[Oldies] A propos des Laverda

Palmelli était Anglais et basé a Londres je crois , il a construit dans les années 90 des répliques de 750 SFC mais avec un plus gros moteur

En restant en Angleterre on pourrait citer aussi les fréres Slater importateurs actifs de la marque dés les années 70 et soit disant a l ' origine de l ' appelation Jota.

Pour répondre à DAVERLA : à son message privé. BB Oui j' ai environs 150 photos de jean HENOT et René AUZARd, pour avoir été son petit mécano dans ces années là. Et bien sur une quantité de photos des années 70, comme des remise coupe à la FFM avec MM Rougerie, Bourgeois, Tchernine ou Christian Leon et bien d'autres.

Que ce soit aux 6 H de ROUEN ou d'autres courses et epreuves de côte, les seuls bons souvenirs qu'il reste à Jean sont la vraie camaraderie qui régnait au club de Bessancourt les BISONS dont tu ne faisais pas partie.

Tu le sais les quatres photos que je t'ai fait parvenir, tu ne les as même pas mises sur ce post.
Chez moi l'entretien du souvenir n'est pas chose vaine. Il y a les machines mais aussi les hommes.

Apres avoir retrouvé Jean depuis peu, il tient à ce que l'on ne l'ennuie pas avec ca et a tourné la page; il possède toujours sa machine dans un état moyen. Apres s'en être séparé un moment

FUGNER : pour info la SFC de Henot et Auzard à tenu tête durant toute la course c'est à 3/4 d'heure de l'arrivée que l'embrayage a rendu l'âme, avec un pilote comme Jean qui tenait tête sans aucun problème à Bertch et Maison, vainqueurs de cette épreuve.

Une machine qui devait avoir 25 heures de courses. Son moulin a été ouvert deux fois pour défaut de roulements. En plus aux 6 H de Rouen les commissaires avaient annoncé l'arrêt de la course suite au grave accident de JP PASSET. La Laverda avait rejoint son fourgon pour en redescendre à l'appui express des organisateurs. Qui se voyaient contraints de reprendre à la demande de certains pilotes.

Maintenant si j'ai fait des fautes d'orthographes le taulier y fait comme d'hab' il exerce sa petite façon de penser il enlève ce message.

Mac (qui n'a enlevé que les fautes et surtout pas le message)

Egalement le nom d' une des plus fabuleuses Lamborghini ..

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source : Classic bike

pour Daverla.....oui c'est bien celle là....qui est en cours à temps perdu..depuis un moment...
la photo que tu as, a ete prise juste avant qu'elle soit chiffonnée.....
combien pour un reservoir.?...si c'est pas indiscret.....merci....à+

Oui Apriliabarth Palmelli c'est anglais.Y avait eu un article ca doit etre classic bike que j'ai pas sous la main. De memoire cadre modifie cantilever roues plus petites mais surtout moteur monte en 870 ou a peu pres ET vilo a 270°. Ce qui aux dires de l'article donnait un truc assez fabuleux.

j'ai failli en acheter une, réplique"conforme de 750 sfc , il y a 7/8ans et j'ai acheté ma formula à la place....je vais essayer de retrouver la doc , c'était celle essayée dans classic bike...

charly7728 a écrit:

pour Daverla.....oui c'est bien celle là....qui est en cours à temps perdu..depuis un moment...
la photo que tu as, a ete prise juste avant qu'elle soit chiffonnée.....
combien pour un reservoir.?...si c'est pas indiscret.....merci....à+

Non ce n'est pas indiscret, les tarifs des pièces en carbone sont officiels :
Pour les 750 SFC, c'est :
-réservoir = 600
-selle = 220
-carénage = 180
-garde-boue = 75

Il y a aussi pour d'autres motos

@ Apriliabarth :

Tu as raison, l'origine du nom JOTA remonte effectivement à l'initiative de Slater ... qui avait copié sur LAMBORGHINI ...
Mais ce n'est qu'un exemple du formidable parallélisme existant entre la firme de SANTA AGATHA BOLOGNESE et celle de BREGANZE, à travers les années. (deux entreprises de matériel agricole)
Lamborghini avait construit un seul exemplaire de JOTA dérivé d'une Miura V12 en 1970, et malheureusement détruite à ce jour.
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La 1000 LAVERDA portait donc le même nom et était la moto de série la plus puissante du marché en UK selon Bike's Magazine (> 140 mph / 230 km/h).
Mais c'était sans compter avec la 1200 Sulzbacher qui la surpassait, faisant de ces deux LAVERDA, les motos librement commercialisées, les plus puissantes et les plus rapides au monde !

La JOTA d'aujourdhui, c'est elle :
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popoffe a écrit:

Oui Apriliabarth Palmelli c'est anglais.Y avait eu un article ca doit etre classic bike que j'ai pas sous la main. De memoire cadre modifie cantilever roues plus petites mais surtout moteur monte en 870 ou a peu pres ET vilo a 270°. Ce qui aux dires de l'article donnait un truc assez fabuleux.

L'article dont tu parles est effectivement dans Classic Bike, mais on a peut-être pas lu le même ...
La Palmelli n'est pas ma tasse de thé (so British) ! Pour moi c'était une simple opération commerciale pour faire du "cash", en essayant de copier une "icône" ...sur la base d'une SF3.
Mais voilà, la SFC originale n'existe qu'à 549 exemplaires, enfin n'existait, car depuis 1976, pas mal ont fini leur vie ...en pièces détachées sur des réplica.

Celle dont je parle avait un cadre qui n'était pas un cantilever (heureusement ...), il était fabriqué par Denny Barber pour le compte exclusif de Elliot et Chris Palmer.
Le moteur n'était pas un 870, mais le basique 744 dérivé du SF3, il n'avait pas la culasse SFC (Elettronica), même si il avait un allumage électronique.
Le vilebrequin standard (360°), et en option, un vilo fabriqué chez Phil Todd, recevait des masses de SFC, il était calé à 90° (bruit proche d'un V-twin)
Les Dell'Orto étaient des SF3 de 36mm de base, et non des carbus de SFC.
Les premiers bidons étaient en alu, en poly ensuite.

Le prix de base était de £ 8000, à l'époque, auquel il fallait ajouter £ 300 pour le vilo à 90° (ce qui n'en faisait plus une réplique ipso-facto !)
Le distributeur était Richard Slater, et la liste des options était longue..., comme des roues (18") rayons 3 disques à £ 1175, ou un échappement 2>1 à £ 250.

Bref on frisait déjà à l'époque (>15ans) les £ 10 000, pour une réplique, soit 14 663 € en euros constant 2011 (j'ai fait le calcul).
Calcul qui ne veut rien dire d'ailleurs car ne tenant pas compte de l'envolée des prix des collectors...
Mais la Palmelli, collector or not collector, that is the question ... ?
Pour ma part, c'est clair, je répondrai que les gênes de la SFC sont en Vénétie, et pas ailleurs, et surtout pas du côté de la Perfide Albion ...

Ci-dessous les nouveaux vilos 270° (2013) de chez notre préparateur REDAX Engineering
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Sympa de discuter avec des Laverdistes [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] , je suis d ' accord avec toi que les gênes de la SFC sont en Italie et pas ailleurs , d' autant plus que cette copie est assez moche et éloignée de la vraie 750 SFC , on aurait voulu défigurer la SFC que ne s'y serait pas prit autrement (désolé pour Palmelli), le double optique notamment est affreux !

Ci dessous un article extrait du livre de Mick Walker sur Laverda :

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une de mes Lav' préférées et pour moi la derniére "vraie" Laverda :

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Merci Apriliabarth. Apparemment j'ai un peu melange. L'article auquel je faisais allusion c'etait bien celui la de Raymond Ainscoe et non Classic Bike. La memoire des fois...... Et donc t'avais raison Daverla on avait pas lu du tout la meme chose!

@Apriliabarth : je partage ton avis sur la dernière "vraie" Laverda ! Voici le RGS TT1 usine, lors de sa dernière sortie à Imola en septembre dernier.

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Et en bonus: le vaisseau Amiral, photographié par la Presse pour un reportage sur les 200 Miglia di Imola, et le tout photographié par Piero Laverda, him self !

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Copyright: Laverda-Passion
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Chacun ses faiblesses, moi j'ai toujours eu un faible pour les Laverda et on s'entendait bien ! Quelques souvenirs en vrac
et même les Bizarres comme cette 1000 de Brown and Sharp au bol 1974
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que revoilà
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première émotion au salon de Milan 1968
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et puis la 1000 proto en 1970
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Dur l'embrayage, non…… regardez la frêle jeune fille l'actionne d'un doigt ![Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
la 1000 quasi finalisée à Mila en 71
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]et le stock à l'usine en 1972
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retour sur la piste au bol 72
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et puis la DiFazio de 74 en couleur
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C'est tout pour aujourd'hui… mais je reviendrai !!!

fmd a écrit:

Chacun ses faiblesses, moi j'ai toujours eu un faible pour les Laverda et on s'entendait bien !

Belles photos FMD!!!javascript:emoticonp('')

Un grand MERCI Monsieur FMD

Continue ce genre de faiblesse, nous on aime, et comme je te le disais voici qlq temps au téléphone : même qu'on en redemande
Sauf avis contraire de ta part, et avec ta permission, ces magnifiques photos vont rejoindre tes autres archives sur mon blog.
Merci

Une des dernières Laverda 1000 ( SFC 1000 ) commercialisée.
Celle ci est restée dans une collection Française.
Pratiquement neuve . (16 Kms )

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La dernière Laverda SFC passé par nos services .


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Daverla

Toi qui est spécialiste Laverda . Tu connais ?

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Et celle là ?


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Mais merci FMD pour tous ces beaux documents !!!

Hubert Rigal a écrit:

Et celle là ?


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125 LB 83/84 dont voici la version "Coupe" dont je ne sais si cette formule de promo a existé !

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Source: Italian Motorcycles, Tim Parker

La famille (très nombreuse +/- 20 modèles) des 125 Laverda dans les années 80, a donné naissance à une génération de machines, allant de l'hypersportive à la militaire en passant par la custom. Du moteur Züdapp au moteur Laverda, on a tout vu.
Celles dont tu parles sont les 125 LB Uno suivi de la GS Lesmo (Milan 1986 avec boîte 6) puis de la GS Navarro en 1989 (boîte 7)
Comme toujours chez Laverda des machines équipées du top de la technologie pour l'époque. Les Trofeo Laverda 125 ont été remporté par Fabio Imperiali en 1984 et par Luciano Fabiani en 1985

La dernière (orange) étant bien entendu le modèle Formula dérivé de la 500 Alpino. Les coupes Formula étaient très disputées dans plusieurs pays Européeens. Cette machine a remporté les 24H de Barcelonne dans sa catégorie en 1978 et en 1979.

En revanche la SFC (?) n'est pas conforme, sans rentrer dans les détails (moteur, poignée de gaz, amortos, feu AR,...), elle ne devrait pas avoir ce type de jantes FLAMM, mais des roues rayons. Ces roues étaient proposées en option à partir des ultimes modèles Elettronica.
Sans indiscrétion Hubert, vous avez vendu combien cette machine ?