[Oldies] Rallyes routiers

La photo que j'ai mis en ligne c'est GP du Forez 46.
La "der des der" pour le pilote et son passager.
René vendra l'attelage mais restera dans le milieu moto, mon père passera à la bagnole avec un Morgan.

Pour le rallye.....????  Peut-être 1938......

Au GP de Lyon 1937......la caisse de side ressemble à celle qu'il avait sur le Gnome

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Je reste coi devant tant de précisions… merci Biger, et pour la peine une autre quizz bien plus facile avec cette superbe ambiance au Paris Nice de 1936 et la moto est ?…
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en panne...

  

fmd a écrit:

Je reste coi devant tant de précisions… merci Biger, et pour la peine une autre quizz bien plus facile avec cette superbe ambiance au Paris Nice de 1936 et la moto est ?…
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Je ne connais pas la marque de la moto mais la photo semble bien avoir été prise à Digne dans les Basses-Alpes !

Une Dollar au Paris Pau : facile c'est écrit. L'année 1928 moins facile sauf si l'on peut retourner le cliché, c'est écrit au dos.
Mais rien sur le pilote. Une fois de plus à l'aide !!!

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[quote="fmd"]Je reste coi devant tant de précisions… merci Biger, et pour la peine une autre quizz bien plus facile avec cette superbe ambiance au Paris Nice de 1936 et la moto est ?…

Et FMD trouve cela facile!! Juste une béquille arrière et une plaque de numéro pour trouver la marque c'est un peu juste.  
Je ne vois pas mais il ne me semble pas qu'il d'agisse d'une Terrot. Quelques détails ne collent  avec cette marque . la réponse est donc ? 

Et le pilote c'est qui ? Son arrière train doit être suffisant pour l'identifier !  

Merci pour "Digne" c'est de fait sur la route du Paris-Nice. Pour la moto, je penche pour une Monet Goyon à cause de la forme du carter avec l'entrainement de dynamo devant et du petit sigle en triangle à l'arrière. Ci dessous pour comparaison celle de Chevalier 1er ex-aequo au même rallye Paris-Nice en 1936 et aussi 1er en 1935.
Pour le pilote, désolé mais mon classement photo n'est pas renseigné avec cette partie de l'anatomie !
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Pffft, rien sur le pilote de la Dollar de Daigne et Clech qui pose en janvier de la même année 1928 ne semble pas être le même… quoique…
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[quote="fmd"]Merci pour "Digne" c'est de fait sur la route du Paris-Nice. Pour la moto, je penche pour une Monet Goyon à cause de la forme du carter avec l'entrainement de dynamo devant et du petit sigle en triangle à l'arrière. Ci dessous pour comparaison celle de Chevalier 1er ex-aequo au même rallye Paris-Nice en 1936 et aussi 1er en 1935.
Pour le pilote, désolé mais mon classement photo n'est pas renseigné avec cette partie de l'anatomie !

François Marie, pour la Monet tu as raison, le carter, mais aussi le moteur légèrement slopper et aussi la boucle de maintient du porte bagage.   

Pour le pilote ce n'est pas Clech cela j'en suis certain donc il reste inconnu.

Arrivée du Raid traversée du Sahara en 1927.
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Parti le 3 avril de la porte de Neuilly un officier français de la Coloniale, le capitaine Bruneteau a réussit à convaincre la firme FN pour le soutenir dans son projet de traversée du Sahara. Il s'agit de rallier Oran aux rives du Niger par la voie la plus redoutable, celle passant par le Tanezrouft, le désert de la soif. Equipés de trois FN M 70, Bruneteau et ses compagnons Gimie et Weerens, un ressortissant belge, proposé par la fabrique Nationale, s'élancent donc dans une aventure jamais réalisée par des motocycliste, ceci malgré le véto des autorités sahariennes qui savent bien que sur la piste Etienne il n'existe aucun point de ravitaillement sur près de 1000 kilomètres entre le dernier poste militaire et les rives du Niger. Malgré tout ils réussiront. En 1934 Bruneteau publiera "Le Raid inconnu". Un petit livre passionnant. En voici un extrait. "Nous avançons. Trop tard ! L'ouragan submerge la Hammada. Un front de nuages de sable nous frappe alors que trois kilomètres nous séparent d'un abri... En peu de mots hurlés à pleins poumons, nous convenons de disposer nos machines en coupe-vent et de nous blottir derrière une couverture tendue verticalement sur les deux faces de ce musoir... Le sable s'amoncelle autour de l'obstacle que nous avons dressé, la couverture se tend à craquer, les roue de nos motocyclettes s'enfoncent dans le sol. Il fait maintenant nuit noire. Nous ne disons plus rien, écrasés, perdus sur cette hammada gardant timidement au cœur l'espérance de voir tot finir cet ouragan".

Merci les gars ! c'est magnifique... et que c'est beau une machine sportive des années 30 !   

Retrouvée dans la "boîte", la Norton à moteur rotatif du Monte-Carlo moto de 1988... (ça passe pour celle-ci qui est une machine très particulière mais je vous fait grâce des autres, trop modernes !!)

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Pour faire suite au rais Sahara de Bruneteau voici le livre.

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Et pour rester dans la littérature des rais africains un autre petit bouquin "La traversée du Sahara par Douard."

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Paris Nice 1926.
Au départ Paul Péan l'officiel Peugeot en course de vitesse est également de la fête sur les épreuves d'endurance. Alors, allumée ou pas la cigarette ?

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Toujours Paul Péan la veille devant le photographe officiel, sur sa 175 Peugeot.

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daigne a écrit:

fmd a écrit:

Merci pour "Digne" c'est de fait sur la route du Paris-Nice. Pour la moto, je penche pour une Monet Goyon à cause de la forme du carter avec l'entrainement de dynamo devant et du petit sigle en triangle à l'arrière. Ci dessous pour comparaison celle de Chevalier 1er ex-aequo au même rallye Paris-Nice en 1936 et aussi 1er en 1935.
Pour le pilote, désolé mais mon classement photo n'est pas renseigné avec cette partie de l'anatomie !

François Marie, pour la Monet tu as raison, le carter, mais aussi le moteur légèrement slopper et aussi la boucle de maintient du porte bagage.   

Pour le pilote ce n'est pas Clech cela j'en suis certain donc il reste inconnu.

Daigne, il s'agit bien de Digne, tu peux le noter au dos de ta photo.. Je n'étais pas sûr et certain car ce quartier a été bombardé par les américains quelques années plus tard, mais c'est confirmé..

charly7728 a écrit:

En parlant rallye...je me souviens avoir lu dans une revue(peut-être Champion)
dans le début 70 au "monte carlo "auto....une Yamaha 350 YR5 engagée SONAUTO
peut-être pour un journaleux....je ne sais plus...mais sur d'avoir vu des photos en N&B.
quelqu'un va nous ressortir ça!!...la Yam devait avoir un réservoir grande contenance blanc et
un phare additionel et autocollant BP....

Tout à fait: Champion n° 62

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merci..c'est gentil à toi de me permettre de relire cet épisode moto...
gamin ,j'avais ça fort..

Paul Péan peut être un lien familial avec le crossman Daniel Péan .   

Encore Péan. Toujours sur le Paris Nice mais en 1928 cette fis.
La moto encore une Peugeot. Il est pilote officiel, mais sur un modèle P 105 de 350 cc.

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Il a du faire toute sa carrière chez Peugeot....
Le voilà en 1919, sur Peugeot 6HP, avant le Paris-Reims-Paris (source....????)

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cat a écrit:

Paul Péan peut être un lien familial avec le crossman Daniel Péan .   

... ou Pierre Pean l'homme des diamants de Giscard ? ok   

  0 . 15 !!! La balle au centre.   

C'est super que chacun y aille de ses petites archives. Ci après un texte que j'ai écrit il y a quelques temps sur Paul Péan et de tristes photos de son dernier grand voyage.
Paul Péan a 19 ans en 1907 lorsqu’il se fait sa première course en tant que pilote officiel Peugeot au circuit des Ardennes où il fait grosse impression. Il remporte ensuite la grande rencontre d’Évreux et maintes autres victoires en 250 cm3 en 1908 aux cotes de Pons. En 1911 Péan est au guidon de la Peugeot bicylindre en V à soupapes automatiques qu’il emmène à la victoire en dépit d’un dessin déjà obsolète. Il est l’homme de l’année en 1912 avec la Peugeot 350 V twin à soupapes latérales (les 670 et 950 ont toujours des soupapes automatiques.. On le voit aussi dans les grandes courses d’endurance et à commencer par me premier Paris-Nice en 1913 qu’il remporte haut la main. Sa première sortie avec la Peugeot bicylindre 8 soupapes le 5 avril 1914 se solde Après sept heures en selle il abandonne avec un cadre cassé en deux endroits et Descvaux est la seule des trois machines engagées [l’autre était aux mains de Perrin] à terminer la course. Péan se rattrape en juin de la même année à Achères avec un record sur le kilomètre lancé à 122,448 km/h. Incroyable vitesse pour une 500 de 1914. Durant la Grande Guerre, Paul Péan est pilote dans la célèbre escadrille SAL32 et recevra la croix de guerre des mains du général Pétain. Il revient à la moto en 1919 avec une série de records de vitesse en 750 et 1000 cm3 avec le bicylindre Peugeot, se fait chronométrer en 1921 à 137,4 km/h avec la 500 au Bois de Boulogne !
Le bicylindre à deux ACT est décidément trop fragile aussi le nouvel ingénieur en charge choisit-il la sagesse en développant un nouveau bicylindre vertical à simple ACT entraîné par arbre et couples coniques et deux soupapes qui ne conserve du premier modèle que ses côtes longue course de 62 x 82 mm
Dés ses débuts Paul Péan et René Gillard font des merveilles à son guidon en France et dans les courses internationales. Ils remportent en tout 21 victoires sur 23 courses ! En 1923 au GP de Lyon Péan est chronométré à 157,9 km/h puis Peugeot fait un triplé à Monza la même année au GP des nations, la nouvelle version de 1924 dotée, enfin, d’un avant [vérifier] court sans succès au TT puis bat deux records du monde à Arpajon en 1924 à plus de 165 km/h. Elle réalise ensuite un doublé au GP de Lyon en 1926 avec Péan et Richard. Antonesco révise sa moto et abandonne le calage à 360° du vilebrequin pour un calage à 180° qui s’avère prometteur, mais Peugeot décide alors d’arrêter toute participation officielle en compétition.
Paul Péan qui a alors 38 ans se consacre dès lors à son magasin et on ne le verra plus guère sur les circuits. Sauf malheureusement le 14 septembre 1936 où il se tue à Montlhéry en essayant la machine d’un de ses clients.
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Paul Péan sur la Peugeot 500 double ACT 8 soupapes en 199
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