Fior Honda 500 RS 1986

oubliez les vacheries, dites le avec des fior ..

bubu a écrit:

oubliez les vacheries, dites le avec des fior ..

Mettez-moi un bouquet!

Un petit récap sur l'habillage  du velour . Bubu, quand je te dis que c'était une ruine !
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Les finitions c'est quoi ...
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Elle était entretenue par les petits manchots de Neuilly sur la fin non ?

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Avec les coudes des pots sup qui sont à 7 m/m du fond de réservoir il est préférable d'isoler un peut non.

Je me suis demander comment les gars faisais pour intervenir sur le train avant de cette machine, bin comme j'ai pas trouver j'ai fait ça L'axe moteur avant à double diamètre pour recevoir une béquille et pouvoir travailler aisément.

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L'autre Jaques à qui je serrai les boulons en 82, c'étais pas un cadeau ... je l'avais plaqué à SPA après le GP .

Un peu d'essence ma belle ...

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Spit MK XII il me semble….

Dont les performances (de la mort) et la supériorité tenaient en partie grâce à de l'essence à haut indice d'octane que n'avaient pas les Allemands (je viens de voir un documentaire là-dessus, ce qui me permet de faire mon intéressant [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] )

panerai a écrit:

Dont les performances (de la mort) et la supériorité tenaient en partie grâce à de l'essence à haut indice d'octane que n'avaient pas les Allemands (je viens de voir un documentaire là-dessus, ce qui me permet de faire mon intéressant  [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] )  

Les perfs était fondamentales en combat aérien, en face les Messerschmitt BF 109 embarquaient 500 litres "Protoxyde d’azote, N2 0" pour avoir du boost en altitude.
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le nitrogène, c'est l'azote, un gaz neutre - je vois mal comment ça peut améliorer une combustion - du nitromethane plutôt, mais ce produit existait-il avant 1944 ? c'est à vérifier

Protoxyde d'azote peut-être, mais c'est un comburant donc il faut y ajouter du carburant pour obtenir plus de puissance. C'est connu depuis le 19ème siècle. Reste la capacité à le produire industriellement.

MacPepR a écrit:

Protoxyde d'azote peut-être, mais c'est un comburant donc il faut y ajouter du carburant pour obtenir plus de puissance. C'est connu depuis le 19ème siècle. Reste la capacité à le produire industriellement.

Oui c'est ça, mon clavier déconne

Ce sont les kits NOX pour kékés. C'est aussi le gaz hilarant pour les anesthésies.

Protoxyde d’azote, N2 0, utilisé ponctuellement pour obtenir une surpuissance, le moteur est à injection.
Technique reprise sur les dragsters.

........ moi je pense que c'était pour les pilotes qui rigolaient un bon coup avant de monter dans l'avion , des fois que ..........

Emmanuel Laurentz a écrit:

MacPepR a écrit:

Protoxyde d'azote peut-être, mais c'est un comburant donc il faut y ajouter du carburant pour obtenir plus de puissance. C'est connu depuis le 19ème siècle. Reste la capacité à le produire industriellement.

Oui c'est ça, mon clavier déconne

Oui Emmanuel je le pense aussi car un réservoir de 50L (et non pas 500 !) ajouté au poids de tout le système d'injection devait déjà grèver les performances de l'engin....

Le protoxyde d'azote, explication: C'est un gaz instable, composé d'oxygène et d'azote, qu'on injecte dans l'admission en compagnie d'un supplément d'essence, afin d'accroitre momentanément la puissance d'un moteur. Gaz instable, qui se dissociera vers 700° - 800°, température du mélange gazeux en fin de compression. Sur les dragsters, l'apport de carburant et de comburant, en plus de ceux amenés par le système injection ou carburateur, augmente la puissance du moteur jusqu'à environ 50%, mais la chaleur développée fond les pistons en quelques secondes, ce qui réserve l'utilisation des gros dosages aux drags... (à l'heure actuelle, les top-fuel "tombent" le 400m D.A. en 4,5 secondes environ, avec une vitesse terminale de l'ordre de 650 km/h).
Pour les Spits et ME 109, L'Anglais était handicapé en piqué par son moteur à carbu qui déjaugeait, l'Allemand était équipé d'une injection mécanique Kugelfischer mais, comme dit plus haut, un carburant (synthétique) de mauvais rendement...
Bubu, si tu t'intéresses aux spits, demande à Harald le maquettiste, nous nous étions découvert une autre passion commune...

Lorsqu'ils avaient la mort au cul, l'injection d'eau éphémère et ponctuel (afin de tricher le taux de compression) faisait aussi parti de l'arsenal de secours.

panerai a écrit:

Lorsqu'ils avaient la mort au cul, l'injection d'eau éphémère et ponctuel (afin de tricher le taux de compression) faisait aussi parti de l'arsenal de secours.

Curieux, on m'a toujours appris ( depuis quelques temps) que c'était pour faire le cracking de l'eau à haute température des combustions et ajouter de l'H2 ( carburant et de l'O ( comburant indispensable au moins atmosphérique). En clair un adjuvant au carburant usuel, mais, ma chimie est peut être complètement à l'Ouest?
Dan

Ah! Harald, c’est vrai, le dessin du Spit dans moto journal….

panerai a écrit:

Lorsqu'ils avaient la mort au cul, l'injection d'eau éphémère et ponctuel (afin de tricher le taux de compression) faisait aussi parti de l'arsenal de secours.

Si je me rappelle bien mes lectures d’ado des bouquins de pilotes de la RAF, cette injection d’eau était appelée( traduite) surpuissance et nécessitait de refaire le moteur après usage.