Tu noteras que j'avais pris quelques précautions sémantiques : si la presse italienne (et argentine, car il y a une forte diaspora transalpine à Buenos Aires) était clairement sous influence de Ferrari, on ne peut évidemment nier que la presse française subissait aussi un peu la pression de Jean-Luc Lagardère, tout en souhaitant légitimement rééquilibrer les accusations... Et encore : cette année-là, les Matra n'étaient plus aux couleurs Elf !