[Oldies] L'incroyable univers du "Cheval"! (Part 2)

Ah, Fernandez ou Bras ? Gomis ou Bubu ?

C'est Bras, l'organisateur du "salyon". Scuse.

fredomono a écrit:

Bonsoir
qu'est devenu Guilleux ??

Il lui arrive de passer de temps en temps saluer Thierry Rapicault, qui tient un bar-tabac-presse au Mans.
(SNC L'INFO 241 Av de la Libération).
Un endroit fréquentable!
Hervé, originaire du Mans, a eu la particularité quand il était lycéen, d'avoir fait traverser le Mans à une vitesse pas raisonnable un passager nommé François Fillon!
L'ancien Premier Ministre l'a raconté récemment lors une remise de décoration, il n'a apparemment pas vraiment oublié ce trajet effectué au siècle dernier...

yves kerlo a écrit:

fredomono a écrit:

Bonsoir
qu'est devenu Guilleux ??

Il lui arrive de passer de temps en temps saluer Thierry Rapicault, qui tient un bar-tabac-presse au Mans.
(SNC L'INFO 241 Av de la Libération).

ET Thierry RAPICAULT m'a même dit récemment qu'ils viendraient tous les deux te voir un de ces jours à Chartres YVES !

francois gomis a écrit:

C'est Bras, l'organisateur du "salyon". Scuse.

Passque sinon moi je proposais Max Meynier !

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trouvé cela sur le web

Elle date de quand cette photo ?
Une Chevalier s'était présentée à une course de championnat de France Open au Mans en 86 ou 87 avec le même genre de montage. Le premier frein carbone en moto à ma connaissance.

début de saison 1986, la livrée Rollstar a ensuite évolué. ce montage de frein a fait toute la saison sans aucun problème. A Monza, le frein fonte a été utilisé par sécurité car le carbone semblait limite pour tenir toute la course. tous les autres GP ont permis l'utilisation du frein carbone.
à noter les superbes petits radiateurs réalisés par Alain Cueille sur une fraiseuse à commande numérique manuelle et la roue avant PVM dont les batons étaient excentrés pour laisser passer l'épaisseur de la pince de frein.

Remarquons le cheminement du courant d'air de refroidissement de l'étrier de frein secondaire: par le garde boue .
A+ Dan

C'est vrai que le montage n'était pas simple
Au delà de la fabrication du support de pinces mécano-soudé et des radiateurs permettant d'écarter les 2 parties des pinces pour s'adapter à l'épaisseur conséquente du disque, de l'usinage des plaquettes en carbone ,le montage et son réglage était assez pointu
Il fallait  serrer le collier de fixation du support de pince suffisamment pour assurer son maintient sur le fourreau, mais pas trop au risque de désaligner les faces d'appui des pinces avec pour conséquence que les plaquettes lèchent le disque,  entraînant  le ralentissement de la moto et la montée en température du système , fourche et hydraulique incluses. Le fourreau étant fabriqué en magnésium, il pouvait aussi aisément se déformer et empêcher le coulissement normal de la fourche
Petit maux, grandes conséquences!
Donc beaucoup de travail pour les mécanos, qui avaient aussi bien d'autres problèmes à résoudre, car à l'époque, la mécanique ne se cantonnait pas à échanger des pièces et à passer un coup de plumeau
Mais quel bonheur de développer des systèmes comme cela, chacun apportant sa pierre à l'édifice
Et voir Didier passer les autres pilotes au freinage nous récompensait largement de nos efforts
Bon , on ne collait pas entre 3 et 5 s au tour comme le propose un certain, mais déjà, c'était pas mal

MacPepR a écrit:

Elle date de quand cette photo ?
Une Chevalier s'était présentée à une course de championnat de France Open au Mans en 86 ou 87 avec le même genre de montage. Le premier frein carbone en moto à ma connaissance.

La photo est récente,  c'est la 2 ème moto roulante connue.( collection Cortot)Elle est en arrière plan de mon Avatar.
Si tu as vu le même montage sur une cheval en 86 c'est peut être bien la SNCF pubiée plus haut.

De mémoire c'était sur une moto d'Espié.

Pas mieux, mais cette moto a été refaites aux couleur de De Radi.
À la Prazerie, ils avaient tous leurs bol avec leurs prénoms et leurs ronds de serviettes,mais un peu de mou dans la corde à noeuds question suivit de production….

Qui a fait quoi avec quels bouts? on a pas fini de chercher.

Il s'agit bien du montage utilisé toute la saison 86 par Didier. j'ai fait une erreur de datation sur la déco Rollstar qui est celle de fin de saison . sur le ou les 2 premiers GP les bandes rouge étaient horizontales.
à noter aussi les jolis petits colliers support de garde boue en titane.
Toutes ces pièces légères permettaient d'afficher un poid trés proche de la limite réglementaire aux vérifs

Trouvées sur Facebook. Rijeka 1985
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Gull a écrit:

Pas mieux, mais cette moto a été refaites aux couleur de De Radi.
À la Prazerie, ils avaient tous leurs bol avec leurs prénoms et leurs ronds de serviettes,mais un peu de mou dans la corde à noeuds question suivit de production….

Qui a fait quoi avec quels bouts? on a pas fini de chercher.

C'est vrai ce que tu dis Gull. A cette époque, la moto évoluait de course en course, et j'avoue que pour ma part l'évolution précédente de la nouvelle ne m' interressait déjà plus.
Il n'y avait pas le temps de faire des dossiers, pas plus que de prendre des photos, c'était plutôt poste à souder, copeaux derrière le tour ou la fraiseuse,et café-gitane toutes les 10mn, pendant que Cheval réfléchissait à ce qui devait évoluer.
Mais c'est regrettable en effet, car ma mémoire s'éffiloche au fil des ans, et c'est seulement au vu des photos que ces épisodes me reviennent.
D'un autre côté, ça vous donne du grain à moudre, et le dossier reste ouvert pour un bon moment

D'un autre coté, les photos étaient chères, les appareils photos également, un atelier c'était pas trop leur place de prédilection.

Maintenant, on photographie tout et rien (plutôt rien, d'ailleurs) car presque tout le monde a un téléphone incluant un appareil photo... souvent de qualité innommable.

Houla pinaise, le gars Cueille nous fait un coup de blues
ceci dit bien d'accord, j'ai participé moins longtemps mais étant beaucoup plus jeune (ou moins vieux ) je me souviens de quelques détails.
la moto de Thierry Espié en 85 était la "grand mère" il me semble (je n'avais encore pas mis les pieds à La Prazerie donc pardon si je me gourre) le frein était légèrement différent je crois, plus petit en diamètre et surtout en épaisseur 10 mm au lieu de 12 mm par la suite. le chemin de durite aussi, raccord en lieu et place de la vis de purge sur la moto de 86 et purge possible par la pince arrière, pas de renfort de fourche entre les 2 fourreaux.
comme le dit Alain, la moto évoluait en permanence allant même jusqu'à adopter une suspension avant avec un seul hydraulique (le 2ème tube tube ne contenait que le ressort et une longue cale en alu pour compenser le volume)
inutile de préciser que lors d'un démontage express pour réglage durant une séance d'essai à Misano, les espions jaunes présents se demandaient bien ce que Lahoud avait encore inventé

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Source Manfred Mothes.

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alain cueille a écrit:

Gull a écrit:

Pas mieux, mais cette moto a été refaites aux couleur de De Radi.
À la Prazerie, ils avaient tous leurs bol avec leurs prénoms et leurs ronds de serviettes,mais un peu de mou dans la corde à noeuds question suivit de production….

Qui a fait quoi avec quels bouts? on a pas fini de chercher.

C'est vrai ce que tu dis Gull. A cette époque, la moto évoluait de course en course, et j'avoue que pour ma part l'évolution précédente de la nouvelle ne m' interressait déjà plus.
Il n'y avait pas le temps de faire des dossiers, pas plus que de prendre des photos, c'était plutôt poste à souder, copeaux derrière le tour ou la fraiseuse,et café-gitane toutes les 10mn, pendant que Cheval réfléchissait à ce qui devait évoluer.
Mais c'est regrettable en effet, car ma mémoire s'éffiloche au fil des ans, et c'est seulement au vu des photos que ces épisodes me reviennent.
D'un autre côté, ça vous donne du grain à moudre, et le dossier reste ouvert pour un bon moment

Et bien heureusement que je m'intéresse à l'histoire de MA chevall, ça permet de resortir un bout d'historique…

Mais bon, je connais le truc, on vit à fond au jour le jour, on ne note rien, pas de photos ( de toutes façon on est pas équipés) on s'en fout de tout, on aura jamais 30 ans.
et pis sur un malentendu nous voilà toujours vivants à pleurer notre mémoire défaillante.

Quand viendra l'an 2000, on aura quarante ans...

Cette phrase m'avais marqué dans les années 80 car c'était parfaitement exact pour moi. Je me souviens avoir pensé "Ouh la vache, qu'est ce que je serais vieux en 2000..."

Alors, à l'époque m'imaginer en 2015...

( Il faut quand même dire qu'on avait mis toutes les chances de notre coté pour que ça n'arrive jamais.)

Montage "d'époque'

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Et Lahoud alors il est où ?

Gull a écrit:

Montage "d'époque'

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A mon avis on avait fait une bêtise pour le grillage qui "protégeait" l'entrée d'air sur le dessus du garde-boue: le tamis avait des mailles trop serrées et l'air ne devait pas bien passer Mais bon, y a prescription depuis...