[Oldies] Ils ont p'loté la belle à culbuter de Varese (1ère partie)

Merci biger de participer mais, de grâce, évite si possible sur ce site de nous mettre des bricolages du genre de la #188 avec frein à disque
Il y a de belles réalisations dans le genre qui rempliraient facilement un autre topic

Pour la #8 photographiée à Imatra en 69, Jean / JH42 devrait récupérer des informations à ce sujet....

Pas tout à fait hors sujet car il s'agit d'un vrai moteur Oro......qui n'a pas jubilé lors de cet instant où le moteur enfin terminé va rejoindre sa partie-cycle ?
Je trouve cette photo marrante

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Mon bébé, pleure pas !

Imola 69; une photo prémonitoire ?
Grassetti sur un quatre/2T devant Philou sur une bi/2T en train de larguer un mono/4T de Varese....mais qui est ce morpion qui tente de s'accrocher coûte que coûte ?
Au service course de la Schiranna (Aermacchi à Varese) on va commencer à plancher sur la bicylindre 2 temps........

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Dans le role du morpion je verrais bien Silvano Bertarelli,mais la photo a du etre faite dans les tous premiers tours.
C'est le fameux GP ou Grassetti avait course gagnée et dans le dernier tour il s'est mis a frénétiquement saluer ses fans en delire.Il a perdu le contrôle de la Jawa et le temps de la ramener du bas coté vers le tarmac ,Read lui est passé sous le nez pour gagner avec quelques secondes d'avance. Sacré Silvio,il n'en loupait jamais une. On se souvient de la piste transformée en patinoire au moment d'un départ suite a sa chute en prégrille sur laquelle il avait repandu le plein du reservoir.

Ce Silvio, quel gaffeur !

Si Bertarelli a bien fait quelques piges pour Aermacchi en 69, ce n'est pas lui le #24
Je suis d'ailleurs à la recherche de telles photos......

Le cuir avec les bandes de couleur ca peut etre Lewis Young. En fait de s'accrocher ,il se prend un tour.

 C'est bien Lewis Young sur sa Drixton Aermacchi

Petit Pierre, comme tu as répondu correctement voici une image de ton copain Jim Curry sur sa Drixton Aermacchi replica

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Merci Michel! C'est vraiment sympa de ta part de remettre en ligne cette photo de Jim Curry que j'avais postée dans le topic dedié a celui-ci.

Dans ce GP d'Italie a Imola Lewis Young taillait la route a la 9eme place devant un defilé de Macchi:
Jim Curry,P.O'Brien,Jerry Lancaster,Jean Campiche et L.Pitelli.

Jean Campiche a Anderstorp l'année suivante.

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[quote="Pierre\"PhilRead""]Merci Michel! C'est vraiment sympa de ta part de remettre en ligne cette photo de Jim Curry que j'avais postée dans le topic dedié a celui-ci.



Jean Campiche a Anderstorp l'année suivante.

.......sur une Drixton Aermacchi, aussi

C'est bien beau tout ça mais l'aïoli m'attend.....en compagnie de hondistes !

Vous savez ce qu'est devenu Jean Campiche après sa période grand Prix moto ?

Tu tapes Jean Campiche sur Gloogloo et tu as ta réponse !

...Meme si l'article est un peu ancien ,c'est interessant. Belle reconversion.



Formule 1. Jean Campiche est le chronométreur officiel des Grands Prix. Un suisse de très haute précision.


Il est un des rares personnages officiels de la Formule 1 à ne pas

porter d'uniforme. Cela n'empêche pas Jean Campiche, responsable du très sophistiqué système de chronométrage des Grand Prix, d'être connu de tout le paddock. A bientôt 56 ans, ce Suisse à l'accent travaillé a passé la moitié de sa vie sur les circuits. Ceux de motos d'abord, lorsque après des études d'ingénieur en électronique le jeune Campiche a voulu connaître le frisson de la vitesse. «Pendant six ans, j'ai fait partie de ce qu'on appelait à l'époque le Continental Circus. Je travaillais six mois l'hiver pour me payer mes six mois de compétition. Je bricolais beaucoup mes motos, des "compétitions client, et surtout j'essayais de limiter les coûts de préparation.» Découragé et fatigué par l'incessante gymnastique nécessaire au financement de sa passion, Jean Campiche se met à la recherche, au cours de l'hiver 1972-73, d'un «travail normal». «Et puis j'avais cassé beaucoup de matériel et quelques os. Heureusement, la tête avait tenu le choc.»

Campiche a alors la chance d'être recruté par une société d'intérim qui cherche un chronométreur officiel pour Ferrari. Il est retenu parmi 80 candidats. «Peut-être parce que je me débrouillais bien en langues ­ il en parle couramment cinq, grâce à ses nombreuses relations dans cet espace cosmopolite qu'est un paddock de F1 ­, mais sûrement davantage à cause de mon expérience des circuits et de la compétition.» Le Suisse découvre, émerveillé, ce qui est déjà la plus grande équipe de F 1 du monde. «En 1973, j'ai couvert 80 000 kilomètres dans la saison, d'autant que Ferrari était engagé en F1, mais aussi en endurance, sans oublier la maintenance nécessaire de son propre système de chronométrage sur son propre circuit à Fiorano avec 45 photos cellules. A l'époque, c'était unique.»

Référence. Sur les circuits de F1, Campiche devient très vite un repère pour les journalistes et les membres des équipes. Avec son matériel déjà élaboré, il est une référence. «En fait, jusqu'en 1980, il était à peu près impossible de savoir ce qui se passait réellement sur la piste en terme de performances chronométriques.» A l'époque, la prise de temps par les écuries est empirique et artisanale: les jolies chronométreuses sont souvent les compagnes des pilotes.

L'expérience du chronométrage accumulée chez Ferrari permet à la firme Heuer d'améliorer ses systèmes de prise de temps. «Des gens comme Ecclestone ­ alors propriétaire de l'écurie Brabham, avant de devenir le véritable patron-propriétaire du business de la F1 ­, Colin Chapman, créateur de l'écurie Lotus, ou encore Frank Williams étaient des clients de l'horloger suisse.» En 1976, Heuer présente le premier système susceptible de supplanter le système de chronométrage propre ­ et différent ­ à chacun des organisateurs des épreuves du championnat. Système qui offre l'avantage de proposer les temps au tour de chaque voiture, mais aussi les écarts et le nombre de tours réalisés. Le service minimum à l'époque. «Ce n'est qu'à l'approche des années 80 que l'on a sérieusement songé pouvoir abandonner le chronométrage manuel. Mais le principal problème a longtemps été l'identification absolue de chaque voiture. Un début de solution est apparu en 1976 avec la mise en place d'un petit émetteur propre à chaque monoplace. Restait ensuite à le fiabiliser.» On commence alors à parler des transpondeurs capables de véhiculer l'information dans les deux sens: voiture et boîtier de prise de temps. Le résultat d'une décennie de travail pour les techniciens avant d'obtenir une fiabilité satisfaisante. Sans compter les innovations développées sur les circuits pour moderniser et surtout multiplier les prises d'informations. De son côté, Jean Campiche est un peu fatigué de fréquenter les circuits. En 1986, les choix commerciaux de ses employeurs l'incitent à quitter les pistes de F1 pour celles des courses de ski.

1/1 000e de seconde. Mais le chant des V10 est le plus fort. Au début des années 90, le Suisse revient sur le goudron en même temps que TAG Heuer, lequel devient le chronométreur officiel du championnat de F1. La collecte des performances est devenue d'une incroyable complexité avec la multiplication des paramètres par dizaines. Alors que le processing du chronométrage (la mise en image) va dépendre d'Olivetti puis de Siemens, la F1 se dote, sous l'impulsion de Bernie Ecclestone, du chronométrage le plus sophistiqué (au millième de seconde). Vingt employés sont chargés d'installer et de faire fonctionner les tonnes de matériel transportées de course en course.

Aujourd'hui, le chronométrage est indissociable des retransmissions télé en numérique. Jean Campiche veille à ce que ses clients (les équipes et les téléspectateurs) soient alimentés en informations d'une exactitude irréprochable. Mais malgré un niveau technologique élevé, il arrive que les aiguilles désormais virtuelles des chronos jouent de drôles de tours. Ainsi, lors de la finale du championnat 1997, les deux protagonistes Schumacher et Villeneuve furent justement crédités d'un temps identique au millième près à l'issue des qualifications. Campiche s'en veut encore de s'être alors trouvé à Tignes à l'occasion de l'ouverture de la Coupe du monde de ski. «J'ai eu beau argumenter et démontrer qu'aucune intervention humaine n'est possible, je sais que certains ont cru à une manipulation des chronométreurs pour entretenir le suspense.» Ce maniaque de précision en est encore tout coléreux: «On doit considérer cet épisode comme un bingo électronique. Sur les millions de données traitées chaque saison, la probabilité d'un coup du hasard augmente. C'est comme de gagner au loto à force de jouer.».
Lionel Froissart

Il me semble que Campiche a bien plus de 56 ans.

C'est évident. L'article a quel âge ?
J'ai rencontré Jean Campiche a Dijon, un homme très sympathique et a la classe discrète sur le stand d'Yves Kerlo.

L'article est de l'année 2000 quand Campiche était en activité en Formule 1. Il a donc 71 ans.

La liste de notre ami Zilo comporte au moins une erreur (comme je le lui avais déjà fait remarquer)

J'ai répertorié huit Oro 350 originales avec un numéro supérieur à 110 dont une appartenant à un ami commun qui n'habite pas loin de Zilo......
Jusqu'à preuve du contraire, je reste sur ce que j'ai écrit plus haut

Je viens de trouver que Eric Offenstadt était inscrit en 250 sur une Oro au GP de France 70 avec le #36
Qui peut apporter plus d'informations sur cette anecdote ?

Il était bien engagé au Mans avec le N°36 mais sur une Kawa 250 A1R (qualifié en 4eme ligne)

C'est bien ce que je pensais; le programme (cf Sidonie) est erroné, Eric roulait Kawa à cette date
Merci Pierre

Un regroupement de photos de Fougeray : il semblerait qu'il ait eu plusieurs machines....quelqu'un en sait-il plus ?
Les légendes ne sont peut-être pas exactes, merci de les compléter/corriger

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pas de légende

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1968 Le Mans moto de Monneret

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1969 05 Le Mans GP 250

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1969 le Mans critérium

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1970 Bourg 350

Les deux memes en bagarre a l'Ulster GP en Aout 1969.

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L'explication de la photo d'Apriliabarth...


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La course se situait sur le circuit de Maghaberry. Ce circuit n'existe plus. Il était dans le triangle d'or de la road race dans le nord de l'Irlande: Antrim,Armoy,ect....Les Joey Dunlop et autre Tom Herron se sont illustés sur ce circuit. Maghaberry est malheureusemnt plus connue pour sa prison de haute securité ,souvent évoquée lors du conflit avec l'IRA.


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J'y étais !
Apris de la bouche de Nanou : "Ils ont fait cramer un flic dans sa voiture a Londonderry".
Retour au bercail chaotique...

Voir le très beau film "Bloody Sunday" de Paul Grenngrass qui relate les évenements du 30 Janvier 72.