[Oldies] Moto Journal 200 1978

Et Thierry avec sa copinne...........

yves kerlo a écrit:

Archives Philippe Cléofort suite
Au scan Damien Follenfant...

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Une petite pensée pour Dédé Fargeix que tous les anciens de Clermont-ferrand reconnaitront derrière Sarron accoudé sur le rail, avec un pull blanc sur les épaules.

Santi

Le 57 , c'est Jean Philippe Orban . Pilote Belge . Il vit maintenant en Espagne et organise des courses de descente a vélo TT .

Merci

Archives Philippe Cléofort suite
Damien s' scans

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Très belles séries de photos
Merci

Sur le dernier post d'Yves : un Morbidelli ( le n° 4 et en première ligne .... ) avec roue avant à rayons et frein tambour ???!!!!! première fois que je vois ça !!!!!!!!!!

Ne serait-ce pas plutôt un Luchier ?

C'est vrai que ça a la taille d'un Luchier..

Merci à Yves pour ces photos des 125,

je ne me souvenais même plus avoir gagné devant le gars Plisson, c'est sympa de retrouver des archives pareilles.

Ce serait bien François Granon le n°4 avec le frein Luchier, Patrick et moi avions craqué sur les fameuses coques LAZZARINI. Pour ma part, j'innovais aussi avec des carbus bien de chez nous.
Un casse tête de plus d'ailleurs, mais GURTNER finançait.

Amicalement.

PS: Tréve de Pit-Lane ce soir Saint-Valentin oblige.

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Ben oui , un Luchier ! honte à moi de pas l'avoir reconnu , d'autant plus qu'à l'époque ...( ....) , j'avais craqué sur le look d'une 350 Morini frein Luchier essayé à MJ mais , déjà évoqué dans un post spécial Luchier donc ............... et ................. :je sors:

Un Luchier, un Luchier ? Et je ne suis même pas au courant
Honte à moi aussi, je n'en ai pas souvenir.
D'où était Granon ? Il y a eut des rapports avec une 125 TA à Aubervilliers, dont les culasses magiques
Vu la distance, on dirait un Luchier 120mm

Yes, François Granon, de Marseille, con!

A Marseille, on ne dit pas "conggg", c'est à Toulouse

François Granon, mécanicien des Ets Gastaut à Marseille faisait les GP 125 en transportant son Maico dans une 2cv qui n'avait plus de siège côté droit. Celui qui l'accompagnait étant assis derrière lui.

pilot76 a écrit:

Ce serait bien François Granon le n°4 avec le frein Luchier, Patrick et moi avions craqué sur les fameuses coques LAZZARINI. Pour ma part, j'innovais aussi avec des carbus bien de chez nous.
Un casse tête de plus d'ailleurs, mais GURTNER finançait.

Des Gurtner...?
Photos Cléofort
Numérisation "Damien"

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Pomme a dit : "François Granon, mécanicien des Ets Gastaut à Marseille faisait les GP 125 en transportant son Maico dans une 2cv qui n'avait plus de siège côté droit. Celui qui l'accompagnait étant assis derrière lui".


Siège de camionnette à l'avant, barre de toit coupée derrière !

pilot76 a écrit:

, Patrick et moi avions craqué sur les fameuses coques LAZZARINI.

Très franchement on était quelques uns à ne pas comprendre le pourquoi de ces coques en inox?
Particulièrement lourd, l'inox n'a pas des caractéristiques mécaniques terribles, et ça se découpait régulièrement...
Ce qui pourrait bien expliquer la présence de celle de Thierry dans notre atelier en 78.
Cette technique inox a rapidement disparue.

yves kerlo a écrit:

pilot76 a écrit:

, Patrick et moi avions craqué sur les fameuses coques LAZZARINI.

Très franchement on était quelques uns à ne pas comprendre le pourquoi de ces coques en inox?
Particulièrement lourd, l'inox n'a pas des caractéristiques mécaniques terribles, et ça se découpait régulièrement...
Ce qui pourrait bien expliquer la présence de celle de Thierry dans notre atelier en 78.
Cette technique inox a rapidement disparue.

Lazzarini avait bien aimé les coques de Thiel et Mijwaart, à l'époque Piovaticci.
Mais il faut se méfier des imitations Italiennes !

Bien joué Yves, tu as démasqué la supercherie!

Effectivement je ne roulais pas souvent avec les carbus GURTNER, nous avions fait pourtant pas mal d'essais durant l'hiver 78 à MontLhéry, mais à l'étranger leurs techniciens n'étaient plus là.

Le logo Gurtner apparaissait bien sur la moto, sauf qu'au GP de France à Nogaro, je n'avais pas prévu de voir débarqué les gars de la firme française. Problème, il fallait les utiliser pour notre sacro-saint GP national.

Par chance la course se déroula sur le "gras-mouillé", la puissance brute comptant moins, ces magnifiques carbus en magnésium se révélèrent excellents à bas régime. Je n'en revenais pas, miracle de la mécanique certainement. Ce jour là je collais un tour au suisse Dorflinger, incroyable pour moi et pour lui aussi d'ailleurs, à tel point qu'il était venu après la course s'excuser de m'avoir gêné en voulant se dédoubler. La piste séchant en fin de course, la puissance de son rapide Morbidelli reprenant le dessus sur la souplesse que procuraient les Gurtner "usine".
Un miracle je vous dis.

Le pire encore, c'était mon casque NAVA qui me fit un mauvais tour, malgré le produit anti-buée que les frères Testons présents aussi à l'évènement majeur de la moto, m'avaient procuré.
Je crois n'avoir roulé que d'un oeil et pourtant une belle 6ème place contentait tout ce beau monde.

Ce n'est pas fini, aux essais Thierry Espié pilote Motobécane usine, m'affirmait que les nouveaux Dunlop étaient 2 secondes plus vite. Nouveau dilemme pour moi qui roulait gratuitement en Michelin depuis mes débuts dans le Continental-Circus. Je revois encore les techniciens Michelin m'accueillir dans les stands avec leurs instruments de mesures, le sourire aux lèvres, quelle tête ils ont fait à la vue de mon pneu AR Dunlop. J'avoue avoir vécu un grand moment de solitude à ce moment. J'avais conservé le pneu AV Michelin et monté un vieux Dunlop refilé par Espié. La honte, mais les 2 secondes étaient bien gagnées.

Comme quoi la course révèle parfois de belles surprises.

Amicalement.
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Photo: Pierre Gabriele

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Photo: Pierre Gabriele

Cocktail étrange, vous mettez un Morbidelli dans une coque Lazzarini, des carbus Gurtner, un Dunlop à l'arrière un Michelin à l'avant, un casque Nava avec produit anti-buée homologué et vous faite 6ème au GP de France à Nogaro en 78. Simple comme recette, non?

Amicalement.

Faut dire que les Nava 2 (puis Nava 3), c'est à peu près ce que j'ai connu de pire question buée... Sans parler de l'invraisemblable maniement de l'écran !

Fugner

Non, non, à Toulouse, on prononce la ponctuation; On dit " putain" pour une virgule, et "cong", pour un point.
Cela fait donc en " Toulousain " ( Putaingg Congg )

Batta a ri a écrit:

Faut dire que les Nava 2 (puis Nava 3), c'est à peu près ce que j'ai connu de pire question buée... Sans parler de l'invraisemblable maniement de l'écran !

Sans oublier le Nava sans jugulaire, avec ouverture frontale (Nava 6 ?), que Alain Michel, pilote Nava, a été sommé, pour des raisons commerciales évidentes, de porter lors du dernier GP de la saison, à Hockenheim, course qui devait en principe lui valoir le titre, en 1986... La marque (ou son importateur, les frères Teston à Marseille) souhaitait évidemment profiter de l'occasion pour promouvoir son dernier produit.

Il y avait un gros bouton rouge sur la mentonnière, pour ouvrir, et si je me souviens bien le casque a tapé le carénage du side peu après le départ, ouvrant le casque et Alain a passé toute la course à essayer de le refermer ou en tout cas le garder sur la tête, au lieu de piloter... Résultat, Egbert Streuer a gagné le GP malgré une très belle résistance de Rolf Biland, et de son côté Alain Michel était englué dans le peloton (en bagarre avec Ralf Bonhorst peut-être...) et n'a pas réussi à marquer le nombre de points suffisant pour empêcher Streuer de lui prendre ce titre qui semblait acquis.

J'ai suivi cette course aux côtés de Philippe Michel, de Moto Revue, dans le stadium, le clan Français était désespéré et ne comprenait pas ce qui se passait.

Les frères Teston ont ensuite fondé Shark, et la marque veille à ce que ses pilotes de GP aient toujours un matériel bien préparé au top !