Même s'il ne s'est pas fait que des amis dans le paddock en traitant souvent avec mépris les "chicanes mobiles" qu'étaient pour lui les pilotes de fond de grille en 500 , il mérite notre respect, ne serait-ce que par ce qu'il a payé comme tribut à la course moto dans sa chair et ses os ..... certes, pas autant que le pauvre Wayne Rayney, son rival malheureux, mais quand même..... je l'avais croisé dans le paddock du Grand Prix F1 de Melbourne en 2000, un an après qu'il ait raccroché pour de bon, il faisait un peu pitié, clopinant péniblement appuyé sur deux béquilles après avoir subi une n-ième opération sur sa jambe massacrée à Assen 8 ans plus tôt ......