[Oldies] Les Koehler Escoffier

Magasin au 48 de la rue Malesherbes Lyon (6e).
Habitation au 41 de la rue.

Pas de suppositions, des faits réels.

Citation :

Berlu: Page 179, la moto immatriculée 7267 PF3 a le n° de moteur de celle de Dominique Buisson.

??? De memoire, il y a une photo d'epoque de cette 1000 dans le livre de Bernard, avec cadre D2 bien evidement... (voir discussions plus haut dans ce sujet, FMD bien fache, Dominique B. et d'autres) plus un extrait de son entree sur le registre des cartes grises qui montre qu'elle est de 1932...

Pareil pour le magazin de Marius a Lyon, c'est loin d'etre une nouveaute pour ma pomme...

Patrick

KE 1025 - 617 YU4
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Page 27,
Marius Guiguet est décédé à Villeurbanne le 2 janvier 1952.

La différence entre Raymond et Marius : le menton et le centimètre.
ORIAL-GL, Alcyon, Koehler-Escoffier, cela facilite la monte des ORIAL-GL

Pas de suppositions, des faits réels. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

popoffe a écrit:

motocyclettiste a écrit:

Apriliabarth a écrit:

J'ai cette photo de qualité horrible mais elle est ainsi dans le livre "Roues de fortune - roues de misère" d'Yves Dalmier de la 1000 "époque Monneret" dixit la légende si ça peut intéresser quelqu'un ici.

Par ailleurs est-ce que ça parle a quelque spécialiste un 500 cc Koehler Escoffier monté dans un racer par Salut Bernard . Je vais rechercher dans mes vieux papiers. Je me rappelle d'une annonce pour un carter 6 nervures a laquelle j'avais repondu. Il me semble que c'etait de jean pierre. Mais j'avais un voisin collectionneur d'autos et qui avait une Pradeau et qui avait connu Fernand Pradeau peut etre que ca emannait de lui . Si je ne retrouve ce courrier la piste risque de s'eventer car il est mort il y a 3 ans... Je vais verifier.              

Fernand Pradeau de Limoges en 1951 ?

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Bonsoir,

Cette version de la 1000 "4 tubes" avec réservoir en selle date de 1930. Je ne crois pas que Monneret l'ait utilisée car toutes les photos qu'on a de lui sur une "4 tubes" de 1931 à 1934 montrent une version à réservoir entre-tubes, donc avec un cadre dérivé de celui de la "Mandoline".

Je n'ai rien su d'un 500 KE monté dans un racer par un limougeaud. Mais Jean-Pierre Serpaud est toujours de ce monde et n'a pas perdu la mémoire. Si souhaité, je peux transmettre son numéro en mail privé.

Bien cordialement,

BS

Bonsoir,

Nouveau retour sur Pradeau et Kœhler-Escoffier, avec la très amicale complicité de Jacky Pichaud, pur limougeaud, et celle non moins amicale de J.P. Serpaud.

Fernand Pradeau aîné
Après avoir été entraîneur cycliste au guidon d'une moto à moteur Anzani 1400 cm3, Fernand Pradeau aîné, homme de grande taille, est devenu agent multimarques 44 avenue Garibaldi à Limoges au début des années 30. Dans les années 50, il vendait Motobécane, Gnome & Rhône, New-Map, Kœhler-Escoffier, Automoto, FN, Triumph, BSA, Jawa, Douglas et Norton. C'est lui qui céda le moteur 500 K50 à ACT et cylindre incliné à Michel Laplaud quand il vendit son magasin ; ce moteur aurait été fourni à son frère André par Georges Monneret ; puis Laplaud le transmit à Jean-Pierre Serpaud.

Guy Pradeau
Fils de Fernand Pradeau aîné. Il courut en moto-cross sur une 232 Kœhler-Escoffier, puis sur BSA Gold Star.

André Pradeau
Frère de Fernand Pradeau aîné, de petite stature, menait un très vaste atelier de mécanique générale, situé de l'autre côté de l'avenue Garibaldi, à l'angle de la rue de la Réforme sur laquelle se trouvait l'entrée de l'atelier; laquelle rue de la Réforme, aujourd'hui disparue, était alors celle des maisons closes...

Fernand Pradeau junior
Fils d'André Pradeau, c'est lui qui construisit, sous le prénom de son père, le racer à moteur 500 Kœhler, moteur qui fut ensuite remplacé par un 500 Saroléa Monotube (version Pichaud) ou un 500 JAR Racing (version Serpaud). Par la suite, il construisit aussi des karts.

Le 500 Kœhler-Escoffier ex-Pradeau
Il est doté d'un demi-carter moteur gauche à six nervures, ce qui indique que c'est une version tardive (de fin 1930 à la disparition du modèle) ; mais les pignons à queue de l'arbre d'entraînement de l'ACT étaient du modèle standard, tournant acier sur acier avec des pattes d'araignée pour assurer la lubrification. Je ne crois pas trahir un secret en précisant qu'il se trouve actuellement chez un amateur de la marque fort connu et qu'il est en train de trouver place dans une partie-cycle.

Bernard Salvat

le livre va t' il enfin arriver à la maison?

bialbero a écrit:

le livre va t' il enfin arriver à la maison?

Bonjour ! (Qui manquait à votre message !)

Faute de savoir qui vous êtes, je ne peux répondre avec précision. J'envoie selon des critères qui ne sont pas seulement alphabétiques ou numériques. Ceux de remerciements d'abord, puis ceux des souscripteurs étrangers ; ensuite en fonction de la date de souscription. En outre, je ne suis pas infaillible dans cet ordre car interviennent dans mon emploi du temps ceux des souscripteurs ou nouveaux acheteurs qui viennent chercher le livre à mon adresse. Enfin je n'ai qu'une paire de bras pour expédier 225 exemplaires. Mais ne doutez pas que votre tour viendra prochaînement !

Cordialement, (Qui manquait aussi à votre message !)

Bernard Salvat

"Qui manquait à votre message"

C'est typique du double arbre racing, il prend facilement des tours mais manque de souplesse.

surtout sur le tard quand le bout des cames est usé

Charly a écrit:

"Qui manquait à votre message"

C'est typique du double arbre racing, il prend facilement des tours mais manque de souplesse.

J'aime beaucoup cette comparaison !
Chaleureusement,
BS

motocyclettiste a écrit:

bialbero a écrit:

le livre va t' il enfin arriver à la maison?

Bonjour ! (Qui manquait à votre message !)

Faute de savoir qui vous êtes, je ne peux répondre avec précision. J'envoie selon des critères qui ne sont pas seulement alphabétiques ou numériques. Ceux de remerciements d'abord, puis ceux des souscripteurs étrangers ; ensuite en fonction de la date de souscription. En outre, je ne suis pas infaillible dans cet ordre car interviennent dans mon emploi du temps ceux des souscripteurs ou nouveaux acheteurs qui viennent chercher le livre à mon adresse. Enfin je n'ai qu'une paire de bras pour expédier 225 exemplaires. Mais ne doutez pas que votre tour viendra prochaînement !

Cordialement, (Qui manquait aussi à votre message !)

Bernard Salvat

Bonjour,

Je suis souscripteur, merci pour les renseignements, il ne me reste plus qu'à attendre.

Il n'y a pas le feu au lac.

bialbero a écrit:

motocyclettiste a écrit:

bialbero a écrit:

le livre va t' il enfin arriver à la maison?

Bonjour ! (Qui manquait à votre message !)

Faute de savoir qui vous êtes, je ne peux répondre avec précision. J'envoie selon des critères qui ne sont pas seulement alphabétiques ou numériques. Ceux de remerciements d'abord, puis ceux des souscripteurs étrangers ; ensuite en fonction de la date de souscription. En outre, je ne suis pas infaillible dans cet ordre car interviennent dans mon emploi du temps ceux des souscripteurs ou nouveaux acheteurs qui viennent chercher le livre à mon adresse. Enfin je n'ai qu'une paire de bras pour expédier 225 exemplaires. Mais ne doutez pas que votre tour viendra prochaînement !

Cordialement, (Qui manquait aussi à votre message !)

Bernard Salvat

Bonjour,

Je suis souscripteur, merci pour les renseignements, il ne me reste plus qu'à attendre.

Il n'y a pas le feu au lac.

Bonsoir,

Merci de votre réponse apaisante.

Cdt,

BS

Cdt bs ??? bs j'me doute, mais pourquoi commandant ?

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On est à Bergerac en 1948 et m'est avis que c'est Jean Couratier Couronneau (mais je ne le jurerais pas, sauf devant une commission d'enquête de l'Assemblée nationale, bien entendu, pour ce que ça vaut).

La machine vous dit quelque chose, heureux possesseurs de la Somme ? Une Monet-Goyon rebadgée, peut-être ?

Les Koehler Escoffier/ Monet Goyon avaient, il me semble, des cylindres inclinés.
L’ accumulation de renvois de basculeurs sur la culasse me fait penser à du Rudge 4 soupapes …

C'est effectiuement un modele a moteur rudge 4 soupapes.

Ouh mais c'est que l'affaire se corse, alors. Effectivement, "j'ai" Jean Couronneau - tiens, j'ai écrit Couratier plus haut, je m'avais trompé - sur Rudge à San Sebastian. Quelqu'un peut m'expliquer ce qu'on voit ici, alors ? Un vrai châssis K-E avec un Rudge dedans, ou une Rudge avec un réservoir (ou juste un auto-collant) K-E ?

Didier,

Merci pour cette belle photo... Je connaisssais ce site du cote de Bergerac via un copain, pas mal de belles photos, y compris une tres belle Bugatti type 37...

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La moto est bien une K-E sans bidouilles... Modele 350cc de 1931 a 1933 Monet MU35 ou en K-E, KU35, toutes deux avec moteurs et boites 4 vitesses au pied Rudge

A existe avec soit le moteur de serie Python comme ci-dessus (magneto a l'arriere du cylindre) ou a moteur TT Replica, magneto en avant du cylindre et carters renforces.

Le fait que ta photo montre les carters renforces des TT et la magneto en arriere des Python me fait penser que le moteur est peut etre une 250 TT replica. Vu que c'est apres guerre, le moteur peut bien sur avoir ete "panache" au cours des annees!!!

Patrick

Merci beaucoup, Patrick.

Alorsse, vu le lieu et la date (Bergerac 1948) et la situation (un vainqueur honoré), c'est pour la 250 TT Replica que j'opte, avec Couronneau à la manœuvre plutôt que Naudon (les deux ont gagné en 250, resp. la course amateur et celle des pro, mais André Naudon vainqueur pro le fut sur une machine réputée Rudge-tput-court).

Ca a l'air de quatre soupapes radiales, une 250 probablement vu la taille du cylindre , les 350 et 500 sont le plus souvent semi radiales

Nan nan les 350 sont aussi souvent tout radial et meme les 500 en 32 . A moins que ce soit 33. mais donc ce post recommence a fremir on dirait. Alors d'abord je veux dire merci a Bernard et ses aides pour le caractere exceptionnel du bouquin. j'ai pas encore tout lu mais ce que j'ai deja lu suffit a mon opinion. Apres concernant ces monet goyon koehler a moteur rudge ben il faut bien dire que tout n'est pas clair loin de la. J'ai ce que je suppose un ku50 a reconstruire et j'ai longtemps cherche des reponse sur ces modeles. Il y en a pas mal dans le bouquin mais je reste qd meme un peu sur ma faim. Vu la complexite du sujet et vu la tres grande rarete des eventuelles survivantes rien de plus normal. Pour l'identification de ces motos qad on voit les photos j'ai l'impression qu'elles etaient faites a l'unite en piochant dans les pieces monet koehler disponible. Elles ont l'air toutes differentes. Sanc compter les vraies rudge pur jus demarquees!...Sur cette photo la roue avant n'est ni koekler monet ni rudge. Je reviens plus tard pour mettre les photos et la correspondance sur la k50 ex cluzeau et avant ex?? et aujourd'hui ex???

J'ajoute aussi que nombre de 250 ne sont ni radials ni 4 soupapes.

Une mine de photos sur les courses à Bergerac dans les années 50 sur le site de Bondire-Lecat :
https://www.photo-bondier-bergerac.fr/albums/1950-1959/1952-2/?occur=2&lang=fr&cover=0&album=8292
FB

Popoffe,

Tu as bien lu dans le livre (voir les 2 cartes grises en Cote d'Or...) qu'il ne s'en est fabrique qu'une vingtaine pour chaque marque, ce qui explique les differences entre les survivantes et photos d'epoque...

Patrick

Bonjour à tous,

Je tente ma chance si jamais.
J'ai hérité de la moto Koehler Escoffier suivante pour laquelle la carte grise du grand père mentionne K100. La carte grise date de 1936 par ailleurs.
J'ai retrouvé 3 photos, serait-il possible d'obtenir des informations sur ce modèle ?
Je ne trouve rien sur internet
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Merci à tous