[Oldies] 1980 à 1988: Le Tour de France side-car, par Joël Enndewell

Bonjour

Juste pour faire remarquer que cette année-là, il y avait 30 side-cars au départ. Si je ne me trompe pas, je pense que cela a été le plus gros nombre d’inscriptions sur les 8 années.
Je ne vais pas tarder à poster les articles de presse et des photos prises à TULETTE par Claude LAMBERT

A plus
)(

Bonjour.

Var Matin République du 14 septembre 1985 pour compléter la revue de presse.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Le carton est ouvert. Le scanner chauffe. Mais je ne vais pas tout mettre.
Le bulletin d'engagement par exemple ne devrait pas intéresser grand monde. Ou le roadbook.

J'ai l'impression que le public est vaste, mais effectivement il y a peut être des choses qui ne sont pas utiles.
En ce qui me concerne, je n'ai plu que des photos, que je vais légender.
)(

c'est bon tout ça, c'est bon!!!

BONSOIR.....

Ces photos sont géniales !! sympa de les avoir postés !!!

A+

Sympa la "le Mans" en second plan ! (ça nous change des Motos à trois roues !)
Et bien sur merci pour les photos

Merci Joël pour tes encouragements.

Malheureusement, mon carton n’est pas si gros que cela. Quand on a le nez dans la cambuse et le gonfleur à la main, l’assistant n’a pas trop le temps de faire de la prose ou des photos. Je vais tout de même essayer de partager quelques souvenirs.


A Amboise, un premier souvenir qui me revient grâce au sponsor ornant son pare brise et dont il est question un peu plus haut. Le side BMW / Precision d'un personnage
éminemment sympathique et haut en couleurs ne passait pas le contrôle sonomètre le vendredi après midi. Il est vrai que les flutes chantaient bien. Qu’a cela ne tienne ! Après une looooongue soirée à honorer son sponsor surement trèèèès généreux, après avoir concassé toutes ces canettes essentiellement de couleur verte et en alu, hop, la fine équipe fourre tout cela dans les pots, fait vite une ligature au fil de fer au bout et voila une paire de pots avec des chicanes toutes neuves. Des dB killer comme les appellent les jeunes aujourd’hui. Samedi matin, séance de rattrapage, rebonjour M. Krajka et son sonomètre. Bon pour le service, enfin pour le rallye.
La suite se déroule quelques jours plus tard. Bien malmené de cols en gués, l’une des deux ligatures, au cours d’une grosse accélération, décide de reprendre sa liberté. Je n’étais pas présent, mais il a du être surprenant pour celui qui suivait le side de voir arriver plein gaz, c’est le cas de le dire, une ribambelle de canettes Heinekein compressées !


Départ d'Amboise, un peu de nav'

Voici ce à quoi ressemblait un roadbook à l'époque:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Puis l'arrivée au circuit de Maison Blanche au sud de la ville du Mans.
Le CH:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Non, ce n'est pas un bandit manchot!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La foule en délire se presse pour admirer la bête

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Puis les concurrents attaquent la spéciale sur le circuit
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]


Le passager au rappel comme en régate impressionnait beaucoup.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Certains en profitent pour acheter du terrain  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Voili voilou pour ce soir.

Je ne savais pas que chez PRÉCISION, ils avaient passé un partenariat avec JARDILAND ?
Merci pour ce partage.
)(

Joël
Je pose la question à Daniel ANDRE et je vous en informe

 Joel

je ne participais pas à celui-ci  

mais , je reconnais certaines Têtes    dont une très chevelue    

on va attendre qu'ils nous en disent un peu plus sur cette terrible  épreuve  ?????

on voit que tout le monde attaquait fort avec des styles très différents

pour Bebert : juste une petite imprécision sur la trajectoire

Sympas de revoir le 650Z
bon je fouille dans le carton

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Le side c’est chouette, c’est sympa et ça peut vous mener loin.
Assurément Joël !!!

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Sinon, il me reste un motocollant déjà présenté par Joël, mais jaune. Peut-être du pastis des côtes du Rhône dans la bouteille ?


[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Notre bahut d’assistance étant un vieux SAVIEM caisse frigo déclassée, l’assistance assistait peu aux spectacles spéciales. En général, nous allions du point de départ du jour au point d’arrivée. Deux ou trois outils avec le side et il fallait que tout se passe bien pour nos concurrents. Le téléphone portable n’étant pas encore né, nous avions monté une CB, mais elle n’a jamais vraiment fonctionné. Il me semble même que nous l’avions démontée le deuxième ou le troisième jour.
Dès les essais, nous avions renommé le panier Polyfay le Polymalfay. Bon, d’accord, à cheval prêté (ou donné) dit le proverbe, on ne regarde pas les dents. C’est vrai que Babat était sympa, rigolo, cool, et tout et tout. Et que ses sides n’étaient pas chers. Mais bon, nous avions eu du boulot avant le départ : reprises de soudures, mise en ordre de l’électricité, etc. …. Mais nous n’avions pas tout vu !
Le pire a été évité à Magny-Cours. En arrivant, le passager nous dit que le side a des réactions bizarres. Le pilote ne ressent rien de son coté. Une rapide inspection nous fait apparaitre que le poly du plancher se déchire autour des quatre points de liaison caisse/châssis. En bref, la caisse est en train de se barrer, c’est un miracle si elle n’a pas déjà pris la tangente et le départ de la spéciale est dans quelques minutes. Nous solidariserons discrètement caisse et châssis avec deux sangles à cliquets et les deux lascars s’en iront enrouler du câble sur le circuit. Et l’essentiel, ils en reviendront entiers. Pendant ce temps, je pars chercher autour du circuit « quelque chose » de plus pérenne que des sangles. Il est l’heure de manger. Mais je trouve une chaudronnerie ouverte, plus pour longtemps car le taulier s’apprête à partir. J’explique notre problème. Et là, ni une ni deux, il prend des bouts d’alu, me fait huit plaques de 10*10 percées au centre et me tend le tout. Je sors le larfeuille et il me répond : « Ça m’a fait plaisir de vous dépanner. Dans le monde de la compétition, il faut bien s’entraider. Allez faire votre réparation ». Encore merci Monsieur inconnu.
Évidemment, je n’ai pas d’images de Magny-Cours. Nous n’y avons pas trainé car le soir il fallait être à Belfort et que ça fait de la borne, surtout avec un vieux bahut qui n’accélère pas et plafonnait à 70 ou 80 !

Quelques images prises sur la route, je ne sais ni quel jour et encore moins où !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Après l’étroit circuit de karting du Eisen/Chevremont à coté de Belfort, où les concurrents partaient un par un comme en course de côte, direction les Alpes et plus précisément La Rosière, station de sports d'hiver de la Tarentaise, en Savoie. De mémoire, il y avait une spéciale en côte juste avant d’arriver à la station. Je me souviens qu’à l’arrivée le pilote nous annonce « L’embrayage est en train de lâcher ». Gros blanc, pensez-vous donc! Changer l'embrayage, cela veut dire tomber tout le bloc motopropulseur. Même si celui ci est suspendu en porte à faux et ne tient que par deux axes ça fait du taf'! Investigations. Rien d’anormal n’est décelé. Un petit tour. Tout va bien. Je vous la fait courte mais nous avons fini par comprendre que sous l’effet du couple de tracteur du berlingot et bien que nous ayons des roues en 18, la cage à roulements, emmanchée dans la jante alu tournait à chaud dans ladite jante. Changer une jante, cela est tout de même beaucoup plus rapide que changer un embrayage.

Quelques images prises à la station de La Rosière.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Voili voilou pour ce soir.

Super ! Belle autre manière d'avoir vécu le TDF SC
)(

super de lire le "côté" concurrent, sympa aussi de voir d'autres photos

merci , merci et je dirais même plus: merci!!

CHAPITRE TULETTE village d’accueil extraordinaire.

Ce village se situe dans la Drôme, entre Orange et Nyons, voir :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tulette

TULETTE, pour moi, ça a toujours été le village de Claude LAMBERT et surtout celui de la concession BMW qu’il y animait.
Il faut être un peu fou pour implanter un tel magasin dans un si petit bled.
Quand je dis bled, c’est avec un complet respect, car ce n’est pas non plus un village d’une dizaine d’habitant !
Dans le début des années 1980, il y vivait 1500 âmes, à ce jour un peu moins de 2000.

Avec Claude, on a souvent ferraillé sur les circuits dans les années 70 à 75 !
Lui, ainsi que Joseph DUHEM, étaient mes idoles françaises et pour les pilotes étrangers, c’était plus Helmut FATH.

Lorsque j’ai arrêté la course, la première fois en 1975, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller revoir mon pote Claude.
Quand j’étais de passage à TULETTE, bien sûr, on parlait side-car, mais aussi de plongée (ma seconde passion) et surtout de la plongée spéléo.
Et moi, de raconter à Claude mes aventures sous terre.
Le monde étant tout petit, un jour son passager me dit qu’il a un copain spéléo dans la région, qui explore une cavité où il bute sur un siphon ! Ce dernier n’étant pas plongeur, ce siphon était pour lui infranchissable.
Dans notre jargon spéléo quand on découvre des nouvelles cavités, on appelle ça « faire de la première ».
Et de la première, ça ne se rate jamais.
C’est ainsi que pendant 6 ou 7 ans à 30 km de chez Claude, nous fîmes de très belles découvertes. Dont à ce jour, certains de mes terminus ne sont pas encore dépassés.
Même Claude est venue se trainer dans la boue avec nous à cet endroit.

Si ça intéresse c’est ici :
http://www.plongeesout.com/sites/raba/drome/Sexagesime/SEXAGESIME.htm

Mais revenons-en à nos side-cars : Traînant souvent dans la région lors de nos pérégrinations spéléo, nous prenions toujours le temps, chaque année, de rendre visite à Claude, et bien sûr quand on a organisé le TDF SC, il nous a proposé de voir avec le maire du village ce que l’on pouvait organiser sur place.
Quand je lui ai dit que notre critère était la gratuité du couchage et de la nourriture !, avec l’adjoint au maire il a immédiatement trouvé une solution simple et géniale !!!!!
Tous les concurrents, les assistances, ainsi que l’organisation seraient logés chez l’habitant.
En ce qui concerne le staff dirigeant, on cantinait chez Claude.
Quand je dis on cantinait, je veux plutôt dire que l’on a envahi la maison de Claude, comme personne ne peut l’imaginer.
Non pas que Claude ne soit pas accueillant, hoooo non loin de là ! Mais ceux qui connaissent Claude savent que c’est plutôt une personne réservée, limite timide, et qui aime bien la tranquillité.
Claude a accepté pendant 5 ans que l’on envahisse sa maison comme des squatteurs de base et sans aucune arrière-pensée (Claude, t’as été génial).

Quant à son atelier qui lui est si cher et personnel !  Pendant 2 jours Claude réparait tout ce qui était en panne et son passager n’était pas en reste pour aider.
L’atelier était envahi grave.
Jamais je n’aurais imaginé Claude laisser autant de monde rentrer dans son atelier, ça bricolait dans tous les coins.
On avait l’impression que plus rien n’était maitrisé.

Claude tu es un vrai compétiteur, un vrai pilote. Tu avais compris que la course était la course et grâce à toi, beaucoup de pilotes ont pu repartir le lendemain.
Même moi j’ai eu besoin  de tes services.  
Le jour de repos à TULETTE, Francky avait été faire le plein de ma 5 TL personnel, qui était notre voiture de fonction, pas de quoi faire des excès de vitesse (encore que ?).
En manœuvrant sur la place du village, je recule et par mégarde je m’appuie sur une barrière de ville, cette dernière se couche et faisant un bras de levier sous la voiture, comme un lève vite ! (La tringle de support qui tient cette barrière au sol est taillée en biseau), cette partie en biseau est venue me percer le réservoir ! Mais pas qu’un peu !! En quelques minutes les  50 litres d’essence se sont vidé sur la place de TULETTE.
Pas de panique, on tombe le réservoir et je fonce avec celui-ci au garage de Claude pour ressouder le tout.
C’est bizarre je n’ai pas compris ce manque de confiance, quand j’ai approché le chalumeau du réservoir !! Tout le monde est sorti sur le trottoir, sauf Claude et Francky  
 

TULETTE  était l’étape de repos !!  Pas tout à fait de repos !!
On arrivait le soir, et le lendemain seulement une partie de la journée était quartier libre, l’après-midi on organisait une course de côte et le soir une étape de nuit. Et quelle étape de nuit ! Elle était souvent très sélective pour le résultat final.
Je me souviens que la première course de côte s’est faite entre falaises et ravins.

Ce qui a aussi caractérisé TULETTE, c’est sa fameuse cave du Cellier du DAUPHIN ! Vous savez ce sont les mêmes qui, ces dernières années, font de le PUB sur les circuits des MOTO GP.

Comme les sidecaristes ne sont jamais en retard pour se mettre à table, ni pour boire un coup (avec modération), hé bien, figurez-vous que l’attelage vainqueur de l’étape, gagnait son poids en vin.
Donc il fallait bien compter sur la fameuse pesée du passager et du pilote, pour connaitre le nombre de cartons qu’allaient gagner les vainqueurs.
La scène décrite sur le film du tour 1986 est formidable et retrace bien l’idéologie qui régnait sur le TDF SC, car ce sont CHOIN et GUIDON qui avaient gagné l’étape, et qui sportivement ont partagé leur lot avec tous les autres concurrents.

Tulette, c’était aussi toutes les rencontres qui se sont faites grâce à l’hébergement fait chez l’habitant.
D’une année à l’autre, nous fournissions la liste des engagés à la mairie, afin que les familles qui avaient déjà hébergé des attelages puissent choisir les mêmes concurrents.

Certains concurrents m’ont raconté qu’ils avaient carrément les croissants au petit déjeuner.
Par contre, je sais que des équipages qui ont participé plusieurs années, sont souvent arrivés dans les familles avec des cadeaux et que plusieurs années après le dernier TDF SC pas mal d’entre eux sont repassés à TULETTE.  

Tout cela a fait la renommée de l’étape de TULETTE.

J’aurais aimé finir sur une note positive, mais je ne pouvais pas ne pas parler de cette anecdote que j’ai vécue à TULETTE, certes ce n’était pas pendant le TDF SC mais lors d’une cérémonie beaucoup moins rigolote ! Encore que la fin risque de bien vous faire rire.  

La femme de Claude venait de décéder d’une longue maladie et bien sûr beaucoup de pilotes et amis avaient fait le déplacement.

Vous vous rappelez peut être du dicton de ma femme à mon sujet : avec ENNDEWELL c’est une aventure minimum garantie par jour.    
Et oui !! même-là !! J’ai trouvé le moyen de me faire remarquer et en plus à l’insu de moi-même.
Bien sûr ça commence par une cérémonie à l’église et ensuite direction le cimetière.
Plusieurs personnes se sont proposées pour la levée du cercueil et naturellement moi aussi.
Une fois celui-ci dans le fourgon, je m’éclipse discrètement et là une personne me dit : ça serait bien si vous acceptiez de faire de même pour porter le cercueil du fourgon à l’emplacement dans le cimetière, bien sûr je réponds, pas de problème et confirme que je vais rejoindre tout le monde sur place.
Et là le gars me dit: pour que vous soyez dans les premiers, montez donc avec Mr le curé car lui sera devant le cortège.
Pas mal d’entre vous savent que les curés ce n’est pas mon truc !! Mais bon pour Claude j’aurai fait n’importe quoi !!!
Et là je vous le donne Emile !! Me voilà assis à côté du curé avec ses plus beaux habits, dans une 4L qui lui avait été prêtée par le boucher du village !! Déjà là, rien que là, il y avait une photo à faire.
Mais ce n’était pas fini !!! Au moment où Mr le curé va pour démarrer, un type interpelle Mr le curé et ce dernier ouvre ma porte et me confie le seau d'eau bénite et le goupillon de benediction.
Je ne sais pas si vous imaginez bien la scène : ENNDEWELL tenant dans ses mains un seau avec un goupillon, assis dans une 4L qui pue la bidoche, à côté d’un curé.

Je n’aurai pas été à l’enterrement de la femme de Claude, j’aurai cru que c’était pour une caméra cachée.

Je me souviens avoir discuté brièvement avec ce brave curé, à qui j’ai expliqué que je n’étais pas de son obédience et quand je lui ai fais comprendre que la situation que je vivais était pour moi plus que burlesque ! On en a rigolé tous les deux !!
Comme quoi ! COOL le curé !!

Parfois il y a des jours où je me demande si je ne vis pas dans un rêve.
Dans ma vie ! Des trucs comme ça j’en ai vécu des paquets.
Je dois les attirer  

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
)(

Bsr à toutes et tous,

Tulette !

J'en ai entendu parler régulièrement lors des différentes années passées à courir le CFRR, mais jamais vu, jamais été là-bas. Et en plus : "Le Cellier des Dauphins". Une institution vinicole connue de tous les bons sidecaristes....

J'espère bien y aller un de ces jours, mais quand ?

Zebulon

le modérateur a écrit:

Arrête de "Citer" à tire-larigot, utilise le bouton "Répondre" qui est en bas de page

Après la montagne, nous redescendons dans la vallée, celle du Rhône en l’occurrence. Et la ville étape était Tulette.
Que rajouter à ce que viens d’écrire Joël, sinon rien ? Juste quelques images. Je ne me rappelle même pas chez qui j’ai été hébergé.

Tout d’abord le programme de ces deux jours. Chargé le programme :
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
-          Arrivée mercredi 20h : rafraichissements, puis repas surement pas à l’eau !
-          Jeudi, 10h30 : dégustation cave de la Béradière !
-          Jeudi, 11h30 : apéritif cave Costes Rousses !
-          Jeudi, midi : déjeuner chez l’habitant, surement pas à l’eau !
-          Jeudi après midi : possibilité de visites de caves viticoles !
-          Jeudi minuit : remise de son poids en vin offert par le cellier des Dauphins au pilote vainqueur de la spéciale !

Après l’effort, le réconfort. La piscine municipale était à la disposition des concurrents.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Le pilote de la BFG est maitre nageur. Il est dans son élément:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Peut-être le poste à souder de Claude Lambert. En tout les cas, je ne le vois pas sur la photo, même avec les têtes coupées !

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Après une journée de repos, il y avait une spéciale de nuit:

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Après Tulette, direction Brignoles, paisible sous préfecture du Var et plus particulièrement l’UISC n°7 (Unité d'Instruction et d'Intervention de la Sécurité Civile n°7). Il est possible que ce soit chez les militaires que l’équipage ayant la plus grosse soit monté sur la plus petite de ce TDFSC 1985.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Au Ricard, c’était le bazar comme l’a raconté Joël. La caravane de TDFSC est passée, mais avec de nombreux chiens qui aboyaient autour. Je n’ai que ces images prises sur la route de Signes, avant de rentrer dans l’enceinte du circuit.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Et cet agrandissement de Moto Revue : sur la piste, la caravane du TDFSC. Nombreux sont les « sans casque » et la roulotte de Monsieur Krajka qui ferme la marche au fond !
Je note le grand écart de l'organisation: se faire sponsoriser toute la semaine par "Pastis 51" de chez Pernod et finir la compétition "à la concurrence" chez Ricard 45
Même si aujourd'hui, c'est le même groupe.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Un grand merci à tous ceux qui ont permis ces années durant, que se déroule cette compétition. Je n’ose imaginer les difficultés pour faire revivre une telle épreuve, mais bon, le Moto Tour repart cette année et la catégorie « side » y est assez bien fournie. Enfin, selon les années et il n’y a jamais eu une trentaine d’équipages. O tempora o mores!

Super la piscine, j'avais oublié ça.
On a jamais eu l'occasion d'y aller, mais je sais que des potes y ont fait une excursion de nuit
)(

merci "père" Joël pour ces anecdotes..

et merci Philippe pour les photos légendées!!

Excellent. On est dedans. Enfin pas moi......j'aime pas le side!

C'est à cette époque que j'ai croisé Serge Martinez.

Un CBX avec un tout petit Panda.

Et cet abruti a envoyé la poudre , en montant tous les rapports avec le side à 2 mètres du sol......et moi dedans :

NON je n'aime pas le side. En plus j'aimais déjà pas les CRS.......

Je te comprend !

J'ai failli sauter la première fois que mon épouse m'emmenait avec la 1000 ST dans le col de la république, elle roulait trop vite !!!!!

Moi j'ai testé en passager dans le panier avec Maurice reynaud: un 1200 FJ avec un panier à roue directrice ( Comet ou Komet, quelque chose comme çà), un grand moment, le panier au dessus des fossés dans les virages à droite, la roue levée de 20 à 30 cm, dans un confort total, et pour cause, les bagnoles doublées à l'arrache entre 2 virolos, voir à l'extérieur , oui un grand moment que l'on aime voir se terminer au plus vite! Très spécial le side-car, il faut aimer. Ensuite, exceptionnellement il me l'a prêté pour tester, j'étais comme une poule découvrant un canif, c'est vraiment un engin (vicieux), spécial, je le classe dans la même catégorie que les trike, chapeau à ceux qui en tirent le maxi.
Dan