[SORTIES] Sunday Ride Classic 2017 - 15 et 16 Avril 2017 au Circuit Paul ricard

Pas trop hors sujet puisque JP Bonato était concerné.
La précédente photo a été prise à l'arrivée des 24 heures du Mans 95, celle-ci à l'arrivée du Bol de la même année, Mertens père et Guignabodet père, apparemment ému, avec le titre tout frais de Champion du Monde d'Endurance.

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Une intervention passionnante de bubu sur une question rare sur ces ondes  

bubu a écrit:

Freddie ayant eu la gentillesse de me donner son livre en avant-première, merci à lui et à Alexandra, sa compagne française, je me suis dépêché de le lire pour vous en faire profiter.
Je suis un peu perplexe, car ce livre  est l'histoire de sa quête spirituelle, la moto et ses victoires n'en étant qu'un élément. Freddie nous fait rentrer dans son intimité, et moi j'ai toujours pensé que se mettre à nu n'est pas forcément nécessaire, je suis d'une école de journalisme où la vie privée ne doit pas se mêler à la face publique ou professionnelle du sujet concerné
Oui mais voilà, Freddie a ressenti le besoin de faire ce livre et il l'a fait , d'où le titre, "feel", qui veut dire ressentir, mais aussi sentir, se sentir, penser.

Je ne connais rien ou si peu du personnage de Freddie Spencer sinon son mysticisme qu'il a de commun avec la majorité des étasuniens, de tous parfums y comprit et surtout les plus délirants.  J'apprécie toujours la "bonne distance" de tes écrits, la pudeur plus du tout à la mode qui n'empêchent pas la chaleur de la plume, belle école de journalisme en voie de disparition supplantée par les propagandistes au service de la marchandise, mot autrefois utilisé pour désigner la merde.
Oui mais voilà,le sujet qui concerne Freddie Spencer n'était pas la moto qui n'était que le moyen pour traiter "son" essentiel, les fondements de sa personnalité. Ce sujet là qui me parait très visible dans les comportements des pilotes que nous observons. Qu'est ce qui les fait courir, ces motivations si différentes qui les fait se retrouver côte a côte avec la même volonté de perfectionner la maîtrise de leur discipline ?  Il indiffère ceux, bien dans leur triste temps qui ne s'intéresse qu'au "comment" sans jamais en chercher le "pourquoi". C'est bien leur droit et le mien aussi d'inverser le culte de la marchandise déchaînée. Le public des circuits ou de la télévision n'est pourtant pas dupe et fait le distinguo entre l'arrogance de l'un, la joie de l'autre, la discrétion du suivant et les propos mécaniquement lâchés de la profusion d'hommes sandwich élevés en batterie. Cot cot cot...

bubu a écrit:

On le sait, il a toujours été un peu mystique, en tout cas en quête de spiritualité, ce en quoi il détonnait avec la majorité des pilotes qui sont plutôt terre à terre et très matérialistes. Malgré ses succès, ses gains colossaux, Freddie ne s'y est pas attaché, bien lui en a pris puisque tout ça a été balayé et qu'il s'est retrouvé ruiné du jour au lendemain.Mais, et c'est une qualité très américaine, a fortiori d'un américain en quête d'absolu comme Freddie, tout perdre n'est rien, on se relève et on repart.
Freddie ne s'arrête ni à  ses traumatismes d'enfance ni à ses déboires d'adultes,il fonce, il fait ce qu'il faut pour les surmonter – la phrase en exergue sur la dernière page de couverture du livre est impressionnante :
"le traumatisme de mon enfance, la douleur que j'ai subie quand j'étais môme, l'incompréhension et l'inconfort, tout cela contrastait avec la paix et la détermination que je ressentais quand je pilotais une moto".
Tout est dit, la course de moto est un  sport violent et pourtant c'est en le pratiquant que Freddie ressentait une paix intérieure – voilà qui m'a rappelé Mike Hailwood, me confiant que ses seuls moments de vrai  bonheur c'est quand il était lui aussi sur une moto de course. Ce livre est donc une confession, surprenante, inattendue, en même temps qu'une mise au point, une réponse à des interrogations qu'avait suscitées Spencer le champion et que l'homme nous donne aujourd'hui. En passant, on glane aussi des infos capitales sur ces années du retour de Honda à la compétition, avec la NR 4-temps d'abord, puis les invincibles NSR deux-temps.
Ayant suivi sa saison 85, puis assisté  à sa descente aux enfers en 86, j'avais bien compris qu'il y avait une fêlure chez lui. D'ailleurs je lui avais dit en 87 ou 88 qu'au delà de sa blessure au poignet, il avait surtout du faire face à une dépression nerveuse, ce qui l'avait surpris et qu'il avait admis, et j'avais même eu l'impression de le lui faire découvrir, en tout cas d'en prendre conscience, mais je manquais d'éléments pour analyser tout ce qui l'avait causée, l'effort des deux titres mondiaux en 85, oui , bien sûr, mais pas que ça, en tout cas je sentais bien qu'il y avait d'autres causes.
Et voilà que Freddie se livre, nous dit tout, et dans un sens je me sens un peu gêné car j'aurais aimé que ce grand champion garde une part de son mystère, mais tout ce qu'il raconte est aussi une remise en perspective nécessaire, on a oublié qu'il fut champion du monde à 21 ans, réalisa son doublé à 23 ans, et qu'il était alors trop timide, trop introverti pour se livrer et donc faire taire rumeurs et ragots, dont beaucoup causés par sa discrétion même.
Vous l'avez compris, j'ai lu ce récit d'une traite alors qu'il a été écrit par bribes, rassemblées peu à peu jusqu'à ce que l'auteur trouve enfin la force et la maturité nécessaires pour faire ça. Et on croit sans peine Freddie lorsqu'il sous entend que ça a été autrement plus difficile que de gagner des courses de moto.

Voilà donc un livre qui n'est pas "de moto", juste "de l'humain", çà change un peu et en bien.
PPD aurait dit de sa voix nazillarde : "vous pouvez reprendre une activité normale"...

D'abord un grand merci pour tous ces reportages photographiques !

Ensuite, le livre sur, par et de Freddie Spencer existe-t-il en français ? Et sera-t-il distribué chez tous les bons libraires et au-delà ?

Merci d'avance

Bonjour, il est déjà commandable en ligne aux endroits habituels (A....n par ex.)

j'ai discuté avec alexandra de sa publication en français, la décision relève pour l'instant de l'éditeur anglais qui veut trouver un éditeur français - à suivre donc

Il parle français F. Spencer ? Simple curiosité... vu qu'il est originaire de Louisiane.

Il avait eté invité récemment sur le plateau d'Eurosport ou il avait fait de longues et intéressantes interventions mais a priori ne parlait pas du tout notre langue mais avec une compagne Française il va faire des progrès a vitesse"V"!

Des progrès en "compagne" ou des progrès en français? [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Faut l'brancher sur Pitlane, il fera baisser la moyenne d'âge.

Ca serait plutôt Quartararo a faire venir parce que Fredo il a quand meme 55 balais!

Quelques excédents de photos...

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Qui a dit: "La moto est un sport de riches pratiqué par des pauvre..."?
Steve Baker peut être, avec sa voiture de location.

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Quelques obstacles pour le moment, pour Bernard Fau, en vue du TT Classic cet été, mais il y travaille

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Les newcomers avec gilet fluo en Klass 250, comme au TT, afin de ne pas se faire percuter quand ils prennes un tour

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Du beau monde venu d'Italie

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François Debierre, concessionnaire Kawa à Hyères, nous avait prêté sa 250 Aprilia, il est venu avec une Brammo électrique, on a vite sympathisé, aussi bien pour la 250 Aprilia que pour la Brammo.
ps Pierre, help, pour le CV de François Debierre

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Des vieux pitlaners avaient amené leurs chaises, afin de ne pas trop souffrir

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A l'arrivée de la course des 250 le propriétaire de l'Aprilia, Patrick Chiotasso (de dos avec la casquette jaune) était tout particulièrement enchanté de l'avoir prêté à Guy Bertin.

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Michel Escudier nous avait prêté six 125 italiennes, un grand merci à lui pour sa confiance.

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Jacky Grolet, récoltant restaurateur et accessoirement motocycliste classique, a élargi sa gamme...!

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Pour le CV de François Debierre,disons qu'il est concessionnaire Suzuki essentiellement, depuis une vingtaine d'années a Hyères-les-palmiers sous l'enseigne ATS Sud,puisque au depart de l'affaire, ATS Paris était partie prenante . A coté de Suzuki il represente quelques autres marques Mash,Kymco,Brammo et Honda en agence. Coté competitions il fut un animateur de la French Harley Cup avec de belles victoires.Je me souviens notamment d'un Open a Carole en 1994. Ce qu'on sait moins aussi c'est qu'il fut pilote suppleant sur la Kawasaki officielle en endurance a la grande époque des Rymer et Morrisson mais en tant que suppléant il n'a pas roulé en course.
  C'est un garçon qui a aussi la passion des belles voitures (il vient de restaurer une Alfa Montréal a la motorisation V8 fragile si on ne l'entretient pas meticuleusement ) et fait du rallye dans l'arriere pays Varois. J'ai souvenir de virées avec lui a Djerba au frein a main dans les ronds-points,c'etait pas triste. Bon,quelquefois il tape tres fort le François!

Le plus vieux pit-laner a eu du mal à cavaler durant ces 3 jours, heureusement il était bien escorté en cas de défaillance.
Merci surtout à Eric Lasserre (kawaboy64) et bien content de rencontrer le rouennais du Club Suzuki: Jacques Massé.
Il ne pouvait rien m'arriver avec des gardes du corps pareils.
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J'aime bien ta photo Yves un peu symbolique des vieux copains qui se retrouvent, ces 3 autocollants (Kerlo sur le cadre du vélo et les 2 autres sur les chaises).
Allez, je m'en retourne au débat présidentiel, il y a Jean Lassalle à la TV. 

@Y.Kerlo : pourriez-vous poster quelques photos du vélo présent en arrière plan ? Merci par avance.

Vélo de ballade et déplacement paddock, artisanal, dessiné par JBB et fabriqué à environ 30 exemplaires il y a 15 ans (toujours environ!)
Pas de pièces Racing, tout le reste est Décathlon à pas cher.
Tu n'es pas le premier à me le demander et du coup les images sont toutes fraîches.

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Cardamome a écrit:

Il parle français F. Spencer ? Simple curiosité... vu qu'il est originaire de Louisiane.

Pas du tout! Alors qu' il est quelque peu hypermnésique et qu'il a vécu quelques temps dans le sud de la France...
Sa compagne parlant fort bien l'anglais je doute qu'elle le fasse progresser dans notre langue.

Quelques photos de plus avec des Pit-Laners...
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Ago en plein travail
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Pour grimper en altitude...
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Un très beau SRC avec toujours des belles rencontres....

yves kerlo a écrit:

Vélo de ballade et déplacement paddock, artisanal, dessiné par JBB et fabriqué à environ 30 exemplaires il y a 15 ans (toujours environ!)
Pas de pièces Racing, tout le reste est Décathlon à pas cher.
Tu n'es pas le premier à me le demander et du coup les images sont toutes fraîches.

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Beau dessin.
Mais, c'est vraiment ballot qu'il soit équipé d'une fourche ... télescopique. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

C'est pas faux...!

bubu a écrit:

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Freddie ayant eu la gentillesse de me donner son livre en avant-première, merci à lui et à Alexandra, sa compagne française, je me suis dépêché de le lire pour vous en faire profiter.
Je suis un peu perplexe, car ce livre  est l'histoire de sa quête spirituelle, la moto et ses victoires n'en étant qu'un élément. Freddie nous fait rentrer dans son intimité, et moi j'ai toujours pensé que se mettre à nu n'est pas forcément nécessaire, je suis d'une école de journalisme où la vie privée ne doit pas se mêler à la face publique ou professionnelle du sujet concerné
Oui mais voilà, Freddie a ressenti le besoin de faire ce livre et il l'a fait , d'où le titre, "feel", qui veut dire ressentir, mais aussi sentir, se sentir, penser.
On le sait, il a toujours été un peu mystique, en tout cas en quête de spiritualité, ce en quoi il détonnait avec la majorité des pilotes qui sont plutôt terre à terre et très matérialistes. Malgré ses succès, ses gains colossaux, Freddie ne s'y est pas attaché, bien lui en a pris puisque tout ça a été balayé et qu'il s'est retrouvé ruiné du jour au lendemain.Mais, et c'est une qualité très américaine, a fortiori d'un américain en quête d'absolu comme Freddie, tout perdre n'est rien, on se relève et on repart.
Freddie ne s'arrête ni à  ses traumatismes d'enfance ni à ses déboires d'adultes,il fonce, il fait ce qu'il faut pour les surmonter – la phrase en exergue sur la dernière page de couverture du livre est impressionnante :
"le traumatisme de mon enfance, la douleur que j'ai subie quand j'étais môme, l'incompréhension et l'inconfort, tout cela contrastait avec la paix et la détermination que je ressentais quand je pilotais une moto".
Tout est dit, la course de moto est un  sport violent et pourtant c'est en le pratiquant que Freddie ressentait une paix intérieure – voilà qui m'a rappelé Mike Hailwood, me confiant que ses seuls moments de vrai  bonheur c'est quand il était lui aussi sur une moto de course. Ce livre est donc une confession, surprenante, inattendue, en même temps qu'une mise au point, une réponse à des interrogations qu'avait suscitées Spencer le champion et que l'homme nous donne aujourd'hui. En passant, on glane aussi des infos capitales sur ces années du retour de Honda à la compétition, avec la NR 4-temps d'abord, puis les invincibles NSR deux-temps.
Ayant suivi sa saison 85, puis assisté  à sa descente aux enfers en 86, j'avais bien compris qu'il y avait une fêlure chez lui. D'ailleurs je lui avais dit en 87 ou 88 qu'au delà de sa blessure au poignet, il avait surtout du faire face à une dépression nerveuse, ce qui l'avait surpris et qu'il avait admis, et j'avais même eu l'impression de le lui faire découvrir, en tout cas d'en prendre conscience, mais je manquais d'éléments pour analyser tout ce qui l'avait causée, l'effort des deux titres mondiaux en 85, oui , bien sûr, mais pas que ça, en tout cas je sentais bien qu'il y avait d'autres causes.
Et voilà que Freddie se livre, nous dit tout, et dans un sens je me sens un peu gêné car j'aurais aimé que ce grand champion garde une part de son mystère, mais tout ce qu'il raconte est aussi une remise en perspective nécessaire, on a oublié qu'il fut champion du monde à 21 ans, réalisa son doublé à 23 ans, et qu'il était alors trop timide, trop introverti pour se livrer et donc faire taire rumeurs et ragots, dont beaucoup causés par sa discrétion même.
Vous l'avez compris, j'ai lu ce récit d'une traite alors qu'il a été écrit par bribes, rassemblées peu à peu jusqu'à ce que l'auteur trouve enfin la force et la maturité nécessaires pour faire ça. Et on croit sans peine Freddie lorsqu'il sous entend que ça a été autrement plus difficile que de gagner des courses de moto.

Intéressant !

L'avantage d'être un poil à la bourre, c'est que, question légendes photos il y a moins de boulot ........

Vendredi après-midi.

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C'est pas Fau ? ..........Et si !

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Guy Bertrand à D

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Flashy non ??



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Le stand 17, une merveille, un grand bravo à Yves qui n'a pas compté les heures et les kilomètres et puis cette excellente idée de décorer le stand avec quelques photos, tout le monde a apprécié    

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Signore Ala Zorro himself


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4 p'tits culs d'Aermacchi

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Yves et Angelo


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On a vu Bubu, que le vendredi hélas !


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Superbe !!


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Merci Yves et merci aux propriétaires de toutes ces merveilles

Et merci Christian pour ces belles images !

Toujours le vendredi

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C'est du Tech3 Classic


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Alain Miche.J'avais posté un quizz ou on le voyait prendre l'épingle de Mallory tout en glisse, il m'a expliqué que c'était
grâce à la roue directrice du panier qu'il pouvait se permettre cette figure, les Anglais étaient prêts à tout pour lui barrer
la route, jusqu’à se mettre en travers devant lui (dixit Alain), et quand je lui ai parlé de Devil Elbow "Là, on passait avec la roue
avant légèrement décollée...." Grand Monsieur






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Steve baker, un champion discret, presque effacé, et pourtant le plus rapide de la bande  


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Jacky Germain, actif, attentif


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Bruno des Gayets


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Spencer et sa compagne


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Edourd B et Philippe B, deux Pit-Laners