[Oldies] L'incroyable univers du "Cheval"! (Part 2)

Retard de la lecture des histoires d'Alain rattrapé.

Merci Alain!

PS: les béquillards, arrêtez le paluchage à droite ou à gauche...

PPS: je scinde...

francois gomis a écrit:

Bernard Cambournac, P-D.G. de Pernod en 1981.

C'est pas lui qui avait eu cette phrase :

la 250Pernod ?

une moto de Grand-Prix et même de TRES Grand-Prix

Exact.

francois gomis a écrit:

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À partir de la droite :
X, Daniel Hémard Directeur-général Pernod, Anne Ries de Loen alors compagne de Patrick Fernandez, le journaliste Patrick Chapuis, Jacques Bussillet, Olivier, peut-être Pascal Renaudat, Patrick Fernandez.
C'est au cabaret Le Paradis Latin à Paris.
Probablement en 1980.

Bonjour tout le monde, un petit commentaire sur cette photo, c'est moi qui avait organisée cette soirée ou Daniel Hemard portait son habit de lumière...et il y a un truc qui est sûr c'est que ce n'est pas Pascal Renaudât à côté d'Olive...

Florence, il faut taper ta réponse dans "corps du message" ( à la suite du texte que tu as "cité" ), pas dans "titre du message" !

Donc je reprends après mes erreurs de "bleue" ce n'est donc pas Pascal Renaudât mais Charles Coutar, grand champion de trial des années 70 avec un nombre énormes de victoires en championnat de france

philippe7 a écrit:

Florence, il faut taper ta réponse dans "corps du message" ( à la suite du texte que tu as "cité" ), pas dans "titre du message" !

Ah ok désolée erreur de vieille débutante! Ça va venir, j'ai les neurones un peu caramélisées...

Je m'en occupe...

Si ce n'est Pascal Cotar Renaudat (hi hi), qui est-ce ?

Je ne sais pas quand Monsieur Cambournac aurait dit ''une moto de très Grand Prix'. Je ne sais pas non plus ce qu'a pu être le total du budget alloué à cette aventure ( Malgré l'économie substantielle réalisée à la clôture... ) Force est de reconnaître que, quel que soit le montant exact , l'objectif n'a probablement pas été atteint.... Une seule victoire et un seul autre podium en quatre ans et demi...Ce n'est pas ce qu'on peut appeler, à proprement parler, la démonstration de ''valeur technique française'' qu'espérait Monsieur Cambournac. Au départ le projet était certainement sincère et louable...au fil du temps, l'est il resté? De ce que je me souviens, beaucoup en ont douté... tant le lien de Pernod avec la politique pouvait sembler réel.

francois gomis a écrit:

Si ce n'est Pascal Cotar Renaudat (hi hi), qui est-ce ?

Charles Coutar

Coutard, avec un D pour lui..


https://www.google.fr/search?q=charles+coutard&hl=fr&client=firefox-a&hs=H3E&tbo=u&rls=org.mozilla:fr:official&tbm=isch&source=univ&sa=X&ei=GNT7UProEM-2hAe27oGwDA&ved=0CDIQsAQ&biw=1600&bih=782

Florence

Comment ça " vielle débutante " . pas du tout, tu es toujours jeune et belle .
C'est François ( Misgo ) qui radote, vieillit, et ne comprend plus rien à rien .
D'ailleurs, avec Yves, on lui a réservé une place à Gouillette.

Florence.Cotar.Renaudat a écrit:

francois gomis a écrit:

Si ce n'est Pascal Cotar Renaudat (hi hi), qui est-ce ?

Charles Coutar

C'est Charles Coutar(d) Renaudat sur la photo ? Mariage pour tous avant l'heure... À l'insu de notre plein gré. Et Florence n'a rien dit
Hubert, tes commentaires ne sont qu'un filet d'air dans la bourrasque de mon esprit.

Un petit bonjour à la sympathique Florence, attachée de presse chez PERNOD en 79 et 80 pour ma part.

Les soirées PERNOD étaient de grands moments, la tablée ci-dessus au Paradis Latin date de fin 79 juste après le GP de France où nous avions brillé. Guy Bertin gagne en 125 et je fais 5ème, Patrick Fernandez gagne en 350, Michel Rougerie 8éme en 500 et Olivier 8ème en 250.

C'était le dernier GP de la saison, ces résultats étaient le bienvenu pour passer l'hiver. La récompense, nos obligations aussi étaient de faire la promo dans tous les coins de France.

Ce soir là, reste un sacré souvenir, nous avions monté sur scène nos machines de GP moteur en marche sur de simples planches, le tout en costard, épique comme situation. Le pire était à venir quand je me suis retrouvé soulevé par une danseuse déclenchant l'hilarité du public.

Tout ce cirque avait un coup certainement monstrueux, au regard des pièces qu'il me fallait acheter pour courir. C'est le système sponsoring à grand échelle qui venait de naître.

Amicalement.

Thierry Noblesse

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[quote]

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Bonjour ,sur la photo de groupe ci-dessus il y a un autre jeune trialiste qui allait devenir champion de monde.

La liste des champions du monde de trial : ICI

jml a écrit:

Bonjour ,sur la photo de groupe ci-dessus il y a un autre jeune trialiste qui allait devenir champion de monde.

Les anciens du Team Pernod 1981 n'ont pas le droit de participer au jeu-concours

Bon moi j’étais plus chez Pernod en 81 et j'aurais tendance a dire Gilles Burgat...

francois gomis a écrit:

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À partir de la droite :
X, Daniel Hémard Directeur-général Pernod, Anne Ries de Loen alors compagne de Patrick Fernandez, le journaliste Patrick Chapuis, Jacques Bussillet, Olivier, peut-être Pascal Renaudat, Patrick Fernandez.
C'est au cabaret Le Paradis Latin à Paris.
Probablement en 1980.

on voit aussi Estrosi et Richard Wincler le team manager de l'ecurie Pernor et à la gauche de Bubu ce doit être moi.

pilot76 a écrit:

Un petit bonjour à la sympathique Florence, attachée de presse chez PERNOD en 79 et 80 pour ma part.

Eh Thierry, sympa de te parler; où es-tu, que fais tu? Je me souviens de toi tu étais tout timide dans ces soirées..mais tu t'en sortais très bien!

Hubert Rigal a écrit:

Florence

Comment ça " vielle débutante " . pas du tout, tu es toujours jeune et belle .
C'est François ( Misgo ) qui radote, vieillit, et ne comprend plus rien à rien .
D'ailleurs, avec Yves, on lui a réservé une place à Gouillette.

Pour Florence.
1/ La petite phrase pour Hubert concerne sa vanne citée juste au-dessus. (radote et...).
2/ Coutard/Cotar, humour

Ceci dit

Florence cite Richard Winckler. Richard (service Propagande de la Société Pernod) était le lien direct entre la société et les différentes entités qui composaient l'Écurie. Le cadre supérieur qui "gérait" l'Écurie était Bernard Livry (que l'on voit sur une photo). Notons que Thierry Noblesse (présent sur pit) et maintenant Florence, et bien sûr Alain, connaissent mieux que moi la structure. Bref, quand j'ai remplacé Florence (j'ai dû arriver en octobre ou novembre 1980), Richard ne s'occupait plus de la moto depuis quelques jours ou semaines. J'ai cru comprendre qu'il était devenu plus moto que Pernod et le patron du service Propagande, Michel Mouillot (futur maire de la ville de Cannes), le vrai chef, avait décidé de le faire revenir sur le terrain (promo directe des produits dans les manifestations en tous genres).
Richard était devenu très ami avec Michel Rougerie. Quand il s'est passé ce qu'il s'est passé, il a fallu trouver Roger qui s'était "réfugié" chez sa grand-mère près de La Mure (Isère) et lui dire de venir, les parents de Michel voulant le voir pour lui dire que c'était un accident. Orly/Rosny. Richard était avec Madame et Monsieur Rougerie et a accueilli Roger à l'entrée du pavillon quand on a sonné. Après la cérémonie là où Michel repose, direction Orly.
Michel avait ouvert les portes de l'Écurie à Roger. Ils étaient tellement différents.
Au tout début, Richard a cru que je le remplaçais. On s'en est expliqué très rapidement et sans aucun problème. J'étais attaché de presse, également en charge des photos sur les circuits (avec un très bon matériel Nikon)./ Rien d'autre.

Pernod était impliqué dans toutes les grandes disciplines : vitesse, cross (avec l'américain Brad Lackey), trial (Burgat et d'autres avec l'écurie SWM) et même l'endurance avec Gierden et Auguin. Et bien sûr, il y avait la Pernod 250. Combien étions-nous en tout à porter ses couleurs ? Peut-être presque une centaine. Il doit s'agir de la plus grande écurie privée de l'histoire de la moto.
En fait, chaque pilote avait sa structure propre, indépendante. Il en était de même pour Jean Bidalot. Au siège de Pernod, la "Pernoderie" à Créteil (94), il n'y avait donc aucune moto.
Pour ce qui est des environ douze mois que j'ai passé dans l'Écurie (fin 1980/fin octobre 1981), j'ai le souvenir que les pilotes, comme Jean Bidalot et Alain, passaient relativement peu au siège. L'autonomie de chacun était complète.

Il faut aussi remettre cette période dans le contexte politique national avec l'élection présidentielle de 1981. J'ai cru comprendre que le nouvel hôte de l'Élysée n'était pas celui qu'avait souhaité la société...
Politique. Pour avoir connu ce milieu ensuite, les accointances d'une grande société avec certains partis et hommes n'avaient, on va dire à l'époque, rien de surprenant. Le choix qui se dessinait était manifestement de soutenir celui que certains surnommaient le futur "Kennedy" français, un homme politique en devenir, qui avait un frère acteur et chanteur. Après, pour ce qui est des "formalités comptables", il y a de très bons bouquins qui les décrivent. Tout juste a-t-on pu lever un sourcil en voyant un jour par hasard la facture outre-manchesque de la fabrication de réservoir. Le boss a dit : "Occupe-toi de tes affaires". Ce qui fut dit fut fait. De toutes façons, tout se passe à niveau très supérieur. Mais au risque de me répéter, c'est, c'était la même chose partout. Ce sont, c'étaient nos mœurs. Et ce n'est pas la peine trente ans après de pousser des cris d'or frais orffraies

Si le vénéré, l'immense, le grandiose, le MAJUSCULE MAAAAAARC veut faire un dossier Noper, comme l'a suggéré un ptit nouveau, ingénieur déviant au pseudo bizarre, why not ? Si on ne met pas trop de pathos.
Bise Florence

Bonsoir Florence,

Comment ça? Je m'en sotais très bien comme tu dis.... Timide certainement mais sot, tu es dure.

Je travaille toujours dans ma région rouennaise, et vis avec mon épouse Martine qui m'accompagnait sur les GP,
Le temps passe si vite, cette année j'ai eu l'occasion de rouler sur mes anciennes motos, c'était génial. Quelle épopée avec la Sté Pernod.
Justement une photo ci-dessous prise cette année lors d'un meeting sur le circuit de Rouen-les Essarts.
Mais on est un peu hors sujet, tan pis.

Amicalement.

Thierry

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Merci François

Mais Thierry tu sais pas lire tu as rate le "r" de sortais......qu'est ce que tu fais a Rouen?