand gestes à l'appui. Joël était tout près de l'extase à ce moment! c'en était presqu'effrayant.