[Oldies] L'incroyable univers du "Cheval"! (Part 2)

Pour Eric je crois que c'est la conséquence de fractures à répétition, le poussage à droite...

Eric, déjà en 81 poussait à droite.... Mais Thierry Espié aussi.... peut être pour me faire plaisir!!!... Hé oui, hélas, pour beaucoup, j'ai un gros défaut... Parce que, si souvent le doute ma bite, j'ai quand même un peu le coeur à droite... enfin centre-droite... culture familiale!! Comme on peut le voir sur le lien de François Gomis, mon grand père était MRP et mon père, ancien résistant, Gaulliste ''acharné''.
C'est pour ces raisons, que je suis très emmerdé avec la suite de l'aventure Pernod.... forcément ma crédibilité est douteuse... finalement j'ai pas plus envie que ça d'être ''classé'' révisionniste!!!... faut donc que je reformule mon dernier post, et aujourd'hui je suis un peu secoué par JCO.

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Au GP de FRANCE 1979

Alain et Olivier

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Donc pour résumer cette question fort pertinente et existentielle !
Olive poussait à droite, suite à entraînement sur la route, pour ne pas être coté voitures.
Eric poussait aussi à droite, Il vient de me dire qu'il ne sait pas pourquoi, mais qu'il a toujours fait comme ça!!
Thierry, poussait aussi à droite, je pense que pour lui c'était à cause de sa cheville gauche bloquée… sa jambe d'appel devenant la droite.. Il me paraît prudent… pour augmenter le polygone… de l'éloigner de la moto, donc patte valide à droite =>pousser à droite !.
Ceci étant les résultats de mon enquête et de mon avis!! Sur ce je retourne bosser…à dt'à l'heure.

Quant à pousser du coté sélecteur.... ça ne me parait pas très facile de tripoter le sélecteur avec une patte et de devoir alors, continuer à pousser à cloche pied !

Merci M. Chevalier, c'était crucial d'avoir une réponse argumentée

Au GP d'Angleterre SILVERSTONE 1982



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Magnifique cette fabrication d'Alain

Srx56 a écrit:

On a quitté le monde merveilleux et incroyable du "Cheval" avec cette digression.

Hop cascade, Badaboum, c'est moi Bebel:

La Cheval, on la démarre à la main, sur la béquille. Tu chopes la roue, et sur 1/4 de tour, elle doit craquer, sinon, ta copie est à revoir.

Vu que les pétaros j'ai pas connu... je ne peux pas dire si ça démarre en 3 ou en 6... mais une 250, une 350 ou une 500 deux temps c'est en première!! et c'est mieux comme ça, parce que s'il avait fallu commencer par rétrogader à peine sauté sur la selle...Il y aurait eu du monde sur le dos!!!
Tiens, pendant que je suis là, je retourne avec Estro et sa moto Perno...d
Pour ceux qui On est Hiver 85.. on prépare la saison 250 Pernod.

Le travail au banc, pour le moteur, a commencé assez tard, il va dans un premier temps consister à essayer de comprendre à quoi il réagit, comment il est équilibré, quels sont les paramètres les plus influents... Le problème, c'est qu'il n'y a aucun apport possible de l'ancienne équipe. Bidalot n'a pas l'air ''enchanté'' de la tournure Laoud... Le moins qu'on puisse dire, c'est que tout ce petit monde, n'est pas très bavard... je dirais même plus... finalement non, je le pense mais je ne le dirais pas!!

J'ai donc beaucoup de mal avec ce moteur que je n'arrive pas à régler et faire marcher correctement, il vibre beaucoup et comme le BEKO il me pose des problèmes de mousse dans les cuves. Les carters ne sont pas neufs, ils y en a d'autres qu'on retrouve sur des factures mais qui sont planqués on ne sait où, on n'arrive pas à remettre la main dessus... tant qu'on ne les retrouve pas, il faudra faire avec ce qu'on a. On a en plus un peu récupéré l'enfant en vrac, beaucoup de pièces de configuration différentes, les bonnes avec les mauvaises... faut faire le tri, et pour le faire il faut les tester.. c'est un peu long et le mois de mars, comme tous les ans, arrive un peu trop vite.
Nous voilà déjà en Afrique du sud, l'ambiance est assez bonne. Je me souviens, bien que ça n'ait pas beaucoup d'intérêt, que mon statut de ''chef'' me donne droit (comme souvent dans les grosses boîtes) à des repas plus ''meilleurs'' que les ''pas-chefs''... Mais moi je ne bouffe pas tout seul, donc à chaque repas du soir à l'hôtel, je me tape une langouste pour la refiler et en faire profiter ''c'est-à-qui-le-tour''. Christian, retenu par d'autres soucis, n'est pas là... Il m'a laissé les clefs, mais il y a quand même XXX pour représenter Pernod. C'est donc le premier GP, ni Jean François ni Jacky ne se plaignent de grand chose... c'est seulement pas très efficace... les essais sont moyens, sans brio ni catas, la course sera de même facture... ''somme toute et néanmoins'' très en deçà des espoirs de début d'année et des résultats de 83, mais bon, ce n'est pas non plus une catastrophe absolue... septième...
Le soir après la course, on tire un peu le nez avec JF, la fête sera un peu terne...même la zézette de Jo semble faire un peu la gueule et restera planquée. On discutera pas mal pendant le voyage de retour pour essayer de fixer un axe de recherche et de travail. Côté partie-cycle, on doit pouvoir faire un peu mieux en affinant les réglages, il y a aussi des améliorations dans la forme de selle qui le gêne un peu pour se déplacer, mais le problème d'efficacité ne semble pas venir de là. Le moteur paraît ''tracter'', il est assez souple...trop? Reste un mois plein avant le prochain GP pour tenter de réagir.
Pendant le mois, on va bosser comme d'hab... comme des mules, enfin je dis des mules, je devrais peut-être dire des ânes vu qu'en Espagne, Jean François en pleine défonce finira... Dix! (un mois de travail, trois places de perdues, c'est pas bien payé!) Je ne suis même pas certain d'être au meilleur niveau de ce qu'a donné ce moteur, d'un autre côté, il est maintenant assez ancien et n'a jamais été, à proprement parlé, un foudre de guerre... Je n'ai même pas de courbes de puissance de sa ''belle'' époque pour étalonner notre travail!
La seule victoire de la Pernod avec Jacques Bolle date de 83, à Silverstone qui est plus un circuit d'aspi qu'un circuit moteur. Circuit qui récompense souvent le plus malin. Un seul autre podium en 82 avec Espié en Allemagne... Palmarès qui n'est pas non plus la signature d'un moteur d'exception.
Mais, on est bien d'accord, ça ne me défausse pas, ni au niveau de la qualité de notre travail, ni au niveau de l'opinion que je devais avoir de moi-même pour penser être capable de démontrer...
Ce nouveau résultat espagnol, me gêne un peu et ébranle mes certitudes, mais pas mon désir de continuer à travailler... Donc ça continue à fumer du coté du banc moteur. Tout (ou presque) y passe, modifs de pots, modifs de disques rotatifs, modifs de cylindres, de culasses... Au moins, c'est super au niveau stabilité!, pas le moindre poil de babine de cheval! Je ne vais strictement rien trouver de mieux!!. Les résultats ne vont donc pas vraiment progresser. Allemagne puis Italie, je ne me souviens pas de ce qui se passe, mais on n'est ni dans les points ni dans les dix (ce qui à l'époque, est somme toute assez normal). A ce moment je conclus que quelque chose doit m'échapper dans la distribution rotative et je décide de tenter l'admission à clapet. Re boulot ''comme des mules'' modifs carters, usinages, tests au banc.. Presque, mais pas tout à fait prêts pour l'Autriche, ou Baldé, comme un sale gosse, en profite pour ne pas encore marquer de point. Et enfin Yougo où il va finir, il me semble, 12. Moi je trouve ça plutôt prometteur, vu les seuls trois jours de développements d'un truc très nouveau... Mais non! Retour à la Prazerie, la nouvelle tombe... Dissolution et arrêt du team!... Oh ben merde!!!.... LSAPN

Auditoire tenu en haleine, comme à chaque fois.

Une grande année donc. Je comprends mieux pourquoi elle n'est pas stabilotée sur les CV.

Pour vous faire patienter, je vous chante une petite chanson de ma jeunesse(Epoque rallye routier au fin fond de l'ardèche, spéciale de nuit et vin chaud) sur l'air de Zorro:" Un cavalier qui surgit hors de la nuiiiiit, court vers la biture au galooop. Son nom, il le signe de la pointe du goulot, d'un P qui veut dire Pernod. Pernod, pernod, pernoooood...

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En attendant la suite des Aventures un retour en arrière avec les Jeunes Tigres et la victoire d'Olivier.
Mais dans un numéro de Scooter et Cyclomoto on y découvre un classement avec 2 Chevalier (avec 2 L malheureux!).
Un Michel Chevallier peut être, et un Alain Chevallier peut être également?

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Une belle de Didier

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La prise de vue est magnifique ,et le regard on ressent la concentration optimale

L'opération ''jeunes tigres''.. Je n'ai pas beaucoup de souvenirs, pourtant c'est certainement le point de départ du futur d'Olivier et un peu du mien!
En fait, en ce qui me concerne, j'ai quand même le souvenir de la première course à Montlhéry, j'ai en mémoire l'impression de me défoncer.. et d'Olivier me passant et me larguant à quelques tours de l'arrivée... Il avait complètement foiré son départ! Mon père venu observer sa progéniture m'avait dit alors que je ressemblais à une grenouille sur une boîte d'allumettes! Il n'avait pas dû être convaincu, ni par mon style, ni par mon efficacité... J'avais quand même pris ça un peu au premier degré et j'ai continué à participer, sans grande conviction sportive, et plus pour l'ambiance et les découvertes de ce petit ''national circus''que dans l'espoir de percer! J'ai de vagues images de Pau et des courbes du parc Beaumont, de Magny-cours et je ne me souvenais même pas que Michel, mon frère, avait aussi participé... On m'a tellement répété, tout au long de ma vie, que j'étais une bille sur la selle que j'étais convaincu d'avoir toujours fini dargeot... et j'ai découvert, seulement cette année, qu'en fait si je n'étais pas brillant, j'étais quand même dans le classement!!
Ce qui m'a le plus marqué de cette épopée, c'est tout l'aspect colo et ce que ça pouvait représenter de formateur. Jojo Monneret était un chef organisateur et animateur exceptionnel, la présence de son fils Philippe, à ce moment-là marmot déluré un peu mascotte, et de la maman donnait un côté famille qui me plaisait beaucoup, je me sentais bien dans cet environnement.
Tout le monde se retrouvait de circuit en circuit, on tirait les ''motos'' au sort.. j'héritais toujours de la plus mauvaise!! Mais j'étais pas le seul, et c'était déjà l'excuse des poireaux.. Des amitiés se formaient... C'était aussi déjà le début des conneries de groupe... Prémonitoire de ce que je vivrai dix ans plus tard.
Me revient une petite anecdote... technique, je ne sais plus pour quelles raisons on se retrouve à Villacoublay, c'est un circuit de Kart, finalement pas si mal adapté à la V max impressionnante des 50cc Mondial. Sur ces cyclos, la roue avant est montée comme pour des vélos, avec une petite fourche qui retient l'axe de roue (On n'a pas besoin de retirer l'axe pour enlever la roue). Ce doit être des essais, je me revois un peu seul (j'avais peut-être aussi largué tout le monde), toujours est-il que j'essaye d'attaquer, le circuit est un peu cabossé... ça saute un peu au freinage... ça saute tellement que la roue avant décolle... Ha mais là, il y a une petite couille, la roue n'est pas bien serrée.. elle s'échappe... La fourche se plante dans le bitume.. Laoud (qui ne s'appelle pas encore comme ça) tente le double axcel... son cuir en skaï doit se déchirer pendant la figure, si bien que rien ne le protège vraiment pour sa réception un peu foirée et qu'il va laisser un peu de vernis sur le circuit... Il va bien gueuler un peu, mais ça ne va pas lustrer les rayures... heureusement, chez les jeunes tigres aux coeurs vaillants, ça se fait tout seul!!!
Georges Monneret, à la suite de ça (l'opération JT, pas la gamelle à Laoud) va beaucoup compter pour Olive, c'est lui qui l'aidera à mettre ''le pied au cale-pied'' d'abord avec l'Alla Doro puis les Bol d'or... Georges, on ira souvent le voir, moi aussi j'adore le bonhomme, il est tellement décalé, mais toujours prêt ou à conseiller, ou à faire rigoler qu'il nous convient bien.

Ben oui, forcément, faut quand même conclure avec Pernod-Estro-Mouillot-Bidalot-Hemard-Speed 06-MBK.
Donc, sans explications, et sans que je sache vraiment à l'instigation de qui, la saison s'arrête net, point final!!! Sauf qu'il reste quand même un peu de factures... Dit doucement Cheval, en levant le doigt.
Et là, commence le parcours du combattant avec partie de cache-cache... Pas facile de s'y retrouver... c'est officiellement de la faute à personne... c'est aussi apparemment à l'autre de payer... Mais c'est que Laoud finit par trouver ça qu'à moitié drôle...
Tout ça traine dans le temps, quand je me rends compte que dans cette partie de billard, c'est moi qui fais la balle, je vais quand même voir un avocat pas trop loin de chez moi, dans un premier temps, simplement pour pouvoir estimer quelles sont mes chances de récupérer quelques francs.... chez lui c'est 5000 balles avant de discuter.... liste des papiers nécessaires... retour chez maître Machin... Re 5000 balles juste pour lire ce que j'ai apporté et inventer un nouvelle demande... Hé bien quand j'y retourne pour la troisième fois avec ce que je crois être enfin le dossier complet c'est encore 5000 balles avec encore la demande d'un truc introuvable! Je ne dirais pas qu'à ce moment là un doute m'habite, parce qu' en fait je n'ai plus de doute et je me surprendrai à lâcher ''Non mais vous ne me prendriez pas pour un con par hasard, vous n'allez pas me taper 5000 balles à chaque fois que je viens vous serrer la louche, le mieux ça va être de me rendre l'ensemble du dossier''. J'aurais bien rajouté un nom de piaf tellement ça m'a foutu les boules, mais bon, ça me fera toujours 5000 balles de perdu en moins!
Avec toutes ces conneries, j'ai paumé du temps, Speed 06 (la boîte d'Estro) en a profité pour fondre les plombs, et je dois refaire toute la liasse de factures au nom de MBK... Je passe sur les détails de la réponse MBK... et je retente un RDV avec Hemard le patron de Pernod. Échange de courriers, et finalement il accepte de me recevoir pour un repas à la Pernoderie.
Je vais avoir droit à un repas de Vip, dans une petite salle à manger privée, on est quatre, Monsieur Hemard, deux autres 'Pernod' et moi, servis par une ''soubrette'' en noir avec petit tablier blanc... ça me rappelle quand j'étais môme, dans ce milieu un peu ''bourge''où j'ai été élevé, qu'on était aussi servi par une des ''gens de maison'' et que le jeu, entre Olivier et moi, consistait à tenter de la taquiner en lui pinçant les fesses... Ce fantasme du passé, à ce moment retient tellement mon esprit, que finalement c'est le seul souvenir que j'ai de ce repas à la Pernoderie, c'est dire si la discussion a dû être intéressante. Ah si! quand-même, à la fin du repas, pour conclure, Monsieur Hemard semble conscient du lien, au moins moral, entre sa société et mon engagement et me promettra de regarder le dossier de plus près... Pendant le voyage du retour à la maison, j'ai quand même un doute, je connaissais un peu l'ancien patron, Monsieur Cambournac, une vraie carrure, un noble de l'ancienne école, l'espèce en voie de disparition avec laquelle il n'est pas vraiment nécessaire de signer des contrats vu comme il transpire le respect de la parole donnée... La veste pour le successeur est-elle un peu grande?... Je n'en sais rien, mais toujours est-il que je n'aurai pas de nouvelles. J'aurai encore une fois un peu l'impression d'être à quatre pattes, avec derrière moi un mec qui me dit en me tordant l'oreille ''fais le cochon!''... Seulement voilà, 25 ans après, je ne sais toujours pas qui c'est... l'heureux profiteur!!!
J'aurais peut-être pu chercher une solution juridique, mais je ne me voyais pas tenter un procès avec Pernod... ne serait-ce que par respect pour son comportement après l'accident d'Olivier... Cette boîte avait été exemplaire, et particulièrement Michel Mouillot, dans leur soutien... J'ai fermé ma gueule, et pour la liasse de factures... je me suis assis dessus!!
A un moment, il faut aussi savoir tourner la page et ne pas perdre son temps, ni bloquer son esprit à courir derrière l'irrattrapable... je vais finir la ''saison 85'' avec un autre sponsor dont j'ai déjà parlé, j'ai nommé le grand, l'unique FMD!!

Avec toutes mes excuses au titre de la profession pour le comportement de ce triste con frère, qui était chargé de regarnir ton compte bancaire et non l'inverse...

Pas très "Chevaleresque" leur attitude.[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Ils auraient pu au minimum vous refiler une caisse d'apéritif anisée, histoire de noyer vos désillutions...

c'est trop d'honneur mon prince… et quand je pense qu'un de mes soucis était de te tanner pour que tu daignes enfin envoyer ta facture et que même des fois je la faisais moi même (j'ai encore ton papier à en-tête) . Enfin je reconnais que c'est bien la seule partie du boulot pour laquelle tu trainais et pour laquelle tu en faisais moins que prévu.

Alain et FMD, juste une petite anecdote à propos de Bernard Cambournac, P-D.G. de Pernod en 1981. J'avais le titre d'attaché de presse de la Société Pernod, la principale action étant l'Écurie Pernod (et la Moto Pernod).
Début 1981, la présentation de la Pernod 250 au Mans a tourné court. Thierry Espié est parti des stands, quelques secondes après, plus de bruit... et Thierry est revenu à contre-sens en roues libres. Problème moteur. Michel Mouillot (patron du service "Propagande" et pas encore marketing) fait des bonds, me dit : "Arrange-toi avec les journalistes et trouve un hélicoptère pour aller chercher des pièces"...
Jean Bidalot a dit rapidement que ce n'était pas réparable. J'ai expliqué à la presse que le timing avait été trop serré pour la présentation, patin couffin, la pilule est passée, du moins le croyais-je.
Deux ou trois jours après, je suis convoqué par Bernard Cambournac. Je rentre dans son bureau, il avait la dernière livraison du quotidien La Montagne de Clermont-Ferrand. Il y avait un papier assez méchant sur la Pernod qui ne marche pas. J'en ai pris pour mon grade ! Cambournac, un nom auvergnat ! La presse nationale, le P-D.G. s'en fichait mais La Montagne, ça a coincé

http://www.wikimanche.fr/Bernard_Cambournac

C'était à l'occasion de la rétro du GP de Nice et ce devait-être en 1985.


Le grand en haut à gauche............c'est pas Estro ?

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J'étais invité et j'ai roulé avec la la 500 Terrot de Vincent Martin (Chpt France 33).

Le comble........ c'est la seule fois où j'ai pris un chèque au lieu de payer mon engagement.
Une bien bel acceuil dans cette belle ville de Nice.............

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À partir de la droite :
X, Daniel Hémard Directeur-général Pernod, Anne Ries de Loen alors compagne de Patrick Fernandez, le journaliste Patrick Chapuis, Jacques Bussillet, Olivier, peut-être Pascal Renaudat, Patrick Fernandez.
C'est au cabaret Le Paradis Latin à Paris.
Probablement en 1980.

Alain

Tu pourrais peut être envoyer tes factures à la mairie de Nice ?