[Oldies] Sidecariste Jacques Drion and his passengers

Il semble qu'il n'y ait pas eu de Mt Ventoux 1953-54-55.

Reprise en 1956.

Ce n'est qu'en 1963 que les motos et les sides referont leur apparition sur les pentes du Ventoux.

Source: Le Ventoux par Maurice Louche.

Merci les gars. Ça devrait faire une question sans réponse de moins, c'est toujours ça de pris.

(Bon, je continue à vous lire ailleurs — sur les autres sujets "Oldies", veux-je dire —, je devrais en venir à bout d'ici deux semaines.)

Deux semaines !
T' es d' un optimisme !!!

Jacques Drion GP de PAU 1953
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Photo récupéré sur un film voir les autre photo de cette journée sur:
http://motos-course-anciennes.blogspot.fr/2015/10/le-grand-prix-de-pau-1953.html
Mon père Pierre Michel était le passagé de Jean Murit pour cette course
cordialement
Claude Michel

Pour Lothar…



Souvenez-vous. C’était il y a deux mois. J’avais “posté” sur pit-lane.biz, sujet Side-Car: quelques images, ceci…

http://www.pit-lane.biz/t7531p800-oldies-side-car-quelques-images#top

Ce qui me permettait de pousser de petits cris aigus :

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Enquête à suivre ? Le hasard des lectures fit bien les choses et l'enquête fut suivie.






... / ...

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(Qu'un seul d'entre-vous le demande et je traduis la partie nous concernant, la course des side-cars.)

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Certes, je m'emporte un peu dans ma dernière question à laquelle j'offre une réponse. Le corollaire n'est-il pas qu'en fait, si c'est possible d'éternellement répéter les mêmes faussetés, c'est parce que, essentiellement, tout le monde s'en fout, spécialement, se fout de la vérité ? Mais je m'emporte encore.

(Bon, main'nant j'vas m'traduire la page narrant le GP de Suisse 1952 vu par le charioteer.)

Ben tu poses les (bonnes) questions et tu donnes les (...) réponses.
Que pouvons-nous ajouter de plus ?
De mon coté je m'en vais faire le passager à Orbec et il n'y aura pas la presse.

Pierre\"PhilRead" a écrit:

Hi Lothar,
I found this on the net...Maybe  you know...



Zu meiner Schande muß ich eingestehen, dass ich erst durch einen aufmerksamen Besucher meiner Webseite im Gästebuch daran erinnert wurde, daß ein frazösisch-deutsches Gespannpaar vor 55 Jahren, just als die aktuellen Fahrer 2013 zum Abschlußtraining beim WM-Lauf in Brno antraten, in Brno tödlich verunglückt waren. Das länderübergreifende Gespannpaar waren der Franzose

Jacques Drion mit Inge Stoll

aus Breinig bei Stolberg im "Pantoffel".

alsIn gewisser Weise war die junge Frau Ingeborg Stoll motorsportlich vorbelastet, denn ihr Vater war selbst Sidecar-Fahrer, mit der Mutter im Beiwagen. Die Mutter wurde dann aber von der Tochter abgelöst. Als der Vater später sein Lederzeug an den "berühmten Nagel hängte" und Inhaber einer Fahrschule wurde, war der Weg zu einer rennsportlichen Karriere für Tochter Inge vorgegeben. An dieser Stelle sollte ich auch gleich noch vermerken, daß man in älterer Literatur oder Programmen den Name Stoll-Laforge findet. Eine plausible Erklärung dafür konnte ich nicht finden.

Was anfänglich wie eine Sensation wirkte, eine Frau im Beiwagen eines harten Männersports, war aber keine. In der Schweiz hatte es bereits vor dem Krieg eine Gespannpaarung gegeben, bei der sich Hans Stärkle mit seiner Ehefrau erfolgreich im Gespannsport beteiligte und auch Fritz Mühlemann mit Ehefrau Marie war aktiv im Rennsport tätig. Später waren noch das Ehepaar Lambert erfolgreich auf Rennpisten unterwegs und auch die Deutsche Armgard Neumann brauchte sich im harten Gespannsport nicht zu verstecken. Man möge mir verzeihen wenn ich an dieser Stelle nur einige wenige Amazonen hier erwähne. Den Respekt haben alle verdient, die sich in der "Männerdomaine" betätigten und auch behaupteten.





Nachdem der Engländer Bob Onslow als Passagier mit dem Gespann von Cyril Smith liebäugelte und sich dort offenbar mehr Chancen versprach, kam die Zeit von Inge Stoll. Die Paarung Drion-Stoll wurde fortan ein Begriff in der Sidecarszene. Zweiter Platz auf dem Norisring, zweiter Platz auch auf dem Grenzlandring und Dritter beim Hamburger Stadtparkrennen. Auf diesen Ergebnissen konnte man eine internationale Karriere aufbauen. Nach einem großartigen WM-Auftakt im Jahr 1952 im Berner Bremgarten, als man gleich mit als Dritter auf das Treppchen durfte, folgte eine WM-Saison ohne Ausfälle und beim letzten Lauf in Monza konnte man sogar den Weltmeister des Jahres, Cyril Smith, hinter sich lassen und wurde Zweiter. Nur der Exweltmeister Eric Oliver, der während der Saison wegen Verletzung lange gefehlt hatte, hielt das französisch-deutsche "Traumpaar" auf Distanz und gewann das Rennen.

Das große Problem, respektive das Pech dieser Traumpaarung war, dass gerade in jener Zeit deutsche Gespanne sich in den Vordergrund schoben. Noll/Cron, Faust/Remmert, Hillebrand/Grunwald, Schneider/Strauß und einige mehr, sie alle hatten einen ähnlichen Ruf wie Werner Haas, HP Müller oder Walter Zeller in den Soloklassen.

Eine interessante  Unterhaltung gab es möglicherweise im Bild rechts, als sich Jacques Drion und Manfred Grunwald im Gespräch befinden und Friedrich Hillebrand, sowie Inge Stoll interessierte Zaungäste zu sein scheinen. In den Fahrerlagern war es ja ein offenes Geheimnis, dass sich Manfred Grunwald und Inge Stoll kennen und lieben gelernt hatten. Aber auch Jacques empfand wohl mehr als nur Symphatie für seine Beifahrerin. Das Problem dabei, wie kann unter solchen Liebeszwist noch eine erfolgreiche Zusammenarbeit im Gespann möglich sein. Es war über eine gewisse Zeit offenbar möglich, wie die erreichten Ergebnisse zeigten.

Zu Jahresbeginn 1958 gab Inge für das Saisonende ihren Rücktritt vom Rennsport bekannt. Diese Entscheidung verfestigte sich, nachdem Sie im Frühjahr Manfred Grunwald geheiratet hatte. Der hatte im Jahr vorher einen Unfall mit Fritz Hillebrand heil überstanden. Leider war aber sein Fahrer Fritz Hillebrand bei dem Crash in Spanien ums Leben gekommen, als bereits feststehende Weltmeister.

Als nunmehriger Ehemann begleitete Manfred Grunwald seine Frau zu vielen Rennen, bis zu dem tragischen Rennen Brünn. Bei dem Unfall war Inge Stoll-Grunwald sofort tod, während Jacques Drion noch am gleichen Tag im Krankenhaus verstarb. Über den Unfallhergang ranken sich viele Geschichten, aber ich möchte mich an den Spekulationen - und mehr ist es nicht - nicht beteiligen. Fakt ist nur, der Unfall passierte an einer Stelle des Kurses an welcher der Beifahrer "flat out" im Beiwagen lag und "nicht turnte". Da es keine Unfallzeugen gab, eben weil es an der Stelle normalerweise "keine Action" gab, steht alles andere in den Sternen.....

Ganz banal, aber der Vollständigkeit halber erwähnt: das Rennen gewann Florian Camathias mit Horst Kassner (ja es war der Sportmax-Fahrer) als Aushilfsbeifahrer im Boot.

Fotos: Rudolf Steber, Günter Geyler, Claude Lambert, Archiv FBi  






 

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Traduction google
À ma honte, je dois admettre que le visiteur attentif de mon site Web dans le livre d'or m'a seulement rappelé qu'un couple franco-allemand d'équipes il y a 55 ans, juste au moment où les pilotes actuels ont commencé l'entraînement final lors de la Coupe du monde à Brno en 2013, à Brno. a eu un accident mortel. Le couple transfrontalier était les Français

Jacques Drion avec Inge Stoll

de Breinig près de Stolberg dans la "pantoufle".

D'une certaine manière, la jeune femme Ingeborg Stoll était prédestinée au sport automobile, car son père était lui-même pilote de side-car, avec sa mère dans le side-car. La mère a ensuite été remplacée par la fille. Lorsque le père a par la suite accroché son équipement de cuir sur le "fameux clou" et est devenu propriétaire d'une école de conduite, le chemin vers une carrière de course pour sa fille Inge était prédéterminé. À ce stade, je dois également noter que le nom Stoll-Laforge peut être trouvé dans la littérature ou les programmes plus anciens. Je n'ai pas trouvé d'explication plausible à cela.

Ce qui semblait initialement être une sensation, une femme dans le side-car d'un sport masculin difficile, n'en était pas une. En Suisse, il y avait déjà un couple d'équipes avant la guerre, dans lequel Hans Strengkle et sa femme ont participé avec succès au sport d'équipe et Fritz Mühlemann et sa femme Marie étaient également actifs dans la course. Plus tard, le couple Lambert a toujours réussi sur les pistes de course et l'Allemand Armgard Neumann n'a pas non plus à se cacher dans le sport d'équipe difficile. On peut me pardonner si je ne mentionne ici que quelques Amazones. Tous ceux qui travaillaient et prétendaient être actifs dans le «domaine masculin» méritaient le respect.





Après que l'Anglais Bob Onslow ait flirté avec l'équipe de Cyril Smith en tant que passager et apparemment promis plus d'opportunités là-bas, le temps d'Inge Stoll est venu. Le couple Drion-Stoll est devenu un nom familier dans la scène du side-car. Deuxième place sur le Norisring, deuxième place également sur le Grenzlandring et troisième dans la course du parc de la ville de Hambourg. Une carrière internationale pourrait se construire sur ces résultats. Après un grand coup d'envoi de la Coupe du monde en 1952 à Bremgarten, Berne, lorsque vous avez été autorisé à prendre la troisième place du podium, une saison de Coupe du monde a suivi sans échec et lors de la dernière course à Monza, vous avez même réussi à remporter le champion du monde de l'année, Cyril Smith et a terminé deuxième. Seul l'ex-champion du monde Eric Oliver, longtemps absent de la saison pour blessure, a tenu à distance le «couple de rêve» franco-allemand et a remporté la course.

Le gros problème, ou plutôt la malchance de ce couple de rêve, c'est que les équipes allemandes se sont imposées à ce moment-là. Noll / Cron, Faust / Remmert, Hillebrand / Grunwald, Schneider / Strauss et quelques autres, ils avaient tous une réputation similaire à Werner Haas, HP Müller ou Walter Zeller dans les classes solo.

Il y a peut-être eu une conversation intéressante sur la photo de droite lorsque Jacques Drion et Manfred Grunwald sont en conversation et que Friedrich Hillebrand et Inge Stoll semblent être les spectateurs intéressés. Dans le paddock, c'était un secret de polichinelle que Manfred Grunwald et Inge Stoll avaient appris à se connaître et à s'aimer. Mais Jacques aussi ressentait plus que de la sympathie pour son copilote. Le problème ici est de savoir comment un travail d'équipe réussi peut être possible sous une telle querelle d'amour. Cela a été évidemment possible sur une certaine période, comme le montrent les résultats obtenus.

Au début de 1958, Inge a annoncé sa retraite de la course pour la fin de la saison. Cette décision s'est solidifiée après son mariage avec Manfred Grunwald au printemps. Il avait survécu à un accident avec Fritz Hillebrand l'année précédente. Malheureusement, son pilote Fritz Hillebrand a été tué dans l'accident en Espagne alors qu'il était déjà champion du monde établi.

En tant que mari maintenant, Manfred Grunwald a accompagné sa femme à de nombreuses courses, jusqu'à la course tragique à Brno. Inge Stoll-Grunwald est décédée immédiatement dans l'accident, tandis que Jacques Drion est décédé à l'hôpital le même jour. Il y a beaucoup d'histoires sur la façon dont l'accident s'est produit, mais je ne veux pas faire partie de la spéculation - et c'est tout. Le seul fait est que l'accident s'est produit à un moment du parcours où le copilote était «à fond» dans le side-car et «ne faisait pas de gymnastique». Puisqu'il n'y a eu aucun témoin d'accident, précisément parce qu'il n'y avait normalement "aucune action" à ce point, tout le reste est dans les étoiles ...

Assez banal, mais mentionné dans un souci d'exhaustivité: Florian Camathias a remporté la course avec Horst Kassner (oui c'était le pilote Sportmax) en tant que copilote temporaire dans le bateau.

Bonne lecture CM "pepe gros pouces"

un article de moto Revue


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pépé gros pouces a écrit:

Jacques Drion GP de PAU 1953
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Photo récupéré sur un film voir les autre photo de cette journée sur:
http://motos-course-anciennes.blogspot.fr/2015/10/le-grand-prix-de-pau-1953.html
Mon père Pierre Michel était le passagé de Jean Murit pour cette course
cordialement
Claude Michel

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Photo de Pau mais je pense que c’était plutôt en 1952 et son passager "Bob Onslow"
voir :
http://racingmemo.free.fr/M%20FRANCE/MOTO%20FRANCE%201952.htm

Il ressemble bien à Bill (dorénavant, je m'y tiendrai) Onslow, en effet.

Dis, Claude, tu sais qui est la dame à côté de Jacques Drion sur la photo que tu as re-postée ?

Il me semble que c'est la même qui claque la bise à Bill Onslow ici, à Hockenheim, un mois après Pau et ta photo :

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(Photo que m'a obligeamment transmise Lothar.)

Merci Pepe et Didier!
Il faut maintenant savoir qui sont les dames de Pau et de Hockenheim.
Parfois, ce sont les reines de beauté qui ont fait la cérémonie de remise des prix.
Inge Stoll ne l'est certainement pas.
Ce ne sera pas non plus la mère de Jacques. Pour autant que je sache, il n'était pas marié non plus. Peut-être qu'il avait une sœur?
Continuez à chercher des indices. Merci beaucoup!

Alors, peut-être Mme Murit ?

DidierF a écrit:

Alors, peut-être Mme Murit ?

Bonsoir
Non voici une photo
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de gauche à droite; Inge, Drion, ma mère Mme Michel, et Paulette Murit à droite
Cdt

Diaporama !

https://motos-course-anciennes.blogspot.com/search?q=Murit

Elle avait le format pour être passagère de side-car de compétition, votre maman, Claude.

Bon, alors, la dame était peut-être la euh, petite amie de Drion à l'époque - nous sommes à l'ère ante-Ingeborg, après tout. Je ne sais plus où j'ai lu ça mais je crois que Jacques et Inge se sont rencontrés à Monschau / Montjoie, le 6 juin 1952 (ah voui, j'ai lu ça dans le quotidien Het Parool du 28/05/56 rapportant Zandvoort de la veille).

Sur Racing memo en 1952, Drion est champion de France mais avec Onslow ou Stoll ?

Je ne sais pas ce que faisait la FFM pour ça – ni si elle faisait quoi que ce soit.

Mais pour autant que je sache, le palmarès de Jacques Drion en 1952, c'est…

3e et 1e Français à Pau, avec Onslow,
3e et 1e Français à Mettet avec Onslow,
4e et 2e Français à Bordeaux avec Onslow, (battu par Bétemps / Drivet, cas unique)
1e à Hockenheim avec Onslow,
3e et 1e Français au GP de Suisse, avec Onslow,
3e et 1e Français au Nürburgring, avec Onslow,
1e à Aix-les-Bains, avec Onslow,
2e et 1e Français à Bergerac, avec Onslow,
2e et 1e Français à Monschau, avec Onslow,
1e à Mulhouse, avec Onslow,
1e à Tarare, avec Onslow,
6e et 1e Français au GP de Belgique, avec Onslow,
2e et 1e Français au GP de France (Albi, hors CM) avec Onslow,
3e et 1e Français au GP d'Allemagne (Solitude) avec Onslow,
2e et 1e Français à Gedinne, avec… Lothar me dit que c'est avec Inge.
2e et 1e Français à Vesoul avec Onslow,
2e et 1e Français à Nuremberg, avec Inge,
3e et 1e Français à Hambourg, avec Inge,
2e (à 0” 1 du vainqueur) et 1e Français au Grenzlandring, avec Inge, (bon sang, elle en avait, cette nana !)
4e et 1e Français, GP delle Nazioni, Monza, avec Inge,
2e et 1e Français en Avignon, avec Inge,
2e et 1e Français à Agen (allez, en Agen, tiens), avec (trrrès probablement) Inge,
2e et 1e Français au GP d'Espagne, Montjuich, avec Inge,
2e et 1e Français à Casablanca, avec Inge,
2e et 1e Français à Saragosse, avec Inge,

Comme tu vois, Bernard, les courses professionnelles en France, il les a gagnées (ou fait 1e Français) surtout avec Bill Onslow. (Il en a loupé quelques-unes aussi, mais pas assez pour ne pas être champion, apparemment).

M'enfin bon… Pour les championnats du Monde, on fait d'habitude figurer le ou les deux voire les trois passagers qui ont contribué au titre (sauf Bill Onslow pour Eric Oliver en 1950 !), alors dans le cas championnat de France 1952, pour peu que Avignon et Agen comptassent, on peut bien faire une petite place pour Inge.

Extrait des archives 01
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Source Mick Duckworth
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Le "mot" de Bourdache........

http://zhumoriste.over-blog.com/2018/03/z-humeurs-de-mars.html

Dans Moto Revue 1218, 25/12/1954 (je recommande le circuit de Cannes 1947) :

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Jacques Drion et Inge Stoll à Pau en 1953
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Les mêmes en 1954
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et en 1957

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C'est à Clermont-Ferrand, le 27 mai 1951 sur le circuit dit des Salins. Lothar nous donne ces photos.

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Je pense que celui que l'on voit devant sur la photo, avec un attelage Vincent-HRD et un ballast pour passager, est Marcel Cornet.

Un extrait de la photo :
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Ce #80 est (censément) Jacques Drion, avec Bill Onslow, et pour une fois sur un left-hander, avec side à droite.

Quelqu'un a une idée de ce que signifie 'HB' à la proue du side-car ?

Bon jour,

Drion était-il lui-même propriétaire du véhicule ou l'a-t-il emprunté? Les initiales indiquent-elles le propriétaire ou le fabricant? Les initiales «HB» pourraient peut-être représenter Hector Bossaert, qui à cette époque a construit une voiture de course pour la Formule 3 / Racer 500 et plus tard des carrosseries spéciales pour la Citroen DS.

A bientot

Je confirme le 72 Marcel Cornet, ce que j'entendais de mon père, ils étaient amis, est qu'il avait des difficultés à trouver un passager !
OK pour le 27/05/51

Sans doute le même jour avec une dédicace pour le paternel .

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