[SORTIES] Sunday Ride Classic 2017 - 15 et 16 Avril 2017 au Circuit Paul ricard

Du côté des clubs , nous étions présents avec le Benelli Club de France.
Quelques italiennes , dont certaines pas courantes et une Laverda 1200 très spéciale .

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Une 750 TZ Yamaha International replica

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Jean (de Turku)

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Roger Sibille

Et un Grand Merci à tous : à JP Bonato qui nous régale chaque année, à Yves pour son accueil sympa, les PitLainers rencontrés (les connus et les nouveaux rencontrés "en vrai" comme JH42, Yves, Philwood, Marc, etc ...), à Jacky H qui était survolté et que tout le monde a apprécié (il se rattrape de ne plus commenter sur Eurosport).

JAKUTO a écrit:

Merci à vous tous pour ces photos superbes qui permettent de faire le tour du paddock SRC (ou presque) sans y avoir été ou d'y être sans avoir rien vu ou presque....mais qu'est ce que je me suis régalé avec le micro que j'ai réussi à piquer à Arnaud, le vrai speaker !!!!

Lequel Arnaud avait parfois du mal à en placer une!

yves kerlo a écrit:

Bruno Mingret avec sa RSW ex Simone Corsi, présent ici
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C'est un modèle RSA, beaucoup plus rare que le RSW, dernier modèle d'Aprilia 125, avec le disque rotatif placé derrière le moteur.
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Bref, un Derbi rebadgé !

Tour de paddock

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A l'époque je n'aimais pas l'ibstrumentation intégrée au phare.
Aujourd'hui, quel charme, et quelle patine !

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Merci pour les Photos ! Mais quel dommage pour la (pauvre) Ducati Scrambler !

yves kerlo a écrit:

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C'est un moteur italien fabriqué par DEA qui était notre principal concurrent en Superkart.
Il a bien fonctionné, avec un bruit strident, haut dans les tours.
La moto roule en Italie depuis deux saisons maintenant, elle est beaucoup plus aboutie que notre proto sur base de 125. Autant vous dire que je suis content que Bertrand ait fini devant.
Le weekend n'a pas été de tout repos pour l'équipe FPE, notamment avec le proto 125.
Serrage inexpliqué à l'arrière à la première séance essais libres.
Puis un piston fondu devant à la seconde.
La situation s'est améliorée avec le changement de l'allumage, mais la carburation prudente était trop riche et le moteur ne fonctionnait pas correctement.
Et ce n'est qu'au warm up que le moteur était à peu prés correct.
Encore quelques réglages carburation et châssis et nous voilà déjà en course.
La cadence étant plus élevée, Bertrand s'est plaint d'avoir découvert un véritable "cheval à bascule".
Il y a encore du travail sur le proto: les suspensions à accorder, le radiateur insuffisamment efficace ...
Rendez-vous à Magny-Cours, le premier weekend de Juin.

Francis, aurais-tu une photo de votre radiateur installé derrière le moteur?

Voilà ce que j'ai, ce n'est pas terrible:

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Comme vous le voyez, le radiateur est fixé entre les poutres du châssis légèrement en pente, Fred a fabriqué une écope pour favoriser l'alimentation en air, mais il semblerait que ce soit insuffisant. Pendant la course, la température s'est stabilisée à 71° ce qui est déjà trop, qu'en sera-t'il le jour où il va faire 30° sur la piste ou plus ?
Cette disposition était imposée à l'origine, par l’exiguïté de la place derrière la roue avant, depuis la modification de la colonne de direction (avancée de 15mm), il est envisageable de revenir à une solution plus classique. Une solution est à l'étude.

Pour Pierre et Jean JH42, la 500 KR ne marchait pas car elle avait un problème de poignée de gaz (câble qui accrochait ou boisseau bloquant). JF Baldé est resté un long moment au box à le résoudre.

Quelques photos principalement du Klass GP 250/125 !! D'autres photos des autres courses et des expositions sont à demander via la rubrique contact du blog:

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Ps: inutile de me demander des photos via la messagerie de PIT-LANE , mon statut ne me permet pas de vous répondre !!!

De plus, ce n'est pas moi qui gère le blog cité ci-dessus ....

Exactweld

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Freddie ayant eu la gentillesse de me donner son livre en avant-première, merci à lui et à Alexandra, sa compagne française, je me suis dépêché de le lire pour vous en faire profiter.
Je suis un peu perplexe, car ce livre est l'histoire de sa quête spirituelle, la moto et ses victoires n'en étant qu'un élément. Freddie nous fait rentrer dans son intimité, et moi j'ai toujours pensé que se mettre à nu n'est pas forcément nécessaire, je suis d'une école de journalisme où la vie privée ne doit pas se mêler à la face publique ou professionnelle du sujet concerné
Oui mais voilà, Freddie a ressenti le besoin de faire ce livre et il l'a fait , d'où le titre, "feel", qui veut dire ressentir, mais aussi sentir, se sentir, penser.
On le sait, il a toujours été un peu mystique, en tout cas en quête de spiritualité, ce en quoi il détonnait avec la majorité des pilotes qui sont plutôt terre à terre et très matérialistes. Malgré ses succès, ses gains colossaux, Freddie ne s'y est pas attaché, bien lui en a pris puisque tout ça a été balayé et qu'il s'est retrouvé ruiné du jour au lendemain.Mais, et c'est une qualité très américaine, a fortiori d'un américain en quête d'absolu comme Freddie, tout perdre n'est rien, on se relève et on repart.
Freddie ne s'arrête ni à ses traumatismes d'enfance ni à ses déboires d'adultes,il fonce, il fait ce qu'il faut pour les surmonter – la phrase en exergue sur la dernière page de couverture du livre est impressionnante :
"le traumatisme de mon enfance, la douleur que j'ai subie quand j'étais môme, l'incompréhension et l'inconfort, tout cela contrastait avec la paix et la détermination que je ressentais quand je pilotais une moto".
Tout est dit, la course de moto est un sport violent et pourtant c'est en le pratiquant que Freddie ressentait une paix intérieure – voilà qui m'a rappelé Mike Hailwood, me confiant que ses seuls moments de vrai bonheur c'est quand il était lui aussi sur une moto de course. Ce livre est donc une confession, surprenante, inattendue, en même temps qu'une mise au point, une réponse à des interrogations qu'avait suscitées Spencer le champion et que l'homme nous donne aujourd'hui. En passant, on glane aussi des infos capitales sur ces années du retour de Honda à la compétition, avec la NR 4-temps d'abord, puis les invincibles NSR deux-temps.
Ayant suivi sa saison 85, puis assisté à sa descente aux enfers en 86, j'avais bien compris qu'il y avait une fêlure chez lui. D'ailleurs je lui avais dit en 87 ou 88 qu'au delà de sa blessure au poignet, il avait surtout du faire face à une dépression nerveuse, ce qui l'avait surpris et qu'il avait admis, et j'avais même eu l'impression de le lui faire découvrir, en tout cas d'en prendre conscience, mais je manquais d'éléments pour analyser tout ce qui l'avait causée, l'effort des deux titres mondiaux en 85, oui , bien sûr, mais pas que ça, en tout cas je sentais bien qu'il y avait d'autres causes.
Et voilà que Freddie se livre, nous dit tout, et dans un sens je me sens un peu gêné car j'aurais aimé que ce grand champion garde une part de son mystère, mais tout ce qu'il raconte est aussi une remise en perspective nécessaire, on a oublié qu'il fut champion du monde à 21 ans, réalisa son doublé à 23 ans, et qu'il était alors trop timide, trop introverti pour se livrer et donc faire taire rumeurs et ragots, dont beaucoup causés par sa discrétion même.
Vous l'avez compris, j'ai lu ce récit d'une traite alors qu'il a été écrit par bribes, rassemblées peu à peu jusqu'à ce que l'auteur trouve enfin la force et la maturité nécessaires pour faire ça. Et on croit sans peine Freddie lorsqu'il sous entend que ça a été autrement plus difficile que de gagner des courses de moto.

Merci Bubu pour cette critique express       qui fait écho à celle lue dans Cycle World mais est bien plus explicite 
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Rappelons que le bouquin est mis officiellement en vente demain 20 avril.

Pour ceux pour qui cette SRC a été une première : visez un peu le paddock des débuts! on avait bien plus de place à l'époque, hein!  
La vision de la Kawa 350S2A à vendre dans le paddock m'a rappelé la mienne (l'une des 50 vendues en France) garée quasi au même endroit en 2010. On avait eu droit a une météo dantesque. Les K81 triangulaires (gomme dure, version Teck    ) m'avait valu de bien transpirer dans Signes,  bien la peine de mettre une combi de pluie pour rester au sec.  
Vous pouvez ainsi apprécier le chemin parcouru par JP Bonato & Co pour en arriver là. Il y aura bien des pisse-froid pour se plaindre; pas assez ceci, pas assez cela, pour les bourges... etc . En attendant moi j'attends déjà la prochaine!

ps: j'en profite pour dire que je recherche des pots en bon état (les miens sont bien bosselés) pour ma S2 , contactez moi par MP si toutefois leur prix n'est pas directement indexé sur le cours de l'or ou du platine, raisonnable quoi.

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Oui Michel ! paddock humide et peu fréquenté de la SRC 2010 :
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J'ai même souvenir de pannes électriques sur la route en descendant, curieux avec une Benelli ! (pas cette Sei !)
Que de chemin pour JPB en 7 ans !

japs70s a écrit:

Du côté des clubs , nous étions présents avec le Benelli Club de France.
Quelques italiennes , dont certaines pas courantes et une Laverda 1200 très spéciale .

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La Laverda 1200 très spéciale est ici  http://www.laverdamania.net/P12XX_1.htm

JH42 a écrit:

Que de chemin pour JPB en 7 ans !

Et que de chemin depuis sa collaboration média (hé oui déjà) avec Mig en 1995 lors de leur titre de Champion du Monde d'Endurance
Ici tout à droite de la photo...

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Et à tout à gauche la gentille Mme Guignabodet. Sympa de revoir ces visages remplis de bonheur.

L'était beau le Tiol hein



K.

[quote="fpayart"]Voilà ce que j'ai, ce n'est pas terrible:

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Ça lui fait un petit coté NR des premières années, celles où ça merdait sévère...

Bon sinon la partie cycle c'est pas ça ? (faut qu'on se parle hein)


Kcnarf.

Thierry, ce n'était pas Mme Guignabodet mère sur la photo, mais notre cuisinière Spéciale Endurance, avec un franc parler à l'accent méridional, excellente, mais ce n'était pas vraiment diététique!

Et derriere la dame cook,Stephane Mertens. Vu qu'il a eté vice champion de Belgique du 110m haies le regime imposé par celle-ci a du le changer!