[Oldies] J.P.X

La moto engagée par JPX au Bol 74, serait en cours de reconstruction.
Renaud La Hondé (cuir orange et blanc) m'a envoyé ces photos, il était l'un des deux pilotes avec Denis Poulet.
Ce dernier vit en Amérique du sud et le contact existe...

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J'en ai monté un kit complet de roues AV et AR + frein à disque sur la 4 pattes de mon bauf, pas vraiment donné mais c'était de la bonne came, je pense qu'il les a toujours ses roulettes en alliage coulé.
A l'époque ce n'était pas dans mes moyens, j'avais seulement opté pour des jantes aluminium Akron large AR 40 rayons et Borrani 18 pouces AV en 36 rayons pas dispo chez Akron, tous les rayons de la 19 pouces d'origine recoupés et re-filetés manu militari.
Dan

Bonjour, le X serait un Xavier Trochu, de mémoire. Michel Sagot Le premier Employé, et jusqu'a la retraite, et sous Mecachrome, pourrait en dire plus.
C'est peut être écris dans un vieux MR, ou Patrick Verdun est en Photo, et présenté comme gérant.
Jean Bidalot connait très bien aussi une partie de l'histoire pour en avoir discuté récemment.
A+

juste pour dire que les kits JPX 570 cc pour les XT 500 avaient un cylindre issu de la fonderie et chemisé en diametre 93 (origine 87)

vendu avec un piston coulé "Bretille" segment racleur "Uflex !!! pas trop culture moto, mais plutot motoculture
certain ont réussi a parcourir 50.000 kms et plus !

en concurrence avec RAYER, piston même provenance, mais fonderie différente, avec des renforts et une chemise plus épaisse de diametre 100 exterieur pour 99 chez JPX

bien apres EGU à coulé des cylindres traité nicasil , piston diamètre 95  environ 600 cc

Mr JBB sait peut être aussi pour le X.  

Moto Journal n° 115 du 19/04/73

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Salut
Pour une teinte doree entre le bronze{pas celui coule ce matin}et le dore Renault qui ressort orange{comme les R 20}il y a une teinte British Leyland qui va pas trop mal.En ne chargeant pas
au rouleau ou au balai,elle reste doree.
peinture+doree+British+LEYLAND&rlz=1C1AVNG_enFR673FR673&tbm
Claude

Pour le cadre de la "DAYTONA-JPX"....ou comme chez JAPAUTO....il ont eu des "MARTIN"..je crois(1974)..
et ils ne le mentionnent pas....serait-ce que'ils les auraient payés prix fort?????......ou s'en sont -ils vraiment servis??.....

De mémoire,mais je peux me tromper ,il n'y eut jamais de cadre Martin chez Japauto….
Un cadre maison, un autre cadre poutre qui faisait reservoir d'huile et aussi l'utilisation de cadres Dresda. Mais Martin,je ne pense pas.

Le cadre "Maison"

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  Le cadre "Poutre"

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  Le Dresda british. Après,c'est toujours possible qu'un équipage privé ait placé un moteur Japauto dans un cadre Martin mais jamais a l'initiative du concessionnaire de l'avenue de la Grande Armée.

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y'a eu plusieurs cadres dresda si j'me souviens bien - et en relisant cette brève mj, je me demande qui de fred ou de moi a pu accumuler ces jeux de mots laids sur l'absence de chaîne, vu qu'on était les préposés aux infos et qu'on s'y défoulait joyeusement

Je découvre dans cet article, avec surprise, que JBB aurait du participer à plusieurs courses sur cette moto.
Il va être passé à la question!

yves kerlo a écrit:

Je découvre dans cet article, avec surprise, que JBB aurait du participer à plusieurs courses sur cette moto.
Il va être passé à la question!

Arrêtez moi si je me trompe, mais j'ai souvenir que le dit JBB a usé son cuir sur le circuit du mans à l'école de pilotage... et semble t il en temps que moniteur pendant une année.
De fil en aiguille, il y a une proximité géographique entre toutes ces personnes citées, (l'école de pilotage du mans) qui ne parait tout à fait concordante.

Je vérifierai ce soir, et demain je pousse la photo et les références de l'origine du texte (une interview de JBB sur je ne sais plus quel canard).

Rudg

rudgissimo a écrit:

yves kerlo a écrit:

Je découvre dans cet article, avec surprise, que JBB aurait du participer à plusieurs courses sur cette moto.
Il va être passé à la question!

Arrêtez moi si je me trompe, mais j'ai souvenir que le dit JBB a usé son cuir sur le circuit du mans à l'école de pilotage... et semble t il en temps que moniteur pendant une année.
De fil en aiguille,  il y a une proximité géographique entre toutes ces personnes citées, (l'école de pilotage du mans) qui ne parait tout à fait concordante.

Je vérifierai ce soir, et demain je pousse la photo et les références de l'origine du texte (une interview de JBB sur je ne sais plus quel canard).

Rudg

Tu te trompes pas c'est écrit dans l'article qu'il est moniteur.

Marrant une machine siglée JPX partout avec une jante SMAC a l'avant (une JPX tout de meme a l'arriere) . Ca me fait penser a ce pilote tres connu, avec ses autocollants "Bayard" sur son casque qui n'en etait pas un ,de Bayard.

Que Jean Bertrand ait été moniteur n'est en aucun cas une découverte, il l'a été de façons épisodiques de 1969 à 1973.
Par contre c'est cette possibilité d'être pilote en Endurance sur une JPX (ce qui est l'objet du Topic) en 1973 qui m'étonne.
Celà étant Jean Bertrand et étonnement vont souvent de paire, alors...

Deux images du "moniteur", enfin un des moniteurs!

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Apriliabarth a écrit:

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Qui se souviens de Mr Ruban, surement l'une des personnes de la première heure des gros cylindres Japauto ?

Le jeux des erreurs ...

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Je viens de relire tout le sujet qui enrichi et confirme mon sentiment admiratif qui date des débuts connus du public avec l'article de MR de 1969. Si l'exposé des projets initiaux pouvait sentir un optimisme débordant qui est celui de la jeunesse et des passions qui vont avec, il était déjà étayé par de solides arguments hautement pratiques comme la réalisation du 125 mono expérimental, pas que des mots. La solide formation qu'ils supposent se traduira par toutes les commercialisations connues de mes contemporains qui feront une renommée, trompette contrastant avec la "discrétion de violette" du créateur pour sa propre personne. On était dans le monde d'avant la puante "communication" et le "politikement korrekt"... Sa curiosité sans grande limites fera le développement des domaines d'activités. J'aurai l'occasion de faire déposer du tungstène sur pistons et chambres de combustion d'une 1000 Kawasaki à Vibraye, pratique pas généralisée en 1980.
Je renouvelle mon admiration pour la totalité de l'oeuvre de Jacques Buchoux et ceux du même acabit avec lesquels il a collaboré avec "une certaine idée" de la chose.

J ai une paire de roue comme ça au grenier av R90s /19 . ar /18 Z1 pas sur
Elles étaient en alu ces jantes ?

Oh, et puis je n'avais pas lu ce qui suit issu du "Journal des entreprises". Je ne résiste pas à le reproduire tant le phénomène est hélas exceptionnel. Quand la meute des imbéciles et des salauds rêvaient de l'entreprise sans usine, d'externalisation et de liquidation des capacités productives (remplacées par les services, dont le tourisme (de profondis), le toilettage et le coaching pour chiens), Buchoux ne pensait qu'entreprise intégrée, largement autonome, emploi et formation des jeunes, un crime pour nos zélites a l'origine de l'effondrement dont nous ne sommes qu'au début.
Honneur à lui et modèle si jamais il y a un après, auquel je crois en inversant les principes.

Depuis 50 ans, Jacques Buchoux crée des entreprises
Par Cédric Menuet, le 08 juin 2018
Pendant 35 ans, Jacques Buchoux a dirigé la PME sarthoise JPX, spécialisée dans la fabrication de pièces mécaniques. Depuis 2017, il développe Passion Meca, sa nouvelle entreprise et sa sixième création, toujours en Sarthe.
Jacques Buchoux a fondé en 2017 Passion Meca à Vibraye, sa sixième entreprise.
Dans l’atelier de Vibraye, Jacques Buchoux et son équipe refabriquent des pièces automobiles devenues introuvables, tels des blocs moteurs Hispano-Suiza ou encore des culasses pour l’Alpine A 110. — Photo : Cédric Menuet - Le Journal des entreprises
A l’heure où d’autres prendraient une retraite bien méritée, Jacques Buchoux, 70 ans cette année, renoue avec l’entrepreneuriat. Depuis mars 2007, le Sarthois est à la tête de Passion Meca, une société de fonderie et usinage qu’il a créé à Vibraye et qui emploie actuellement 6 salariés. Il faut dire que Jacques Buchoux est un multirécidiviste : Passion Meca est en effet sa sixième création. Un goût d’entreprendre qui s’est manifesté précocement chez ce fils d’enseignants tourangeaux. « Mes parents voulaient que je sois diplomate ! Mais moi, je voulais créer mon entreprise. Après un bac philo en 1966, je me suis inscrit à l’École des techniques aéronautiques et de construction automobile».

Du petit atelier à la grosse entreprise:
C’est ainsi qu’en 1969, à 20 ans, il s’installe à Vibraye pour monter JPX, un petit atelier de fabrication de chaînes et pignons de moto. La structure va prospérer durant les décennies suivantes, produisant des pièces mécaniques pour les secteurs automobile, aéronautique et même la Formule 1. Au début des années 2000, JPX emploie ainsi 130 personnes à Vibraye et réalise 15 millions d’euros de chiffre d’affaires. C’est à la même époque que Jacques Buchoux décide de passer la main. « J’allais sur mes 60 ans et je passais beaucoup de temps en déplacement. J’étais l’homme clé de l’entreprise, j’avais donc besoin de partenaires. Mecachrome s’est présenté en 2003 pour reprendre l’activité, c’était une belle opportunité à saisir. » Le groupe, spécialiste de la mécanique de précision, rafle au passage R’Tec, autre société de notre entrepreneur. Si les deux noms ont disparu depuis, Mecachrome dispose toujours à Vibraye d’une unité de production et de son centre de R&D, constitués sur les entreprises de Jacques Buchoux. Toujours pas décidé à prendre sa retraite, le Sarthois créé en 2007 avec son gendre une société de fabrication sur mesure de soupapes. Ce sera Movaltec qui compte aujourd’hui 18 personnes à Vibraye pour 3,9 millions d’euros de chiffre d’affaires.

« J’y vais par passion »
En 2016, le projet Passion Meca mûrit. « A l’époque, je tournais en rond. Il y avait les locaux de GL Aluminium qui étaient vides suite à sa liquidation. Un bâtiment magnifique de 2 000 m². J’en ai parlé à Jean-Michel Lenoir, mon bras droit pendant des années, et on a créé ensemble Passion Méca. » 500 000 euros sont alors investis dans des machines afin d’être en mesure de concevoir, fondre, usiner et monter des pièces mécaniques. Un créneau sur lequel le dirigeant entend se faire plaisir. « J’aime la belle mécanique française. On se positionne sur la refabrication de pièces automobile introuvables, c’est un domaine que je connais et qui me plaît. Si j’y vais, c’est par passion personnelle. » Ainsi, le chef d’entreprise s’est fixé pour objectif d’atteindre 350 000 euros de chiffre d’affaires en année 1 et l’équilibre dans les deux ans. Sous cinq ans, Jacques Buchoux ambitionne de monter à 15-20 salariés. « J’ai 50 ans de savoir-faire à transmettre. Je veux former des jeunes du coin, pour qu’ils restent. Alors, je vais dans les lycées pour les chercher et les prendre en alternance. Mon but est de les pousser vers l’excellence et leur communiquer mon envie d’entreprendre. » Un vrai moteur pour Jacques Buchoux qui revendique la création de 150 emplois depuis ses débuts à Vibraye.